28 janvier 2023 Publié par Xavier Jesu
La France est au pied du mur dans son aide à l'Uktaine
Elle a envoyé des munitions, des canons, de vieux blindés à roues, mais se heurte au principe de réalité. Si elle envoie des chars lourds, ou des avions de chasse, comme le demande Zélensky, les choses ne se présenteront pas de la même manière. Pour ces engins, très complexes, il va falloir des formations, pour les récipiendaires du matériel. Il va falloir aussi, une impressionnante logistique, du carburant, du matériel, des pièces détachées, des mécaniciens, des informaticiens, un environnement opérationnel, fait de drones, de relais au sol, nous de sommes plus dans la même dimension.
Il va falloir y aller
En admettant que nous décidions d’aller combattre les Russes en Ukraine, il y a encore deux écueils et pas des moindres. On y va comment ?
Il faut se souvenir que l’armée française a des capacités de projection assez limitées, avec son A400M. Pour preuve, pour aller loin, nous utilisions habituellement de très grands Antonov, que nous louions… aux Russes. Et l’armée française est constituée de professionnels, dont beaucoup préféreront sans doute démissionner, que d’aller risquer leur vie dans une guerre qui ne nous regarde pas. Il se trouve quand même, de ces jeunes députés ineptes, en jean et pull, décontractés, pour expliquer doctement que si, il faut y aller. Des fois, on se demande s’ils réfléchissent avant de parler.
Pas sûr que les gars veuillent bien
Pour les Russes, qui ont bouté hors de chez eux, les chars nazis en 39-45, voir revenir les Léopard allemands, au service d’un État ukrainien, ouvertement nazi, va revêtir une dimension extrêmement symbolique et les Allemands aussi, devraient faire preuve d’un peu plus de réserve : ça les regarde. Toujours est-il, que la crainte actuelle du quidam, en France, a bien évolué depuis les premières heures de cette guerre. Personne ne se pavane plus avec le petit drapeau ukrainien qui faisait bon chic, bon genre. Et les mères commencent à avoir peur que leurs fils aillent combattre loin et surtout, pour rien. Il serait bon que de vrais militaires fassent un peu de pédagogie sur les plateaux télé, à condition qu’on les autorise à dire la réalité, pour expliquer les tenants et aboutissants de l’affaire. La dernière fois qu’on a cru partir la fleur au fusil, ça s’est très mal terminé.
LES ACCORDS DE MINSK
Nous redisons, au RPF, notre souhait de s’asseoir à la table, de remettre sur le métier les accords de Minsk et de rediscuter sérieusement du sort des populations russophones du Donbass. Ceci puisque l’ancienne chancelière allemande, Angela Merkel, a bien expliqué qu’ils avaient été conclus, pour gagner du temps et n’avaient jamais été respectés.
Pierre Duriot
28 janvier 2023
Ils ont signés c'est pour en chier ils ont oubliés qu'ils se sont engagés donc volontaire ,quand ils sont interrogés sur leurs engagement c'est pour mon pays ,l'honneur et la patrie la bonne blague !!!!
RépondreSupprimerBeaucoup se sont engagés pour la sécurité de l'emploi .
RépondreSupprimerque nos élu(e)s qui sont pour la guerre passent devant pour montrer l'exemple
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