— par Pierre-Alain Depauw — 20 septembre 2024
Piégé ces jours-ci en caméra cachée, le Dr Jay Varma a admis que « cela aurait été un gros problème » et « un véritable embarras » si l’on avait su publiquement qu’il organisait des orgies sexuelles pendant le COVID.
Des orgies sexuelles secrètes dans les sous-sols d’une banque de Wall Street
Le Dr Jay Varma était en charge des mesures liberticides prises au motif de lutter contre COVID-19 dans la ville de New York. Pendant qu’il insistait pour que ses concitoyens restent isolés, il organisait des orgies sexuelles secrètes dans différents lieux, y compris dans les sous-sols d’une banque de Wall Street !
« La seule façon pour moi de faire ce travail pour la ville était de trouver un moyen de me défouler de temps en temps », se justifie le Dr Jay Varma, qui a été le « principal porte-parole scientifique et architecte » de la réponse de New York à la pandémie de COVID d’avril 2020 à mai 2021. Ses incroyables aveux ont été filmés par un journaliste utilisant une caméra cachée. La séquence vidéo a été publiée par Steven Crowder jeudi.
« C’est drôle parce que j’ai fait toutes ces choses sexuelles déviantes pendant que je passais à la télévision », dit tranquillement le Dr Varma, faisant référence au fait qu’il organisait des orgies sexuelles pendant la même période où il donnait des briefings télévisés quotidiens sur le COVID avec le maire de New York . « Les gens me disaient : “N’as-tu pas peur ? N’es-tu pas gêné ?” Et je leur répondais : “Non, en fait, j’aime être moi-même”. »
Cependant, lorsque le journaliste lui demande s’il aurait eu « des difficultés » si le fait qu’il organisait des soirées sexuelles pendant la pandémie de COVID-19 avait été rendu public, le Dr Varma admet : « Cela aurait été un gros problème. Cela aurait été une véritable honte. »
Sexe, drogue, hôtels de luxe et sous-sol de banque
Dans l’entretien filmé en caméra cachée, le Dr Varma raconte comment lui et sa femme ont loué un hôtel pour organiser une orgie sexuelle avec dix personnes en août 2020, après qu’il ait déjà commencé à recommander des mesures de distanciation sociale.
Puis il y a eu cette fois, en 2021, où il s’est joint à une soirée d’environ 200 personnes sous une banque de Wall Street – la seule fois où il était nerveux, a-t-il dit.
Au sujet du “vaccin”
Il a également admis avoir forcé les gens à se faire vacciner tout en reconnaissant que la réponse immunitaire déclenchée par une injection contre la COVID n’est pas différente de celle déclenchée par l’exposition au virus.
Lorsque le journaliste infiltrée demande si les relations sexuelles se faisaient aussi avec des personnes non vaccinées, le Dr Varma se met à rire, lui disant que le statut vaccinal d’une personne avec laquelle on entre en contact « ne fait aucune différence ».
« Tout le monde a été exposé au virus… que vous soyez exposé au virus parce que quelqu’un a respiré sur vous, que quelqu’un vous l’a injecté, c’est la même réponse immunitaire. »
Pourtant, il a admis non seulement avoir convaincu l’ancien maire de New York, Bill de Blasio, de mettre en œuvre des obligations de vaccination contre le COVID et avoir forcé les gens à se faire vacciner. Jusqu’à présent, 37 910 décès et 1 645 999 événements indésirables après des injections contre le COVID ont été enregistrés aux États-Unis auprès du Vaccine Adverse Event Reporting System, qui ne signale traditionnellement qu’une petite fraction du total des décès et des blessures induits par les vaccins.
Le Dr Varma avoue encore : « la façon dont nous procédons en matière de santé publique est de rendre très inconfortable le fait de ne pas être vacciné. C’est comme si vous ne pouviez pas trouver de travail, vous ne pouviez pas aller au restaurant, votre enfant ne pouvait pas aller à l’école. »
« Mais techniquement, c’était un peu comme forcer les gens ? », a demandé le journaliste utilisant la caméra cachée.
« Ouais. C’est ce qu’on fait. On force les gens en les mettant vraiment mal à l’aise », a déclaré Varma. « L’idée, c’est de créer des barrières pour que les gens se disent : « Merde, je vais le faire parce que j’en ai marre d’être harcelée. »
Des pompiers perdaient leur travail pendant qu’il s’amusait
Tom Lapolla, chef de bataillon à la retraite du service d’incendie de la ville de New York, dont le poste a été supprimé pendant “l’épidémie” de COVID en raison des obligations de vaccination, a réagi à ces images et ces propos du Dr Varma.
« Il faisait des orgies. Nous étions au travail sur la pandémie. Il a obtenu un bon travail après avoir quitté la ville. Nous avons perdu nos emplois. C’est de la tyrannie. C’est un abus de pouvoir », a déclaré Lapolla, qui se présente à l’Assemblée de l’État de New York.
« J’espère que le procureur général de l’État, ou même le gouvernement fédéral, enquêtera sur cette affaire », a poursuivi Lapolla. « Les mandats n’ont pas été mis en œuvre par voie législative. Ce n’est pas la volonté du peuple. C’est la volonté d’une poignée de personnes, d’élites choisies… et des vies humaines ont été détruites. »
« Je le sais par expérience », a déclaré Lapolla, citant les quelque 1 500 employés municipaux qui ont perdu leur emploi pour avoir refusé les vaccins contre la COVID-19, et dont beaucoup sont toujours sans emploi. Il a mentionné une jeune femme qu’il connaissait qui, ayant perdu son emploi, a également perdu sa couverture médicale et a reçu plus tard un diagnostic de lymphome.
Il appelle le maire actuel de New York à « rectifier » l’administration de son prédécesseur en « réembauchant immédiatement chaque membre du personnel de New York qui a été licencié à cause de cette obligation injuste ».
« Il peut le faire d’un trait de plume », a ajouté Lapolla.
Pierre-Alain Depauw
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