par François Meylan.
C’est une véritable guerre que l’on déclare aux non « vaccinés ».
Encore que « vacciné » ne soit pas le terme adéquat mais plutôt « inoculé expérimentalement ». Cette terminologie est non seulement plus proche de la réalité mais elle protège des algorithmes frappant d’une censure arbitraire et implacable sur des plateformes telles que YouTube. Pour ne mentionner que celle-ci. On aura tous noté que le débat n’est pas libre. Quand il traite des effets indésirables graves des inoculations provoqués par l’ARNmessager de Pfizer ou de Moderna, le débat est même interdit.
Pour exemple, cette émission du vendredi de CNews dans laquelle le journaliste vedette Pascal Praud tente tant bien que mal d’interviewer Mathilde, une adolescente de 16 ans, qui est paralysée des membres inférieurs depuis sa deuxième dose et que l’avocat Alain Jakubowicz traite d’irresponsable. Attitude irresponsable de Pascal Praud selon l’avocat parce qu’on ne devrait pas parler des effets indésirables sur une chaîne d’information à forte audience1. Comme si le fait de « vacciner » en masse les adolescents pour lesquels le risque de se retrouver en réanimation par faute de la Covid-19 était responsable…
En parallèle à ces atteintes répétées à la liberté d’expression et au travail du bon et vrai journaliste, d’autres médias mainstream se chargent du travail de sape. Exemple avec le quotidien suisse « Blick » qui disqualifie les thérapies alternatives comme l’ivermectine qui ne serait qu’un vermifuge destiné aux chevaux2. Ou encore « Heidi.news » qui se voue à de la masturbation cérébrale en tirant à boulets rouges régulièrement sur les non vaccinés. Avec des « articles » de presse vindicatifs et sournois tels que « Non vacciné cherche non vacciné pour rapports sexuels »3.
Chez « Anticrim », jeune association suisse apolitique et bénévole4, on considère que si l’ultime objectif de cette nouvelle religion du tout vaccin n’est que d’écouler des stocks de doses acquis au prix fort et dont l’efficacité attendue n’est pas au rendez-vous on ne s’y prendrait pas autrement5. Dans ce montage de manipulation des masses qui sert directement les caisses de quelques laboratoires pharmaceutique, « Anticrim » identifient trois groupes de protagonistes :
1) les médias mainstream ;
2) les dirigeants politiques ;
3) et quelques labos pharmaceutiques qui sont les mandants de la dictature « vaccinale » que nous subissons.
Le premier groupe étant spécifiquement le maillon faible de l’organisation. Le courage n’étant souvent pas le fort des journalistes de ce type de médias, à la fois, aseptisés et orientés. Et pour le combattre il s’agit de dénoncer systématiquement à l’autorité compétente toute expression de discrimination ; l’appel à la haine et la désinformation.
L’autre axe pour affaiblir le pouvoir de nuisance de ces médias qui sont devenus porte-paroles voire propagandistes est de leur fermer les robinets de la redevance et autres subventions publiques. À ce titre, « Anticrim » invite à se mobiliser et à voter NON lors de la votation fédérale du 13 février 2022, en Suisse, sur l’aide financière aux médias6.
- https://youtu.be/OFzC7hVAk4
- https://www.blick.ch/schrapnel-et-ivermectine-un-professeur-zurichois-coronasceptique-bloque-par-twitter
- https://www.heidi.news/non-vaccine-cherche-non-vaccine-pour-rapports-sexuels
- https://reseauinternational.net/lassociation-apolitique-suisse-composee-de-benevoles-anticrim-voit-le-jour-en-suisse-romande
- https://reseauinternational.net/la-confederation-suisse-sest-engagee-avec-pfizer-a-vacciner-a-tour-de-bras-jusquen-2023
- https://www.admin.ch/2022/02/13/loi-federale-sur-un-train-de-mesures-en-faveur-des-medias
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