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dimanche 12 avril 2020

Opération de com. et Intifada



Devant une foule qui apparaît à la fois curieuse et revendicative (moi y en a vouloir des sous), mais aussi hostile, celui que Pierre Cassen (de Riposte Laïque) appelle Choupinet est venu faire son apparition dans le 93.

Venant de rendre visite à l’hôpital de la ville, peut-être en a t’il profité pour prendre un bain de foule et juger de sa popularité parmi les habitants diversitaires. 

Mais ce qui surprend le plus dans cette rencontre, c’est le décalage entre les mesures exigées pour lutter et se protéger du virus chinois, quand il s’agit d’obliger le confinement du français de souche et le laisser aller des quartiers sensibles, accepté trop facilement par le chef d’Etat. « Dans un département où il y a beaucoup de pauvreté, les habitants « respectent » le confinement de manière remarquable. Je les en remercie ».
C’est presque un compliment, dans un mensonge. 
D’autant plus surprenant, qu’on le voit entouré de gens agglutinés, très proches de lui, malgré sa demande de garder les distances.
Lui-même, ne portant pas de masque, comment pouvait-il en faire le reproche à son proche entourage. 
On attendrait plutôt, qu’il respecte lui-même les consignes qu’il nous dispense volontiers.
Il a fait aussi en sorte, de ne pas venir les mains vides, puisque 300 000 masques, 4 000 tablettes et des ordinateurs seront envoyés dans le 93. 

Seront-ils destinés aux Centres de soin, ou à cette population hétérogène qu’il semble rechercher ?
Par contre, ces banlieues bruyantes et indisciplinées seront dispensées de tout contrôle de police et de verbalisation, pour ne rien changer et pour éviter les conflits.  
Les amendes à 135 € seront pour les kouffars, pour ceux qui partent travailler le matin, car il faut bien qu’ils fassent vivre ceux qui brûlent leurs voitures et à l’occasion, leur crachent dessus. 
Pour les gogos, c’est déjà 8 millions de contrôles et 500 000 PV.
Et surtout, pas question de donner des ordres de rigueur à la police pour mettre un terme définitif aux trafics illicites et pour obliger les voyous et les islamistes qui narguent la société à se calmer ou à repartir dans le bled qu’ils n’auraient jamais du quitter. 
Il faut bien que jeunesse se passe, pour le politiquement correct.
Un médecin de terrain dit à ce sujet: « Il faut l’armée dans les rues. 
La situation ne devient plus possible, car les habitants ne respectent absolument pas le confinement et nous n’avons plus de lits ».
Et presque au même moment, des bandes incontrôlées appelées pudiquement « trublions » s’en prennent à tout ce qui gène leurs vilains trafics. 
Armés de barres de fer et de cocktails Molotov, ils allument une quinzaine de poubelles et incendient une voiture. 
Des containers sont positionnés pour former un barrage et empêcher la police d’entrer dans leur cité. Des tas de pierres de ballast de la voie ferrée sont ramassées et disposées sur la chaussée pour renforcer la solidité du barrage anti-flics.
Il a fallu le renfort de la police anti-criminalité pour arriver péniblement à mettre fin à ce conflit. 
Sur une vidéo du Syndicat Energie Officier, on peut voir l’attaque d’une voiture de police avec des explosifs. 
Un type danse même sur le capot du véhicule de police dont les occupants n’osent pas sortir.

Par contre, il faut des hélicoptères pour surveiller les confinés qui s’éloigneraient un peu trop de leur maison. 

Pendant ce temps, Belloubet  déconfine à tour de bras des malfrats et des barbus qui nous veulent du bien, mais de préférence avec un couteau.

Mais pour Macron, le danger c’est le repli nationaliste !
Onyx

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