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lundi 1 octobre 2018

La saison de la chasse au blanc est ouverte


Résultat de recherche d'images pour "jeune lynché"

L’hiver dans lequel rentre la France pourrait bien durer 90 ans et non 90 jours. Une vague d’agressions d’une violence animale se répand sur son sol. Comme autant de signaux avant-coureurs d’une tempête qui s’annonce gigantesque.

 
" Les images sont difficilement soutenables.
Un jeune blanc est au sol, entouré par une dizaines de garçons.
Ils le rouent de coups avec leurs pieds, avec des barres de bois, et avec les béquilles de leur victime.
Péniblement il arrive à ramper jusque sous une voiture pour échapper à ses agresseurs.
Ils le regardent faire, puis viennent le tirer par les jambes pour recommencer le tabassage. Son visage est en sang.
A vomir.
 
Les images sont difficilement soutenables.
Dans un clip musical, un rappeur noir nommé Nick Conrad poursuit un blanc quasi nu qui rampe lui aussi sur la chaussée.
Le rappeur l’oblige à mordre le coin du trottoir avant de lui donner un violent coup de pied sur le crâne.
Un peu plus tard, il danse avec un groupe de noirs sous le cadavre pendu de sa victime.
Les paroles ?
« Je rentre dans des crèches, je tue des bébés blancs, attrapez-les vite et pendez leurs parents, écartelez-les pour passer le temps divertir les enfants noirs de tout âge petits et grands. Fouettez-les fort faites-le franchement, que ça pue la mort que ça pisse le sang ».
 
Les images sont difficilement soutenables.
« J’lai détruit, il est mort ! » se réjouit un jeune arabe devant la caméra du téléphone d’un compagnon.
Ils sont en tout trois à frapper et insulter un vieil homme blanc.
C’était un pauvre sans-abri polonais.
Il gît sur le bitume, inanimé, le visage ensanglanté et les yeux ouverts.
Ses agresseurs hurlent leur joie.
La vidéo sera partagée des centaines de fois sur les réseaux sociaux.
 
En réalité c’est la situation qui devient difficilement soutenable.
Les jours se suivent et se ressemblent.
Chaque semaine une dizaine de vidéos de lynchages gratuits du même genre inondent les écrans.
Lynchages gratuits ?
Pas tout à fait.
Certes, leur motif de déclenchement est toujours parfaitement insignifiant : un soi-disant regard de travers, une cigarette refusée, le fait d’être assis dans le métro, etc.
Mais si ces prétextes sont effectivement anecdotiques, c’est parce que le motif réel est autre : la haine raciale à l’état pur.
La droite annonce depuis trente ans que la repentance, l’abandon de notre fierté nationale, un enseignement historique idéologisé, la compétition victimaire et le communautarisme allaient transformer la France en un vaste champ de bataille.
Personne n’a jamais été aussi dégoûté d’avoir autant raison.
 
Les images de ces lynchages atroces montrent qu’une partie de la population qui vit en France est déshumanisée par sa haine, et n’a pas la moindre compassion ni le moindre honneur.
Un comportement de meute affamée.
Ces attaques inégales et lâches mais pas moins sanglantes sont des combats d’avant-garde. Si la société et l’Etat ne prennent pas la mesure de ces augures, la situation peut devenir critique rapidement.
Ce qui se passe au Zimbabwe ou en Afrique du Sud, c’est-à-dire une chasse au blanc protégée médiatiquement par l’antiracisme peut se reproduire chez nous.
Comment en sommes-nous arrivés là ?
 
La gauche a perdu son électorat ouvrier et populaire lorsqu’elle l’a tué avec l’Union Européenne.
Devant la nécessité de trouver un électorat de substitution, elle a instrumentalisé l’émotion pour lancer une gigantesque machine à submerger l’Europe démographiquement, afin de créer un électorat.
Avec un cynisme machiavélique, parce qu’elle sait bien que d’une part elle sera tuée par le monstre qu’elle crée, et d’autre part que le libéralisme sociétal qu’elle promeut est radicalement incompatible avec ces populations, trahissant ainsi une seconde et ultime fois son électorat de souche.
 
La gauche c’était Georges Marchais défendant l’ouvrier Citroën qui se tuait au travail, et c’est désormais Benoît Hamon qui tweete une photo de son kebab pour montrer sa soumission aux caïds de sa banlieue dont il est la marionnette pathétique.
 
Les Benoît Hamon sont encore nombreux dans le débat public.
C’est le cas de Cyril Camus des Inrocks, qui préfère s’indigner des relais de la polémique autour de Nick Conrad plutôt que de la polémique elle-même.
 
C’est le cas aussi de Samuel Laurent, qui compare le rappeur à Georges Brassens et à son côté « bon enfant ».
 
C’est le cas de Elise Vincent et Lucie Soullier, toutes deux journalistes au Monde qui ont rédigé un papier hallucinant titré « Après le bataclan, un père sur la chemin de la haine ».
Ce papier charge Patrick Jardin, le père d’une fille abattue au Bataclan sous les balles d’islamistes : il serait coupable de haine envers ceux qui ont massacré sa fille.
 
Ils donnent aux populations immigrées de première, deuxième et troisième génération un signal clair : la chasse au blanc est ouverte.
 
Ils auront toujours une bonne raison suivie d’une bonne excuse pour le tuer : le blanc est coupable par nature.
 
Ces avocats de la diversité sont persuadés que ces actes sont motivés par une conscience de classe, appliquant la grille d’analyse marxiste qui n’a jamais porté que des fruits vénéneux. Cette fois encore elle montre sa limite originelle, en empêchant ses adeptes de voir que c’est une conscience de race qui pousse à la violence.
Le pacifisme est un processus de réflexion qui consiste à croire que si l’on ne veut pas d’ennemi on n’en aura pas.
Cette réflexion issue en ligne droite de la doctrine des Lumières n’a jamais conduit qu’à la défaite et au déshonneur.
Elle a été entre autres celle des pires collaborateurs pendant la seconde guerre mondiale.
Les Romains ont fait tenir leur empire pendant quatre siècle avec une doctrine plus empirique résumée d’une manière admirable : « si vis pacem para bellum ».
Si tu veux la paix prépare la guerre.

Louis Lecomte, journaliste, pour l'Incorrect.
 
Vu sur le blog de corto74

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