“Comment ? ! Vous dites qu’une nouvelle technologie dont le risque cancérogène n’a jamais été évalué… pourrait finalement provoquer… des cancers ? Mais c’est fou ! Vous me faites marcher ! C’est incompréhensible ! Je suis stupéfaite ! Et même baffled, en anglais !”
Un fait incontestable : les produits ARNm -nouvelle technologie jamais testée à grande échelle- n’ont fait l’objet d’aucune étude de risque cancérogène.
Et pour une raison évidente : cela nécessite du temps (bien loin des délires et de l’hubris consistant à dire qu’on a développé un “vaccin en quelques heures” sur un PC. Ah ? Vous ne saviez pas ? Il faut lire…).
PREUVE 1 : document officiel de la FDA (Etats-Unis) :
PREUVE 2 : document officiel ministère de la Santé (UK) :
La situation est donc limpide : depuis fin 2020, tous les discours du type “ces produits sont parfaitement sûrs“… relèvent du mantra.
Du slogan publicitaire.
Ou pour être plus précis : de la propagande.
Et les centaines de millions d’individus injectés sont -formellement- des cobayes.
(Remarquons, sur les documents officiels… qu’il en va de même concernant les risques… liés à la fertilité ! Et là encore incroyable coïncidence… la natalité chute dans de nombreux pays…).
Deuxième fait : depuis le début des injections, des anomalies cancéreuses… apparaissent bel et bien. Des praticiens courageux osent parler. Une pathologiste suédoise a ainsi forgé l’expression de “turbo cancers“, pour décrire ce qu’elle voit au quotidien (des malades très jeunes, des tumeurs qui se développent très rapidement).
Autre fait : la hausse des cancers du col de l’utérus par exemple… se voit dans les statistiques hospitalières… françaises (mais oui !).
Voici une étude qui décrit un seul cas. Un homme de 66 ans.
Il souffre d’un cancer du sang, rare (AITL, Angioimmunoblastic T-cell lymphoma).
L’intérêt de cette étude est de démonter le lien quasi certain entre l’injection d’une dose de rappel (3ème dose) et le développement fulgurant de la maladie (l’inflammation des ganglions lymphatiques passant même du côté gauche, au côté droit… suivant le sens des injections ! ).
this is the first observation suggesting that administration of a SARS-CoV-2 vaccine might induce AITL progression. Several arguments support this possibility. First, the dramatic speed and magnitude of the progression manifested on two 18F-FDG PET-CT performed 22 days apart. Such a rapid evolution would be highly unexpected in the natural course in the disease.
Les auteurs prennent énormément de précautions, jusqu’au
ridicule. Ainsi, selon eux, le patient souhaite une enquête mais il
demeure convaincu que les “vaccins”… ont une balance risques-bénéfices
favorable !
The patient is the corresponding author of this case report. He hopes that this report will incentivize investigations to clarify the possible impact of anti-SARS-CoV-2 mRNA vaccination on the course of AITL. He remains convinced that mRNA vaccines represent very efficient products with a favorable benefit-risk ratio.
On mesure le trollage… c’est comme si les chercheurs avaient eu un flingue contre la tempe.
C’est hélas nécessaire pour espérer pouvoir publier de telles données et éviter les ciseaux numérique de la censure…
Autre point, statistiquement valide. Ils affirment que les systèmes de pharmacovigilance NE PEUVENT PAS détecter ce genre d’anomalies (car cette forme de cancer est très rare).
(rappelons en outre que les bases de données de type VAERS souffrent d’une sous-déclaration massive, ce qui factorise le problème statistique).
Enfin, ils osent dire qu’il faudrait revoir la stratégie vaccinale pour des patients avec de tels profils…
En clair arrêter.
On the longer term, the use of mRNA vaccines should clearly be avoided while other types of vaccines might be considered.
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