Macron et la canaille qui l’aide à piller la France en long, en large et en travers, ont décidé aujourd’hui de rentrer dans la guerre civile.
Il ne s’agit plus de guerre sociale, mais bien de guerre civile.
Le président-fou qui ressemble plus à Adolphe Thiers, tente de passer une réforme des retraites qui est désavouée par les 2 tiers des Français.
La raison est assez simple, il faut absolument donner un pactole aux assureurs privés.
Ce n’est évidemment pas un hasard si Delevoye, l’employé du lobby des assurances, a été choisi pour présenter l’immonde projet.
Macron paralyse ainsi l’économie française, accroit les tensions sociales, et envoie sa milice tout aussi corrompue que lui matraquer les opposants.
Les yeux sont arrachés, les mains coupées, certes on ne tire pas encore à balles réelles comme en Iran, mais on pressent que ça va venir.
Cette dictature « soft » qui se met en place depuis 2 ans et demi, affine ses armes.
Hier un sénateur LR, une crapule nommé Jean-Pierre Grand, qui essaie de se faire bien voir de Macron, a déposé un projet de loi permettant de condamné tout manifestant qui photographierait les policiers, il encourait une peine pouvant aller jusqu’à 15 000€.
Ce qui fait cher la photo.
Officiellement ce serait une réponse au fait que certains aient écrit des lettres de menaces à des policiers dont ils avaient trouvé l’adresse[1].
Il faut dire que depuis des mois et des mois les flics de la BAC ne font plus que de la répression du mouvement social, et rien d’autre.
Et donc si on suit ce Jean-Pierre Grand cela veut dire qu’on ne pourra plus témoigner des exactions de la police qui matraque et éborgne des femmes âgées ou des handicapées en montrant des photos, car rien que de les avoir prises fait de vous un délinquant.
La racaille milicienne de Castaner a pris maintenant l’habitude de s’attaquer directement aux cortèges des syndicats qui pourtant sont très plan-plan.
Ça s’est encore passé ainsi le 10 décembre à Lyon.
Dès que le cortège a démarré la milice de Castaner a chargé, il a fallu que les pompiers se pointent aux devants pour calmer ces furieux.
C’est tout de même nouveau que sous la Cinquième République on attaque les cortèges syndicaux. Les bacqueux qui sont courageux, mais pas téméraires, se sont rapidement repliés.
Cet épisode en dit long sur la tactique de Macron : faire peur pour dissuader les manifestations, et souder la police à lui-même.
Comme les bacqueux sont tout de même un peu bas du front, ils ne semblent pas avoir compris le jeu qu’on leur fait jouer en leur permettant de faire ouvertement ce qu’ils adorent, cogner des gens désarmés qui ne peuvent pas riposter : en vérité ils défendent les intérêts du grand capital, pour une poignée de cerises, tandis que leurs maîtres continuent de se goberger.
Au passage, Castaner leur donne un petit pourboire. Ça fait des mois que ça dure, des mois qu’on dénonce les violences policières qui ne sont rien d’autre que des interdictions déguisées de manifester.
Ça n’empêche pas ces mêmes policiers de dire qu’ils vont aller eux-mêmes manifester pour leur régime spécial des retraites, mercredi devant le Conseil Economique, Social et Environnemental !
A Rouen où le cortège était plus massif qu’attendu, les manifestants ont carrément fait reculer la police qui voulaient les empêcher de continuer leur parcours : les flicaillons sont remontés dans leurs camions et ont fait demi-tour.
Comme on le voit, il y a un parfum de Guerre civile en France.
Et d’ailleurs comme le rappelait Le monde, de partout la réforme des retraites se passe très mal.
Il ne s’agit plus de guerre sociale, mais bien de guerre civile.
Le président-fou qui ressemble plus à Adolphe Thiers, tente de passer une réforme des retraites qui est désavouée par les 2 tiers des Français.
La raison est assez simple, il faut absolument donner un pactole aux assureurs privés.
