— par Alain Escada — 7 avril 2021
Faut-il rappeler que Jacques Attali est ce qu’on peut appeler un “initié” de l’hyper-classe mondialiste ?
Fondateur et premier président de la BERD (Banque européenne pour la reconstruction et le développement), président d’Attali & Associés (cabinet de conseil international spécialisé dans le conseil stratégique, l’ingénierie financière et les fusions-acquisitions), président de Positive Planet ancien président du conseil de surveillance de Slate.fr, membre du comité stratégique de la France China Foundation, etc.
On le retrouve encore au Bilderberg, au Congrès Juif Mondial, au Forum Economique Mondial, etc, etc.
Ce qu’il dit ou écrit n’est donc jamais innocent. Or, sur son site personnel, en date du 31 mars, il signe un article intitulé La pandémie, et après ? qui contient un paragraphe qui doit retenir particulièrement notre attention :
« (…) Ensuite, parce qu’il faudra se préparer à l’émergence probable de nouveaux variants résistants aux vaccins actuels, et résister au désespoir qui pourrait suivre la nécessité de nouveaux reconfinements, en attendant de produire à très grande vitesse des milliards de doses de vaccins nouveaux, et organiser des campagnes planétaires de vaccination ; il faudra prendre son parti d’avoir à le faire tous les ans, pendant des décennies ; pour cette maladie et sans doute pour bien d’autres. Il faudra alors se décider à faire enfin tout ce qu’on aurait dû déjà faire depuis un an pour préparer notre société à vivre au mieux dans un monde à pandémies multiples : la réorganisation des lieux d’études et de travail, pour qu’ils soient structurellement adaptés à ces périodes, qu’on pourrait revivre périodiquement. »
Vous voilà, une fois de plus, averti. Les mondialistes ont prévu un scénario totalitaire sous prétexte sanitaire qui durera des décennies si nous n’y mettons pas fin.
Le début du titre de l'article (merci à l'auteur) lui va comme un gant.
RépondreSupprimer