mercredi 18 septembre 2024
Certains d’entre nous ont entendu parler de la première vague d’attentats commis au Liban le 16 septembre 2024 par l’État terroriste israélien.
L’amiral Jean-Louis Vichot a rappelé sur LCI ce que savent tous les complotistes, mais qu’il est interdit de dire, bien que ce soit expliqué en toutes lettres dans Wikipédia (Attentat de l’hôtel King David) : les deux factions terroristes juives, Irgoun et Hagana, se sont liguées pour perpétrer le 22 juillet 1946 cet attentat sous faux drapeau fondateur de l’État terroriste d’Israël.
Les cinéphiles connaissent le film de propagande Exodus (1960) d’Otto Preminger, qui raconte cette merveilleuse épopée terroriste. À cette époque, les juifs s’en vantaient, mais depuis ils ont mis en place des myriades d’associations qui taxent d’antisémitisme tous ceux qui ont étudié l’histoire ou qui ont un minimum de culture.
Bref, mardi 17 septembre 2024, le même jour historique où l’employé
de David de Rothschild Emmanuel Macron était visé par une procédure de
destitution et où une émission de la télé mainstream racontait enfin ce
que nous les complotistes savons par cœur depuis 2020, la collusion de
la mafia McRond-McKinsey, l’État terroriste israélien lançait une
attaque simultanée sur 2500 bipeurs piratés. Le New York Post a
rapidement publié un article (pendant que la presse subventionnée
française attendait les ordres de l’Élysée, c’est-à-dire de Rothschild,
sur ce qu’elle était autorisée à dire ou non). Voici cet article interprété en français par Le Média en 4-4-2, qui ne reçoit aucune subvention de l’employé de Rothschild.
Il est complètement « antimythe » de rappeler le fait suivant : le
banquier David de Rothschild, l’employeur de macron, est en même temps
président du conseil d’administration (« chairman ») du Congrès juif
mondial, l’organisation sioniste la plus importante du monde, cela pour
couper court aux allégations de ces complotistes antimythes qui
prétendent que les juifs utiliseraient leur puissance financière pour
diriger le monde. Le même David de Rothschild est tellement philanthrope
que, à ses heures perdues, il préside également la Fondation pour la mémoire de la Shoah, ce qui lui permet d’employer l’agent d’Israël Rudy Reichstadt (Conspiracy Watch), payé par nos impôts pour calomnier toute personne qui critiquerait la marcrono-rothschildie (scandale du Fonds Marianne).
Bref, ce 17 septembre, l’État terroriste a assassiné 11 personnes dont
un enfant, et blessé 2500 personnes avec des bipeurs piratés.
Immédiatement, je me suis demandé dans quel but cet État avait choisi de
révéler au monde qu’il disposait d’une telle technologie. La révéler,
c’est la rendre caduque, car toutes les personnes survivantes qui
disposent d’un bipeur l’ont immédiatement détruit, et la société qui les
fabriquait a dû fermer son usine du jour au lendemain. Si l’on
réfléchit (i.e. si l’on est « complotiste »), on a compris que si les
services secrets israéliens (mais les autres services secrets ne doivent
pas être en reste) ont décidé d’abattre cette carte, c’est qu’ils en
ont bien d’autres plus fortes en main. On n’a pas eu besoin d’attendre
longtemps pour connaître la suite du plan.
Le 17 septembre, le lendemain, 2e salve d’explosions coordonnées, cette fois-ci de talkies-walkies. C’est encore le Média en 4-4-2 qui dégaine le plus vite pour expliquer cette info. Selon la procédure bien connue des terroristes « de tout poil et de toutes nationalités » (Pasqua, 1986), l’État terroriste a frappé pendant les funérailles des morts de la veille.
Alors évidemment, tout ce que contient cet article sera taxé d’« antimythe » par la partie des agents du Mossad (des sayanim comme dit Jacob Cohen)
dont c’est le rôle de faire taire les « complotistes », insulte que
l’on accole aux personnes éveillées dans ce but. Mais maintenant que les
mougeons commencent à entrevoir une partie de la vérité, peut-être
vont-ils accepter d’écouter leurs amis qu’ils insultaient depuis 4 ans.
Donc on accepte de croire par
l’évidence que des services secrets utilisent enfin publiquement des
moyens technologiques secrets préparés depuis des années.
On se doute que si des services
secrets dévoilent ces moyens technologiques secrets, c’est qu’ils en
possèdent plusieurs autres en magasin encore plus perfectionnés, en
avance sur leurs adversaires.