Ce n’est évidemment pas un hasard si Delevoye, l’employé du lobby des assurances, a été choisi pour présenter l’immonde projet.
Macron paralyse ainsi l’économie française, accroit les tensions sociales, et envoie sa milice tout aussi corrompue que lui matraquer les opposants.
Les yeux sont arrachés, les mains coupées, certes on ne tire pas encore à balles réelles comme en Iran, mais on pressent que ça va venir.
Cette dictature « soft » qui se met en place depuis 2 ans et demi, affine ses armes.
Hier un sénateur LR, une crapule nommé Jean-Pierre Grand, qui essaie de se faire bien voir de Macron, a déposé un projet de loi permettant de condamné tout manifestant qui photographierait les policiers, il encourait une peine pouvant aller jusqu’à 15 000€.
Ce qui fait cher la photo.
Officiellement ce serait une réponse au fait que certains aient écrit des lettres de menaces à des policiers dont ils avaient trouvé l’adresse[1].
Il faut dire que depuis des mois et des mois les flics de la BAC ne font plus que de la répression du mouvement social, et rien d’autre.
Et donc si on suit ce Jean-Pierre Grand cela veut dire qu’on ne pourra plus témoigner des exactions de la police qui matraque et éborgne des femmes âgées ou des handicapées en montrant des photos, car rien que de les avoir prises fait de vous un délinquant.
La racaille milicienne de Castaner a pris maintenant l’habitude de s’attaquer directement aux cortèges des syndicats qui pourtant sont très plan-plan.
Ça s’est encore passé ainsi le 10 décembre à Lyon.
Dès que le cortège a démarré la milice de Castaner a chargé, il a fallu que les pompiers se pointent aux devants pour calmer ces furieux.
C’est tout de même nouveau que sous la Cinquième République on attaque les cortèges syndicaux. Les bacqueux qui sont courageux, mais pas téméraires, se sont rapidement repliés.
Cet épisode en dit long sur la tactique de Macron : faire peur pour dissuader les manifestations, et souder la police à lui-même.
Comme les bacqueux sont tout de même un peu bas du front, ils ne semblent pas avoir compris le jeu qu’on leur fait jouer en leur permettant de faire ouvertement ce qu’ils adorent, cogner des gens désarmés qui ne peuvent pas riposter : en vérité ils défendent les intérêts du grand capital, pour une poignée de cerises, tandis que leurs maîtres continuent de se goberger.
Au passage, Castaner leur donne un petit pourboire. Ça fait des mois que ça dure, des mois qu’on dénonce les violences policières qui ne sont rien d’autre que des interdictions déguisées de manifester.
Ça n’empêche pas ces mêmes policiers de dire qu’ils vont aller eux-mêmes manifester pour leur régime spécial des retraites, mercredi devant le Conseil Economique, Social et Environnemental !
A Rouen où le cortège était plus massif qu’attendu, les manifestants ont carrément fait reculer la police qui voulaient les empêcher de continuer leur parcours : les flicaillons sont remontés dans leurs camions et ont fait demi-tour.
Comme on le voit, il y a un parfum de Guerre civile en France.
Et d’ailleurs comme le rappelait Le monde, de partout la réforme des retraites se passe très mal.
Marseille ils étaient 150 000, les Gilets jaunes étaient là également
S’il semble que la manifestation contre Macron et sa réforme pourrie des retraites ait été un petit peu moins massive que la semaine dernière, on a dû tout de même approcher le million.
Dont 150 000 à Marseille.
La grève aussi a été un peu moins suivie, les gens craignent de perdre trop d’argent au moment des fêtes de fin d’année.
Il ne faut pas se tromper, cela a été un succès très important.
Et Macron qui confond entêtement imbécile et volonté politique devrait se souvenir que les fins de fin d’année qui approchent, peuvent très bien ralentir le mouvement de revendication, mais pas l’arrêter.
