Posted on: 4 avril 2020
Author: Pierrick Tillet
Plus la pandémie de Covid-19 avance et répand ses
ravages, plus l’idée d’un procès au pénal des responsables fait son
chemin.
Mais un procès au pénal survient toujours une fois le crime commis.
Or le crime est en train d’être commis sous nos yeux dont nous sommes tous les potentielles victimes. Pouvons-nous attendre ?
Tout d’abord, tous les éléments d’un crime par imprudence sont réunis :
- une pandémie stupidement méconnue, puis niée,
- pas de masques,
- pas suffisamment de lits d’hôpitaux,
- pas d’appareil de réanimation en nombre suffisant,
- des sacs poubelles en guise de blouse pour le personnel soignant,
- des médecins, infirmier.e.s, aides soignant.e.s, en effectif insuffisant et abandonnés à leur sort,
- des Ehpad laissés à l’abandon…
Un crime avec préméditation
Mais il y a aussi les éléments caractérisés du crime avec préméditation :
En cas de pandémie soudaine, les règles méthodologistes nous condamnent à mort !
- refus des tests systématiques de dépistage, même lorsque le matériel est à disposition :
- refus de nationaliser les entreprises de salut public, comme Luxfer, fabricant de bouteilles d’oxygène liquidé en 2019,
- refus, malgré l’urgence, d’appliquer les traitements mis au point par des infectiologues de terrain et d’expérience comme le professeur Raoult…
En cas de pandémie soudaine, les règles méthodologistes nous condamnent à mort !
Je voudrais m’arrêter sur ce dernier point, pour montrer toute
l’absurdité, toute l’obscénité de l’attitude méthodologiste.
Les pandémies comme celle du coronavirus surgissent toujours à l’improviste, se répandent comme trainées de poudre, sèment leur œuvre de mort sur leur passage.
S’il faut une quinzaine de jours pour mener les tests des traitements et en avoir les résultats selon les règles des méthodologistes, s’il faut ensuite plusieurs semaines pour valider “scientifiquement” la parade médicale au mal qui se répand, alors la science nous condamne à mort, car les pandémies se foutent des critères méthodologistes de la science et de ses délais interminables !
L’urgence : neutraliser les criminels sans attendre l’après-pandémie
Les pandémies comme celle du coronavirus surgissent toujours à l’improviste, se répandent comme trainées de poudre, sèment leur œuvre de mort sur leur passage.
S’il faut une quinzaine de jours pour mener les tests des traitements et en avoir les résultats selon les règles des méthodologistes, s’il faut ensuite plusieurs semaines pour valider “scientifiquement” la parade médicale au mal qui se répand, alors la science nous condamne à mort, car les pandémies se foutent des critères méthodologistes de la science et de ses délais interminables !
=> France, 3 avril 2020 : +1.120 morts (588 hors Ehpad + 532 en Ehpad désormais comptabilisés) :
L’urgence : neutraliser les criminels sans attendre l’après-pandémie
Le comportement criminel de nos autorités politiques et sanitaires est aujourd’hui avéré.
Les coupables sont connus : Emmanuel Macron (Président de la République), Édouard Philippe (Premier ministre), Agnès Buzyn et Olivier Véran (ministres de la Santé), Bruno Le Maire (ministre de l’Économie), Jérôme Salomon (Directeur général de la Santé), les directeurs généraux des Agences régionales de Santé (ARS), les présidents directeurs-généraux de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), le préfet Lallement (pour la partie policière de ce crime)…
La priorité des priorités, en terme de salubrité publique, voudrait que ceux-là soient immédiatement placés en état d’arrestation, mis hors d’état de nuire avant même cette après-pandémie, lorsque le temps sera venu de les juger pour leurs crimes.
Il arrive même qu’en « temps de guerre » – c’est eux qui le disent – les criminels et les traitres à la nation soient passés par les armes.
En attendant, leur désobéir à tous les niveaux, principalement médicales, est un devoir.
Résister à leurs directives criminelles en prenant nous-mêmes les décisions qui s’imposent à tous les niveaux est une nécessité en même temps qu’une urgence vitale.
Les coupables sont connus : Emmanuel Macron (Président de la République), Édouard Philippe (Premier ministre), Agnès Buzyn et Olivier Véran (ministres de la Santé), Bruno Le Maire (ministre de l’Économie), Jérôme Salomon (Directeur général de la Santé), les directeurs généraux des Agences régionales de Santé (ARS), les présidents directeurs-généraux de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), le préfet Lallement (pour la partie policière de ce crime)…
La priorité des priorités, en terme de salubrité publique, voudrait que ceux-là soient immédiatement placés en état d’arrestation, mis hors d’état de nuire avant même cette après-pandémie, lorsque le temps sera venu de les juger pour leurs crimes.
Il arrive même qu’en « temps de guerre » – c’est eux qui le disent – les criminels et les traitres à la nation soient passés par les armes.
En attendant, leur désobéir à tous les niveaux, principalement médicales, est un devoir.
Résister à leurs directives criminelles en prenant nous-mêmes les décisions qui s’imposent à tous les niveaux est une nécessité en même temps qu’une urgence vitale.
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