Il y a un an tous les savants qui parlaient d’une creation humaine étaient ridiculisés par les médias et les médecins de plateaux tv . Pourtant il y avait des précédents….
Mais il ne fallait pas en parler car Fauci le responsable de la tragédie américaine et monsieur Buzyn auraient participé au financement
Certitude aujourd’hui la covid est bien une chimère hybride , une création de chercheurs destinée à mieux connaitre la transmissibilité aux humains . Avant de jouer aux apprentis sorciers avec les vaccins tout a commencé avec le virus…
Les sénateurs républicains ont grillé le Dr Anthony Fauci au sujet des subventions accordées à l’Institut de virologie de Wuhan et des origines de Covid-19 lors d’une audience du comité sénatorial des crédits mercredi
Le sénateur John Kennedy (R-La.) A soulevé la question de savoir si le financement fourni à l’Institut de virologie de Wuhan était utilisé aux fins prévues et non à des fins de recherche fonctionnelle, que Fauci avait précédemment décrite comme virus qui pourrait infecter l’homme et le rendre plus transmissible et/ou pathogène pour l’homme.
Fauci a confirmé que 600000 dollars de subventions à utiliser sur cinq ans ont été fournis pour étudier si les coronavirus des chauves-souris pouvaient être transmis aux humains, ajoutant qu’il pensait que le financement avait été correctement utilisé, mais ne pouvait pas à 100% confirmer qu’il a été utilisé pour son objectif.
Le laboratoire de Wuhan a été conçu avec l’aide de sociétés françaises dans le cadre d’un accord franco-chinois, comme l’expliquait Bernard Cazeneuve dans son discours tenu à l’occasion de cette visite.
Le
jeudi 23 février 2017 le Premier ministre s’est rendu au laboratoire P4
de haute sécurité biologique à Wuhan, emblème de la relation
franco-chinoise en matière de recherche scientifique et de santé.
Le reportage de la RAI tourné en 2015 s’appuyait sur une publication de scientifiques chinois qui avaient rendu transmissible à l’homme un virus de chauve-souris, le SHC014, en utilisant l’enveloppe du SRAS, et créé ainsi une « chimère », un virus hybride.
Ce n’était pas une première. En 2012, deux expériences menées dans des laboratoires P4 (pour « pathogène de classe 4 », susceptibles d’abriter des micro-organismes très pathogènes) aux Pays-Bas et au Japon avaient réussi à rendre le virus de la grippe aviaire A (H5N1) transmissible par l’air. En 1995, l’Allemand Klaus Überla avait créé un virus hybride du SIV, le sida des singes, et du VIH-1, le RT-SHIV.
Si les « chimères » existent, l’une des erreurs des complotistes est de les confondre avec des armes biologiques offensives – qui existent elles aussi –, alors qu’il s’agit le plus souvent de modèles utilisés à des fins de recherches scientifiques.
Cofinancée par EPT, branche antipandémie de l’Agence américaine pour le développement international, l’étude chinoise relatée en 2015 par la RAI visait en réalité, après le SRAS et le MERS-CoV, deux épidémies de coronavirus ayant touché l’homme en 2003 et 2012, à anticiper les mutations et les risques épidémiques d’un virus transmis par les chauves-souris. Idem pour le virus H5N1 aérien, qui avait été développé pour montrer « la nécessité de se préparer à de potentielles pandémies », soulignait l’étude japonaise. Quant à la manipulation du VIH, elle a permis d’utiliser les macaques comme animaux modèles pour expérimenter des remèdes destinés à l’homme.
Chimères et supervirus suscitent néanmoins l’inquiétude, y compris au sein de la communauté scientifique, qui est consciente de leurs risques. Il est donc vrai que des virus créés en laboratoire existent, et font peur
Une pratique, vivement débattue, consiste notamment à rendre des virus davantage capables d’infecter les humains pour mieux les étudier. On parle d’expériences de «gain de fonction». Les Etats-Unis avaient posé en 2014 un moratoire temporaire sur ce type de recherche concernant les coronavirus et les grippes. Pourtant, en 2015, des chercheurs américains avaient créé un virus du coronavirus chimérique capable d’infecter les humains.
Ainsi, le Wall Street Journal a affirmé ce dimanche que trois chercheurs de l’Institut de virologie (WIV) de la ville chinoise d’où est partie la pandémie ont été hospitalisés en novembre 2019 avec «des symptômes évocateurs du Covid-19 ou d’une maladie saisonnière commune». L’information provient d’une note des services secrets américains.
µL’OMS échoue à donner une preuve d’une transmission de l’animal à l’homme, malgré la piste du pangolin. Pour ce faire, il aurait fallu trouver un virus présent chez un animal et génétiquement très proche du Sars-CoV-2. «Plus de 80 000 échantillons provenant d’animaux sauvages, domestiques ou d’élevage, ont été testés, sur le marché de Wuhan, dans la région de Hubei et d’autres régions chinoises. Tous étaient négatifs. […] A partir du moment où une hypothèse scientifique a été testée plus de 80 000 fois, sans résultats probants, il est normal de s’interroger sur sa validité et d’en tester d’autres», note le virologue français Etienne Decroly dans Mediapart.
Depuis quelques semaines, les éléments pointent au contraire vers une responsabilité de l’Institut de virologie de Wuhan. Ils ont d’ailleurs conduit plusieurs chercheurs à écrire une lettre sur le sujet dans le prestigieux journal Science. D’autant que cet institut n’a pas joué franc jeu dans la mise à disposition publique des séquences des virus étudiés en son sein. Par exemple, il a mis du temps à admettre qu’il travaillait bien sur des coronavirus prélevés en 2012 dans une mine et responsables de la mort, par pneumonie, de plusieurs mineurs.
D’ailleurs, le virus naturel génétiquement le plus proche du Sars-CoV-2, nommé le RaTG13, provient de cette mine, même s’il «ne semble pas être le progéniteur direct du SARS-CoV-2», notent Etienne Decroly et Virginie Courtier dans The Conversation Encore plus perturbant, des rapports de master et une thèse soutenue au sein de l’institut, publiés par le compte Twitter anonyme The Seeker, «indiquent qu’il y a au moins un autre coronavirus de chauve-souris conservé au WIV, et que ce coronavirus est potentiellement très intéressant»,explique le même Etienne Decroly dans le Monde
LE DOSSIER DE FRANCE SOIR
Un article paru dans le Daily Mail le 28 mai 2021 et traduit par FranceSoir confirme la thèse du Pr Montagnier et du mathématicien Jean-Claude Perez que le Covid-19 a été fabriqué en laboratoire. Cette hypothèse longtemps décriée par les autorités chinoises, américaines, européennes a mené bien des prétendus « fact-checkers » à traiter à tort de complotiste les médias et les personnes qui s’aventuraient à évoquer l’hypothèse de la fabrication en laboratoire. Chez FranceSoir, nous avions émis de sérieux doutes et publiés l’Histoire du Covid, une analyse complète compilant toutes les informations disponibles avec l’aide de Valère Lounnas et du Dr Gérard Guillaume. Cette thèse avait aussi été avancée par le Pr Tritto dans son livre la Chimère ou le Dr Steven Quay dans son debriefing ainsi que le physicien médecin Dr Richard Fleming. La CIA, quant à elle, s’était gardée une porte de sortie en attendant de nouvelles informations.
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