Souvenons-nous de l’an dernier, tout le monde pensait que le mouvement des Gilets jaunes s’arrêterait avec les fêtes, ce ne fut pas le cas, et cela obligea Macron, petit fasciste en herbe, à durcir la répression.
Plusieurs raisons font que le mouvement va s’installer dans la durée : d’abord le fait que Delevoye est un fusible qui va sauter, tôt ou tard.
Ensuite il y a le fait que des macroniens purs et durs sont en train de critiquer vertement le projet, et dans le fonds, Aghion, Pisany-Ferry, Martin[2], et dans la forme.
Les critiques de ces deux derniers piliers du mondialisme échevelé, signifient que Macron et Philippe sont bien des incapables, puisqu’eux sont d’accord sur le fonds, c’est-à-dire, introduire à moyen terme les fonds de pension.
La suite va dépendre de l’attitude des syndicats, et particulièrement de celle de la CGT où pour l’instant Martinez a fait preuve de beaucoup de mollesse, les salariés ne peuvent pas compter sur le syndicat-jaune, la CFDT jouant le rôle de courroie de transmission du MEDEF.
Laurent Berger aime la réforme macronienne, et on ne l’a pas vu critiquer le CICE qui pourtant pourrait tout aussi bien financer les retraites.
Tout est en place aussi pour qu’éventuellement le gouvernement se sépare de Delevoye qui vient de se faire épingler dans une autre affaire.
Il émargeait en effet à 5300 € par mois auprès d’une think tank, IGS, boutique qui prêche la bonne parole libérale à qui veut bien l’écouter.
Delevoye qui ne s’entend pas du tout avec Edouard Philippe vient de démissionner de cette think tank, essayant de sauver sa tête[5].
Au fil des jours, ce personnage crochu, apparait de plus en plus louche et tortueux.
Il n’est plus question qu’il conduise un dialogue avec les syndicats.
Laurent Berger qui se rêve en conseiller social de Macron, va sans doute appuyer son éviction. Macron peut, si ça tourne à l’aigre, écarter ce cupide pour gagner du temps sur le mode, c’est pas moi, c’est lui, et repousser la réforme au second quinquennat, si second quinquennat il y a !
Sans doute Macron qui est hésitant sur à peu près tout, sous ses airs de matamore, ne sait pas trop encore ce qu’il va faire.
Bien sûr il voudrait faire plaisir à ses employeurs, mais c’est très risqué.
On dit par ailleurs que Macron a rencontré des représentants de Black Rock, un fonds de pension américain[6].
Ce qui voudrait dire qu’il s’apprête à leur livrer nos retraites, sans doute en échange d’un peu de pognon quelque part planqué dans les paradis financiers où l’œil de l’Etat ne met pas le pied.
Il a sûrement des obligations avec ce genre de boutique.
Mais le plus important n’est peut-être pas que Macron soit complétement corrompu, on s’en doute, mais plutôt que les fonds de pension ne sont pas fiables pour le financement des retraites.
Ils sont en effet soumis au rendement de la bourse, or dès que celle-ci connait des baisses un peu fortes, ces fonds de pension sont en faillites, et il faut les renflouer avec de l’argent de l’Etat !
Les Fonds de pensions ont connu des crises nombreuses depuis au moins 1980.
C’est d’ailleurs parce que la crise de 2008 a ravagé les Fonds de pension, que cette idée a été abandonnée par Sarkozy, alors qu’il voulait le faire.
Les Fonds de pension ont des multiples tares :
Laurent Berger aime la réforme macronienne, et on ne l’a pas vu critiquer le CICE qui pourtant pourrait tout aussi bien financer les retraites.
Tout est en place aussi pour qu’éventuellement le gouvernement se sépare de Delevoye qui vient de se faire épingler dans une autre affaire.
Il émargeait en effet à 5300 € par mois auprès d’une think tank, IGS, boutique qui prêche la bonne parole libérale à qui veut bien l’écouter.
