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mercredi 22 février 2017

La Suède confrontée à une vague de criminalité immigrée occultée par le pouvoir

Le 22/02/2017

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22 février 2017 

 Si n’étaient quelques courageux lanceurs d’alerte prêts à braver le poids du politiquement correct, on ne saurait pas grand-chose de la vague de criminalité, largement imputable à la population immigrée d’arrivée récente, qui frappe aujourd’hui la Suède.
 
Un officier de police de haut rang, Peter Springare, vient de publier sur Facebook son récit d’une semaine d’activités policières dans la ville médiévale d’Örebro, 100.000 habitants.
 En 47 ans d’expérience policière, il n’avait jamais vécu cela : une série de crimes et délits, impliquant en majorité des migrants islamiques d’origine africaine et proche-orientale, pousse aujourd’hui à bout les forces de l’ordre.
Il n’est pas le seul à parler ainsi : un autre officier de police, de Göteborg, celui-là, abonde dans le sens de son collègue. Tomas Asenlov a décidé de parler parce qu’aucun haut responsable de la police n’a osé apporter son soutien à Springare.

Comme pour les viols et agressions de la Saint-Sylvestre à Cologne, c’est le ras-le-bol populaire couplé avec le courage de policiers pas comme les autres qui a permis à l’information de circuler très largement sur les réseaux sociaux.
Et l’actualité continue de leur donner raison : le 20 février, des émeutes ethniques ont éclaté dans la banlieue de Stockholm – voitures incendiées, tirs et autres violences ont fait rage pendant toute la nuit.
  
La criminalité immigrée en Suède contredit l’optimisme du pouvoir

A Örebro, ville touristique bien connue pour son imposant château médiéval, le discours officiel du gouvernement suédois est contredit de jour en jour.
Les statistiques officielles assurent que la criminalité en Suède est stable.
 Peter Springare a choisi tout simplement de donner la liste des affaires traitées par la police sur les cinq jours, de lundi à vendredi, précédant la mise en ligne de son message.


« Allons-y ; voilà ce que j’ai eu à traiter de lundi à vendredi cette semaine : viol, viol, vol, agression aggravée, agression en vue de viol et viol, extorsion, chantage, agression, violences contre la police, menaces contre la police, crime lié aux stupéfiants, affaire de stupéfiants, crime, infraction grave, tentative d’assassinat, de nouveau un viol, encore une extorsion et des mauvais traitements » : pour Springare, c’est le signe d’une société au bord de l’implosion.

Il n’hésite pas à écrire que les suspects sont presque tous des migrants : « Ali Mohammed, Mahmod, Mohammed, Mohammed Ali, encore, encore, et encore, Christophe… Mohammed, Mahmod Ali, encore et encore ».
Le seul Suédois autochtone, Christophe, étant soupçonné en marge dans une affaire de crimes liés aux stupéfiants.
Quant aux pays représentés, leur liste est également parlante : Irak, Irak, Turquie, Syrie, Afghanistan, Somalie, Somalie, la Syrie de nouveau, la Somalie, pays inconnu, pays inconnu, Suède.
« Pour la moitié des suspects nous ne pouvons pas être sûrs parce qu’ils n’ont pas de papiers en cours de validité. Cela signifie habituellement qu’ils mentent à propos de leur nationalité et de leur identité », souligne le policier.
Les policiers n’ont plus guère le temps de s’occuper d’autre chose et les services de santé, les écoles, la police « sont en état de chaos », tandis que les retraités « sont sur les genoux », prévient-il.
 
Les réalités de l’immigration occultées par le pouvoir

Cette liste effarante ne concerne que la ville où travaille Peter Springare.
 À Malmö, 350.000 habitants, l’une des villes suédoises comptant la plus forte proportion d’immigrés – un tiers de la population y est d’origine étrangère, sans compter leurs enfants – le chef de police Stefan Sinteus vient de lancer un appel au secours, affirmant que les forces de l’ordre ne peuvent plus faire face devant cette « spirale montante de la violence ».
Lui n’a pas parlé du rôle joué par la migration.
C’est qu’il y a un discours officiel : tout va pour le mieux et l’afflux de 200.000 migrants islamiques ces dernières années n’a pas eu d’effet sur l’insécurité…
Les statistiques ethniques sont interdites de toute manière.
 Tout au plus reconnaît-on que les immigrés sont surreprésentés dans les affaires policières, mais cela est officiellement attribué au fait qu’ils font partie des catégories socio-économiques les plus défavorisés, ce qui permet d’effacer aussitôt le facteur de l’ethnie, de la religion, de la culture ou du déracinement.
  
Une vague de criminalité menace de faire imploser la société suédoise

Tomas Asenlov, 43 ans d’expérience dans la police, abonde dans le sens de Peter Springare, accusant les responsables de ne pas oser prendre les décisions qui s’imposent – mais il ne parle que parce qu’il est proche de la retraite, affirme-t-il.

Peter Springare fait d’ores et déjà l’objet d’une enquête pour « haine raciale », une incrimination qui, comme la diffamation raciale en France, ne peut être écartée en apportant la preuve de ce que l’on dit : excuse de bonne foi interdite !
 Mais son affaire ayant reçu l’attention des médias internationaux, les poursuites ont été levées.

Pendant ce temps, les poussées de l’ONU et des instances mondialistes comme le Forum économique mondial continuent de prêcher l’accueil des migrants et les avantages des déplacements massifs de population, eux-mêmes favorisés par le chaos dans les pays comme la Libye, la Syrie, l’Irak. Chaos créé par les pays occidentaux…
 D’aucuns diront que tout cela est trop cohérent pour être fortuit.
 
Anne Dolhein


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