Pauvre Warren, Warren Buffett bien sur, l’un des hommes les plus riches de la planète.
Figurez-vous et ce n’est pas une blague, puisqu' »ils » n’ont plus peur de rien, Warren « ne sait plus où investir ses 128 milliards de dollars de liquidités » !
C’est un article de Yahoo News qui nous apprend que, accrochez-vous bien:
Warren Buffett, le «sage d’Omaha», a décidé d’attendre. Samedi, à l’occasion des résultats du troisième trimestre, son conglomérat Berkshire Hathaway a dévoilé une montagne de liquidités encore plus haute qu’auparavant, culminant à 128 milliards de dollars (114 milliards d’euros). Certains investisseurs s’en sont plaints.
Ils aimeraient voir Warren Buffett réinvestir son trésor de guerre plutôt que de le voir placé dans des bons du Trésor à court terme qui ne rapportent rien en ces temps de taux d’intérêt très bas.
Il faut quand même rappeler, que Warren Buffet, à travers son fonds Berkshire Hathaway, est tout de même juste le propriétaire de l’usine …. LUBRIZOL à Rouen !
Vous ne m’entendrez jamais hurler contre les riches, car, je considère que si tout le monde aime les pauvres personne ne veut le devenir, et que si tout le monde déteste les riches, nous voulons tous le devenir.
Bref, le problème n’est pas la richesse, le problème c’est l’indécence des comportements.
Et nous avons ici du sérieux, du très sérieux en termes d’indécence !
Si Warren, ne sait pas quoi faire de ses 128 milliards de dollars, je propose qu’il commence par en reverser un petite dizaine à tous les Rouennais, à nos amis agriculteurs dont les terres sont bourrées de dioxines mais on ne vous le dira pas franchement; dioxines, un polluant plus que persistant, dont les mamans à Rouen ont des hydrocarbures dans le lait maternel… oui, chez Warren, on n’hésite pas à innover !!
Alors, à défaut de lui éclater le Buffet, au Warren, ce qui serait contraire à mon légendaire pacifisme, je propose de lui éclater le porte-monnaie dans la joie et la bonne humeur collective à la mode américaine, comme on nous l’a fait pour la BNP par exemple…
Sinon, il peut commencer par se taire.
Charles SANNAT
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