On a eu droit comme d’habitude à un discours convenu où les mots cachaient mal le manque de sincérité.
« Malgré une effroyable crise énergétique (qu’il a provoquée lui-même) l’inflation (dont il est en partie responsable), les menaces nucléaires (responsable aussi par ses envois d’armes à l’Ukraine), une crise climatique, ce qui est demeuré constant c’est la capacité collective des français à relever (à endurer tout cela). En seulement une phrase, il s’est discrédité lui-même.
A part ça, tout va bien madame la marquise. Rien que de l’autosatisfaction dans la bouche d’un égocentrique mégalomane. Pendant ce temps, tout va mal, notre pays s’effondre. Des boulangers ferment boutique en recevant les factures d’électricité qui ont quadruplées, des écoles mal chauffées et une dette de 300 milliards qui pèse sur le pays comme une épée de Damoclès. Résultat du « quoi qu’il en coûte ».
Ce président, version progresso-moderniste qui débouche sur une faillite générale, distribue l’argent de l’Etat et des français partout où il passe. Un milliard en Afrique du Sud, soi-disant pour des mines de charbon. Mais aussi à des quantités d’associations aussi inutiles et parasitaires les unes que les autres, et un pont d’or à la presse toute dévouée à sa personne. Une guerre en Ukraine dispendieuse, qui ne nous concerne pas. Avec des Etats Unis qui récolteront les bénéfices de la reconstruction par un vaste plan Marshall.
Il veut jouer dans la cour des grands, à égalité avec Xi-Jinping, Poutine ou le Pt. des USA qui l’ont déjà jugé comme un égocentrique de peu d’importance. Et à partir de ce manque de sérieux et de ses frasques, indignes d’un chef d’Etat, réitérées avec le joueur Mbappe, comme auparavant à l’île St-Martin. En plus, il s’est rendu au Qatar pour la demie finale de la coupe du monde de foot, pour manquer une réunion importante à Bruxelles entre l’UE et le Sud-Est asiatique. Il a préféré envoyer à sa place le chancelier Scholz, qui méprise notre pays. Et une Allemagne qui n’a rien à faire de la France et qui fait jeu à part.
Avoir toujours à la bouche les mots de République et de démocratie quand on préfère gouverner seul, en parfait autocrate, ne manque pas de sel. Avec un prédécesseur bien connu, l’autocrate Ceausescu, dont on connaît la triste fin. Qu’il fasse bien attention de ne pas finir comme lui. Seuls, les conseils avisés de son épouse mère semblent lui suffire.
Et l’opposition que fait-elle devant cette situation ? Elle se tait, comme jamais ce ne fut le cas, depuis les débuts de cette 5ème république. Nous avons donc un président qui n’en fait qu’à sa tête et qui ne se montre pas digne de la fonction qu’il occupe. Je reprends les paroles du psychiatre Adriano Salvatori dans son diagnostic « Macron est un psychopathe, avec des comportements de déséquilibré, il est aussi manipulateur, narcissique, avec des tendances aux troubles mentaux ».
Un homme qui détient actuellement le code nucléaire à portée de main devrait être absolument sain d’esprit. Ne serait-il pas judicieux d’exiger de tous les Chefs d’Etat qu’ils donnent régulièrement des nouvelles de leur santé, tant mentale que physique ?
C’est ce que demande François Asselineau qui s’inquiéte de sa santé mentale et par là de l’avenir de l’avenir de la France, il n’est d’ailleurs pas le seul. Cela, avant d’exiger, comme le demande Florian Philippot de lancer une procédure de DESTITUTION, en vertu de l’Article 68 de la Constitution.
Orwell : « Le langage politique est destiné à rendre vraisemblables les mensonges et à donner l’apparence de la solidité à ce qui n’est que du vent ».
Onyx
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