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lundi 29 octobre 2018

Mères musulmanes, jamais vous n’aurez ma compassion !

 
 


Publié le 28 octobre 2018 - par Bruno Lafourcade -

« Aidez-nous à sauver nos enfants ! », supplie-t-elle.

Elle a quarante-cinq ans, elle est musulmane, elle porte le foulard règlementaire, et elle habite à Saint-Denis, cité Floréal.
Elle a fabriqué un petit cercueil et organisé une marche pour protester contre l’assassinat d’un adolescent de seize ans, tué par balles le mois dernier ; et, en tant que « maman », elle « exprime, dans Le Parisien, sa lassitude et ses craintes face à la violence entre jeunes dans sa ville » – en français moins conventionnel : elle pleurniche, tournée vers les bons couillons de petits Blancs, sur le sort de ces adolescents que les gens comme elle n’ont rien fait pour empêcher de devenir des sauvages, quand ils ne les ont pas poussés à le devenir.
Madame, c’est vous, les blédardes comme vous, et leurs familles, c’est vous en tant que communauté refusant la France de tout son être, c’est vous qui êtes à l’origine de ces crimes, c’est vous qui avez pavé l’enfer que vous nous faites subir, c’est vous qui avez créé, et voulu, cette France horrible où nous sommes, que nous ne reconnaissons plus, c’est vous qui avez fait de ce pays ce que vous faites des immeubles que vous saccagez, des cages d’escalier où vous pissez, des ascenseurs où vous écrivez nike la polisse – alors ne venez pas nous demander de nous lamenter sur le sort des vôtres.
Avant les vôtres, la France, ce n’était pas ça.
Ce n’était pas ces voitures klaxonneuses, ces cris et ces youyous à chaque mariage, ni ces scooters pétaradant sous les fenêtres au milieu de la nuit, ni ces voitures brûlées par milliers tous les ans, ni ces saccages à chaque match, à chaque ramadan, à chaque remuement de policiers, ce n’était pas des guerres de gangs entre caïds de kortier.
Avant vous, on ne crachait pas par terre, on ne vivait pas dans le langage ordurier permanent, on ne pointait pas des armes sur des professeurs, on n’organisait pas des viols collectifs dans les caves. Avant vous, on n’avait jamais lapidé de pompiers ni de médecins, ni reçu de coups de couteau pour une cigarette ou un regard, ni détroussé des blessés ou des cadavres.

La France vous a tout donné : elle soigne vos dents, elle sponsorise vos berceaux, elle multi-subventionne vos clubs de boxe, elle a même essayé de vous apprendre à lire et à écrire.
Qu’est-ce que vous avez fait de tout ça ?
Tout ce que vous avez appris à vos enfants, c’est à baragouiner c’i nous qu’on a kanstruit la Fronce – alors qu’ils peineraient à charger une agrafeuse.
Alors, marchez tant que vous voudrez avec votre cercueil en carton arrosé de sanglots d’alligators : jamais vous n’aurez ma compassion – jamais.

Je la garde pour ceux que les vôtres ont assassinés, ces petits Blancs que vous appelez au secours aujourd’hui, et sur lesquels vous n’avez jamais versé une larme.
Vous en avez fabriqué des petits cercueils, vous en avez organisé des marches, quand vos sauvages poignardaient au hasard un petit Blanc dans la rue ?
On vous a vue, avec votre foulard sur la tête, pleurer sur nos morts, ceux que vos petits innocents violent et tuent ?

Alors n’espérez pas m’émouvoir avec le sort de jeunes crapules qui terrorisent les villes, et saccagent tout à la moindre contrariété, à la moindre joie, puisque chez les dégénérés que vous avez fait naître, plaisir et déplaisir se confondent dans le saccage.

Vos morts, je m’en contre-cogne les bollocks : ils n’auront pas ma compassion – réjouissez-vous déjà qu’ils n’aient pas ma haine.

Bruno Lafourcade

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