Peut-être peut-on enfin
accepter de se renseigner sur ce que ces services secrets fomenteraient,
en observant d’abord les informations ouvertement publiées par les
médias du pays d’exercice de ces services secrets.
La consultation des Palmarès annuels du Jerusalem Post des juifs les plus influents du monde révèle, sur l’année 2022 et sur l’année 2023
le nom de Ronald Lauder, président (tout court) du Congrès juif
mondial, et en n°1 en 2023, de Sam Altman, créateur et dirigeant
d’OpenAI et de ce qu’il est convenu d’appeler « Intelligence
artificielle », en oubliant qu’en américain, « Intelligence » désigne
majoritairement le renseignement, l’espionnage. Si l’on a la curiosité
de remonter jusqu’en 2021, ce palmarès célèbre en 4e position l’immense Albert Bourla, le roi de l’injection.
Alors c’est là qu’on va descendre dans le plus abject complotisme :
Les services secrets israéliens
maîtrisent les moyens technologiques les plus modernes, et célèbrent
publiquement les entrepreneurs juifs qui sont à la tête de ces
technologies de pointe.
Ces services secrets n’ont
absolument pas peur de dévoiler publiquement certaines de ces
technologies de pointe complètement secrètes (les petits malins du
Hezbollah se sont laissés piéger comme des nouveaux nés).
Cela pourrait laisser croire que
ces services secrets, s’ils dévoilent leur maîtrise de ces moyens
inconnus, ont quelques longueurs d’avance, et nous cachent des
technologies bien plus impressionnantes que ces gadgets.
De méchants complotistes
aussitôt taxés d’antisémitisme par les officines maitrisées par M. David
de Rothschild, propriétaire de macron, chairman du Congrès juif mondial
et président de la Fondation pour la mémoire de la Shoah dont le métier
réel n’est pas la Shoah mais de faire taire toute personne qui s’oppose
au sionisme, c’est-à-dire au colonialisme génocidaire de l’État
d’Israël, prétendent que M. Albert Bourla, 4e juif le plus influent du
monde en 2021, aurait introduit dans son produit des substances
(graphène, nanoparticules) qui permettraient d’attribuer un code
bluetooth aux injectés. C’était ce que révélait le film « complotiste »
de Pierre Barnérias Hold-Up en 2020 (voir mon article « Alias Coccyxgrue et les bignoles de l’info »).
Entre injecter de force, par la
coercition décidée par l’employé de M. David de Rothschild, chairman du
Congrès juif mondial, des produits qui contiennent des procédés
ultramodernes de traçage, et déclencher à distance des réactions
mortelles dans l’organisme desdites personnes injectées, grâce à des
procédés technologiques à peine plus pointus que ceux qui permettent de
faire exploser en un instant 2500 bipeurs, y a-t-il une ou trois années
d’avance technologique ?
Pour résumer, vu ce que l’État
terroriste israélien a démontré les 17 et 18 septembre 2024, et ce qu’il
va peut-être démontrer dans les jours qui viennent, est-il totalement
« complotiste » d’imaginer que, grâce aux compétences de MM Albert
Bourla et Sam Altman et de nombreux autres « juifs influents » moins
connus, l’État terroriste israélien s’apprêterait à annoncer au monde
que, si on ne lui livre pas immédiatement ce qu’il désire, il pourrait
appuyer sur un bouton qui déclencherait en dix secondes la mort
immédiate de toutes les personnes qui se sont laissé persuader par
M. Macron, l’employé du président du conseil d’administration du Congrès
juif mondial, de se laisser injecter le produit concocté par M. Albert
Bourla, 4e juif le plus influent du monde en 2020 selon le Palmarès
annuel du Jerusalem Post ?
Quelques-uns de nos amis mougeons risquent d’avoir des sueurs froides,
mais il serait bien présomptueux de la part des non-injectés de se
croire à l’abri, car des bruits « complotistes » courent que ces
nanoparticules peuvent sauter allègrement d’un injecté à un non-injecté.
Les « complotistes » ont même évoqué une guerre bactériologique qui
ciblerait les victimes selon leur phénotype en créant de toutes pièces
de méchants virus… Robert Kennedy Junior, ce vulgaire complotiste qui
s’est associé au méchant Trump, soutient de telles allégations « antisémites »
à propos du couillonavirus. Mais jamais Israël, qui dirige l’armée la
plus morale du monde, n’oserait viser les peuples non-élus. Ce serait
« antisémite » de le supposer.
© altersexualite.com, 2024
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