Publié le 15 août 2016 - par Danièle Lopez -
Immigrants légaux, illégaux, racisme, xénophobie, islamophobie, islam, islamisme, modérés, extrémistes, radicalisés, déradicalisés, détraqués, déprimés, Allah akbar, mosquée, imam, imam, mosquée…. Ouf…Ras le bol !
Tous ces mots ont envahi le vocabulaire déjà très restreint, de nos medias et de nos gouvernants.
On les a appris par cœur.
On sait d’avance la chanson qui va nous être interprétée et on a décidé de ne plus l’entendre.
Ça commence à bien faire.
On en a une overdose.
Nous, quand on apprend ou qu’on entend ou qu’on lit, aux infos, qu’il y a eu des Français agressés, tués (de préférence au couteau ou à la machette ou à la hache) ou explosés, on veut la Vérité.
Et la Vérité, est toujours la même, d’une simplicité effarante, d’une logique imparable :
Un ou des musulmans (ou arabo-musulmans) ont tué au cri d’Allah, de bons Français, innocents qui se baladaient tranquillement dans la rue ou qui se baignaient sur une plage corse ou, encore, écoutaient la messe dans une église.
Les Français ne sont pas idiots.
Les Français sont excédés.
Les Français savent que le poison mortel qui les guette aujourd’hui, s’appelle musulman et islam.
Et si les gouvernants et leurs medias croient nous faire prendre des vessies pour des lanternes, on veut leur dire, ici, que nous en avons plus qu’assez de les entendre protéger ces barbares d’un autre âge avec leurs mots choisis quand ce ne sont pas par des actes judiciaires.
Quand un musulman tue, agresse, blesse, on veut entendre dire que c’est un musulman qui a commis cet acte criminel.
Quels que soient son état d’esprit, sa situation sociale, ses motivations, on s’en contrefout.
Il a agressé, il a blessé, il a tué, il est coupable et il doit être condamné comme l’est n’importe quel quidam Français dans ce pays où la loi l’exige mais ils n’ont pas à cacher la nationalité ni la religion du criminel puisqu’ils ne le font pas lorsqu’il s’agit d’un individu qui n’est pas musulman.
Cacher la religion de l’assassin ne fait qu’exacerber notre colère.
Parce qu’il n’est plus un secret pour personne que les musulmans tuent les infidèles au nom d’Allah quoiqu’en disent ceux qui ont une vision erronée de l’islam.
On veut parler, ici, de ces musulmans qui se disent modérés ou qui nient les appels au crime écrits dans leur livre.
Ainsi, au fallacieux prétexte que nous engloberions, à tort, TOUS les musulmans dans cette révélation, on laisse la bride sur le coup de ces adeptes d’Allah qui recommencent se sachant intouchables.
Le fait est que, depuis trop longtemps, ces immigrés musulmans haineux se sentent impunis et cela les encourage à attenter à la vie des Français, en toute liberté.
Les contorsions de nos élus et de nos media pour relater leurs forfaits les font bien rire.
Et nous, ça nous rend furieux.
Aujourd’hui, les medias français font les gros titres d’une « rixe entre Corses et maghrébins ».
Une rixe ?
Voilà un nouveau mot pour ne pas nommer un attentat ou une agression de la part de musulmans.
Pourquoi pas, tant qu’ils y sont, parler de vendetta ?
Nous ne sommes plus au temps de Colomba et les Corses ne sont pas tous des Orson qui s’ignorent. Les Corses n’aspirent qu’à vivre en paix sur leur île.
Mais voilà, les musulmans sont – aussi – en Corse.
Et c’est dans une crique habituellement tranquille du Cap, qu’en plein mois d’août, période invasive de l’île par les pinzuttis, qu’une dizaine de musulmans sont installés.
Jusque-là, vous nous direz, quoi de plus normal ?
Sauf que leurs femmes se baignent en burqa.
Des touristes prennent en photo le paysage (ou l’incongruité de la scène !).
Les musulmans contrariés leur lance des pierres.
Les jeunes corses qui habitent le village et sont descendus à « la marine » regardent la scène.
Ils sont immédiatement pris à parti et insultés par le groupe de musulmans qui les agressent au couteau, harpon et autre hache.
L’un deux ayant été blessé, les autres gamins se sont précipités pour prévenir les parents qui ont pris, eux aussi, des coups de couteau et de harpon pendant que les femmes voilées crevaient les pneus de leurs véhicules avec – encore – des couteaux.
Sisco est un adorable petit village.
Les habitants, informés de l’attaque des enfants par les musulmans, sont arrivés en force dans la crique.
Une maman témoigne : « C’était une scène de guerre ! ».
Et Cazeneuve ose appeler ça, une rixe ?
« Une violente rixe dont l’enquête devra déterminer les circonstances et les motifs » ?
Non, Monsieur.
C’était un guet-apens.
Dans leurs sacs les musulmans avaient plusieurs armes blanches qu’ils se sont empressés de sortir et dont ils ont usé contre des jeunes Français désarmés.
Nous n’acceptons plus ces phrases à l’emporte-pièce qui essayent de noyer le poisson quand le poisson n’est qu’un fugu musulman que les Français évitent comme la peste.
Mais ce sont eux qui viennent nous chercher.
Jusque dans les recoins les plus isolés de notre France.
Ils ne sont que provocation.
Si les musulmans veulent qu’on respecte leurs coutumes, ils doivent d’abord respecter les nôtres.
A notre époque où les gens ont plus l’habitude de se baigner à poil qu’habillés, il est tout à fait normal que des femmes en burqa pataugeant dans l’eau intriguent et forcent les regards.
Si vous ne voulez pas que l’on regarde vos femmes, cachez-les !
Allez prendre vos bains de mer à minuit !
Mais ne venez pas emmerder les braves gens avec vos simagrées religieuses.
S’il fut un temps où les immigrés musulmans se tenaient tranquilles et vivaient sans nous causer de problème, il y a déjà trop longtemps, voire plusieurs années, qu’ils sont redevenus ce qu’ils étaient il y a 14 siècles, avec leur haine pour les Chrétiens et les Juifs – et les Français en particulier puisqu’il s’agit, avant tout, de leurs actes criminels dans notre pays.
Souvenez-vous.
Nous avons tout d’abord eu l’épisode « des regards ».
Oui, il aurait fallu marcher avec une canne blanche à la main ou les regarder avec les yeux fermés ! Même en étant sur un autre trottoir, ces jeunes musulmans se sentaient « agressés » par nos regards.
C’était devenu l’excuse de masse pour agresser physiquement, voire tuer, en toute impunité, ceux qui les « blessaient avec les yeux ».
Et ils s’en sont servis de ces regards !
Du Nord au Sud et d’Est en Ouest, on ne comptait plus le nombre de victimes qui avaient eu l’outrecuidance de les « regarder ».
Et puis, il y a eu l’interdiction.
L’interdiction de nommer – seulement nommer – l’islam.
Les Français devaient se taire, avaler toutes leurs fantaisies sinon ils étaient immédiatement traduits en justice.
Et de cette lubie de nos gouvernants et de la justice, ils s’en sont servis, à qui mieux-mieux, les musulmans contre les Français.
Aujourd’hui, ils sont passés à l’étape supérieure.
Aujourd’hui, ils tuent.
Ils tuent dans les rues, dans les églises, dans nos maisons.
Et ils tuent sur nos plages.
Jusqu’à quand ?
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