Nous sommes en guerre, c’est vrai, mais une guerre civile larvée comme l’a dénoncée François Fillon.
À tel point que le gouvernement du Président normal et ses Assemblées ont reconduit déjà à trois reprises « l’état d’urgence ».
Mais en lieu et place de la sécurité qu’il est censé nous garantir, c’est l’état de déconfiture qui règne partout sur le territoire.
Pourtant, nous sommes en guerre, c’est vrai, mais une guerre civile larvée, comme l’a dénoncé François Fillon.
Une guerre qui ne doit rien, cette fois, aux islamistes et autres barbus adeptes de l’égorgement et des femmes lapidées ; non, une guerre menée par les terroristes d’extrême gauche que laisse prospérer et faire la loi un gouvernement totalement dépassé par ses minables magouilles politiciennes.
Démonstration ce week-end à Nantes, où une manifestation contre le Front national – à quel titre ? – a été autorisée alors qu’on savait pertinemment qu’elle dégénérerait, cela quand on interdit partout sur le territoire des rassemblement qui ne sont, eux, que festifs.
Pire encore : on a non seulement laissé perpétrer une fois de plus le saccage du centre-ville, mais laissé se mettre en place, le lendemain, barrages routiers et guet-apens pour les Français qui se rendaient au meeting de Marine Le Pen.
Tout cela, comme il se doit, au nom de la démocratie et du bien vivre ensemble !
Evénement rapporté par BFM TV et le journal Presse Océan, un bus a été pris pour cible sur la RN 137, à proximité de Notre-Dame-des-Landes.
Après avoir allumé des feux de pneus sur la route, « une centaine d’individus cagoulés » armés de barres de fer et de bois ont projeté de la peinture sur le véhicule avant de taper dessus et d’arracher les balais d’essuie-glace.
L’action était prévue, et est bien sûr revendiquée par les zadistes de Notre-Dame-des-Landes qui ont publié ce communiqué : « Dans le calme, la bonne humeur et sans aucun heurt (sic), nous avons bloqué deux bus sur la 4 voies, qui furent au passage copieusement repeints parce que, dans la vie, il y a bien d’autres couleurs que le bleu marine. Nous n’avons pas oublié comment les régimes fascistes d’hier furent institués par des voies parfaitement démocratiques et légales. »
La lâcheté aura, en effet, été la marque principale de ce quinquennat où les Cazeneuve, Royal, Valls et compagnie auront systématiquement capitulé devant les casseurs – quand ils ne les ont pas carrément encouragés.
Mais plus indigne encore est l’actuel patron du PS, Jean-Christophe Cambadélis, qui ose désigner comme coupable… Marine Le Pen !
Il a ainsi déclaré sur France 3 : « Marine Le Pen savait qu’il y aurait des incidents. C’est ce qu’elle cherche. Elle aurait dû annuler ce meeting et le faire ailleurs. Comme je l’avais décidé pour l’université d’été du PS qui devait se tenir à Nantes. »
Bravo, Monsieur Cambadélis, on voit dès lors ce qui nous attend des raisonnements comme le vôtre : lâchons tout, cédons la place à ceux qui la réclament, rasons comme vous les murs, voilons-nous si nécessaire, troquons s’il le faut la charia contre les lois de la République et laissons racailles et chienlit d’extrême gauche mettre le pays en coupe réglée.
C’est d’ailleurs bien engagé…
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