Devant une foule qui apparaît à la fois
curieuse et revendicative (moi y en a vouloir des sous), mais aussi
hostile, celui que Pierre Cassen (de Riposte Laïque) appelle Choupinet
est venu faire son apparition dans le 93.
Venant de rendre visite à l’hôpital de la
ville, peut-être en a t’il profité pour prendre un bain de foule et
juger de sa popularité parmi les habitants diversitaires.
Mais ce qui
surprend le plus dans cette rencontre, c’est le décalage entre les
mesures exigées pour lutter et se protéger du virus chinois, quand il
s’agit d’obliger le confinement du français de souche et le laisser
aller des quartiers sensibles, accepté trop facilement par le chef
d’Etat. « Dans un département où il y a beaucoup de pauvreté, les
habitants « respectent » le confinement de manière remarquable. Je les
en remercie ».
C’est presque un compliment, dans un
mensonge.
D’autant plus surprenant, qu’on le voit entouré de gens
agglutinés, très proches de lui, malgré sa demande de garder les
distances.
Lui-même, ne portant pas de masque,
comment pouvait-il en faire le reproche à son proche entourage.
On
attendrait plutôt, qu’il respecte lui-même les consignes qu’il nous
dispense volontiers.
Il a fait aussi en sorte, de ne pas venir
les mains vides, puisque 300 000 masques, 4 000 tablettes et des
ordinateurs seront envoyés dans le 93.
Seront-ils destinés aux Centres
de soin, ou à cette population hétérogène qu’il semble rechercher ?
Par contre, ces banlieues bruyantes et
indisciplinées seront dispensées de tout contrôle de police et de
verbalisation, pour ne rien changer et pour éviter les conflits.
Les
amendes à 135 € seront pour les kouffars, pour ceux qui partent
travailler le matin, car il faut bien qu’ils fassent vivre ceux qui
brûlent leurs voitures et à l’occasion, leur crachent dessus.
Pour les
gogos, c’est déjà 8 millions de contrôles et 500 000 PV.
Et surtout, pas question de donner des
ordres de rigueur à la police pour mettre un terme définitif aux trafics
illicites et pour obliger les voyous et les islamistes qui narguent la
société à se calmer ou à repartir dans le bled qu’ils n’auraient jamais
du quitter.
Il faut bien que jeunesse se passe, pour le politiquement
correct.
Un médecin de terrain dit à ce sujet:
« Il faut l’armée dans les rues.
La situation ne devient plus possible,
car les habitants ne respectent absolument pas le confinement et nous
n’avons plus de lits ».
Et presque au même moment, des bandes
incontrôlées appelées pudiquement « trublions » s’en prennent à tout ce
qui gène leurs vilains trafics.
Armés de barres de fer et de cocktails
Molotov, ils allument une quinzaine de poubelles et incendient une
voiture.
Des containers sont positionnés pour former un barrage et
empêcher la police d’entrer dans leur cité. Des tas de pierres de
ballast de la voie ferrée sont ramassées et disposées sur la chaussée
pour renforcer la solidité du barrage anti-flics.
Il a fallu le renfort de la police
anti-criminalité pour arriver péniblement à mettre fin à ce conflit.
Sur
une vidéo du Syndicat Energie Officier, on peut voir l’attaque d’une
voiture de police avec des explosifs.
Un type danse même sur le capot du
véhicule de police dont les occupants n’osent pas sortir.
Par contre, il faut des hélicoptères pour
surveiller les confinés qui s’éloigneraient un peu trop de leur maison.
Pendant ce temps, Belloubet déconfine à tour de bras des malfrats et
des barbus qui nous veulent du bien, mais de préférence avec un couteau.
Mais pour Macron, le danger c’est le repli nationaliste !
Onyx
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