Delevoye qui ne s’entend pas du tout avec Edouard Philippe vient de démissionner de cette think tank, essayant de sauver sa tête[5].
Au fil des jours, ce personnage crochu, apparait de plus en plus louche et tortueux.
Il n’est plus question qu’il conduise un dialogue avec les syndicats.
Laurent Berger qui se rêve en conseiller social de Macron, va sans doute appuyer son éviction. Macron peut, si ça tourne à l’aigre, écarter ce cupide pour gagner du temps sur le mode, c’est pas moi, c’est lui, et repousser la réforme au second quinquennat, si second quinquennat il y a !
Sans doute Macron qui est hésitant sur à peu près tout, sous ses airs de matamore, ne sait pas trop encore ce qu’il va faire.
Bien sûr il voudrait faire plaisir à ses employeurs, mais c’est très risqué.
On dit par ailleurs que Macron a rencontré des représentants de Black Rock, un fonds de pension américain[6].
Ce qui voudrait dire qu’il s’apprête à leur livrer nos retraites, sans doute en échange d’un peu de pognon quelque part planqué dans les paradis financiers où l’œil de l’Etat ne met pas le pied.
Il a sûrement des obligations avec ce genre de boutique.
Mais le plus important n’est peut-être pas que Macron soit complétement corrompu, on s’en doute, mais plutôt que les fonds de pension ne sont pas fiables pour le financement des retraites.
Ils sont en effet soumis au rendement de la bourse, or dès que celle-ci connait des baisses un peu fortes, ces fonds de pension sont en faillites, et il faut les renflouer avec de l’argent de l’Etat !
Les Fonds de pensions ont connu des crises nombreuses depuis au moins 1980.
C’est d’ailleurs parce que la crise de 2008 a ravagé les Fonds de pension, que cette idée a été abandonnée par Sarkozy, alors qu’il voulait le faire.
Les Fonds de pension ont des multiples tares :
- d’abord évidemment l’argent qu’ils versent à leurs cadres et à leurs dirigeants-actionnaires, ne va pas dans les retraites ;
- ensuite ces Fonds de pension servent à la spéculation financière, ils sont très massifs et peuvent modifier les cotes.
Mais évidemment si la cote se retourne, ils risquent la faillite ;
Mais évidemment si la cote se retourne, ils risquent la faillite ;
- enfin, ils ne sont accessibles qu’à ceux qui ont des emplois haut de gamme, et pas du tout aux prolétaires mal défendus qui bossent pour des petites boutiques.
Ils renforcent donc forcément les inégalités.
Comme quoi en protestant contre la réforme de Macron, les Français ont bien compris les enjeux, et il ne proteste seulement pas contre la fin des régimes spéciaux.
Les manifestations contre la réforme des retraites, s’accompagnent aussi de grèves, par exemple à la raffinerie Esso de Fos[7], et de blocage des péages autoroutiers sous l’impulsion des routiers en colère.
Le port de Fos est également bloqué.
C’est peut-être de ce côté que viendra l’étincelle qui envoie enfin Macron à la retraite.
Les cheminots et les salariés de la RATP sont très remontés et n’entendent rien lâcher, mais encore faut-il que le reste suive.
Ils renforcent donc forcément les inégalités.
Comme quoi en protestant contre la réforme de Macron, les Français ont bien compris les enjeux, et il ne proteste seulement pas contre la fin des régimes spéciaux.
Les manifestations contre la réforme des retraites, s’accompagnent aussi de grèves, par exemple à la raffinerie Esso de Fos[7], et de blocage des péages autoroutiers sous l’impulsion des routiers en colère.
Le port de Fos est également bloqué.
C’est peut-être de ce côté que viendra l’étincelle qui envoie enfin Macron à la retraite.
Les cheminots et les salariés de la RATP sont très remontés et n’entendent rien lâcher, mais encore faut-il que le reste suive.
A Rouen un cortège massif où on pouvait voir des Gilets jaunes a fait reculer la police
Les dockers bloquent le port à Marseille
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