On novembre 7, 2015 novembre 7, 2015 par blancheurope
Remarque liminaire : les délits d’opinion sont peu intéressants dans les chiffres car très peu sont enregistrés. En revanche, l’évolution des incidents physiques est très instructive.
Traduction de l’article de New Observer.
Traduction de l’article de New Observer.
Le nombre d’incidents contre les envahisseurs non-blancs – propagande, « provocation à la haine raciale », attaques violentes – ont triplé cette année par rapport à l’an dernier, d’après des chiffres officiels de la police allemande.
D’après les statistiques fournies par la Police Criminelle Fédérale (Bundeskriminalamt, ou BD), au cours des 306 jours du 1er janvier au 2 novembre 2015, quelques 637 incidents ont été enregistrés, par rapport à 199 au cours de la même période l’an dernier.
D’après les statistiques fournies par la Police Criminelle Fédérale (Bundeskriminalamt, ou BD), au cours des 306 jours du 1er janvier au 2 novembre 2015, quelques 637 incidents ont été enregistrés, par rapport à 199 au cours de la même période l’an dernier.
La BKA définit ces incidents comme des « dommages à la propriété » (216), « délit de propagande » (123), et comme « incitation à la haine raciale » (74).
A gauche, les incidents rapportés à la police du 1er janvier au 2 novembre ; à droite tout les incendies liés aux migrants sur cette même période
[ndt : sur l’ensemble des incendies, ceux provoqués par les envahisseurs eux-mêmes sont nombreux. Mais il est indéniable que les actes de résistance d’allemands se sont multipliés ces dernières semaines. Paradoxalement, des incendies provoqués par les envahisseurs ont pu pousser des allemands à résister.]
Le record précédant des actes de violence, datant de l’année dernière (28), a été largement battu avec 104 cette année.
Au cours du troisième trimestre de 2015, 303 « crimes » ont été rapportés, avec davantage de « crimes contre les hébergements d’asile » rapportés au cours de cette période que tout au long de l’année dernière.
Parmi ces « actes de violence » on compte 53 incendies, contre 6 sur la même période l’an passé. 8 poursuites judiciaires ont été engagées contre des coupables identifiés.
A gauche, toutes les manifestations signalées à la police du 1er janvier au 2 novembre ; à droite les agressions racistes rapportées à la police.
Ce n’est pas que le nombre des attaques qui inquiète la BKA, mais le fait que la police n’avait pas de connaissance préalable de 70 % des coupables.
En d’autres termes, les attaques sont largement menées par des allemands sans connexion préalable avec un quelconque groupe « d’extrême droite », rendant les contre-opérations de renseignement presque impossibles.
La BKA a déclaré au journal Die Welt que ce « phénomène signifie que ces crimes font leur chemin vers le courant dominant de la société. »
En Saxe, un vice-président du Mémorial de Saxe (une institution dédiée aux « victimes du nazisme et du communisme »), Bert Pampel, a créé une tempête médiatique après avoir écrit un tweet sur le fil de l’organisation, disant que si les citoyens prennent les choses en main, la faute en incombe au gouvernement qui a échoué à appliquer la loi.
Cette opinion apparaît largement partagée.
Le journal de gauche Der Spiegel a formellement bloqué tout les commentaires sur les articles liés à l’invasion non-blanche, le public allemand débordant leur équipe de modération avec des commentaires négatifs.
Der Spiegel dit à ses lecteurs que :
En contraste avec de nombreux autres articles sur SPIEGEL ONLINE, il n’y a pas de commentaire [sur ces articles]. Malheureusement lorsque nous écrivons à propos des réfugiés, il y a de nombreux commentaires inappropriés, blessants ou problématiques légalement qu’il n’est pas possible d’évaluer et de modérer afin qu’ils suivent les règles de notre nétiquette. De ce fait, [les commentaires] ne sont autorisés que sur des articles sélectionnés, sur ce sujet. Nous faisons appel à votre compréhension.
Le commissaire aux réfugiés du gouvernement fédéral, Aydan Özoguz, d’origine turque, parlementaire du SPD (de gauche, allié au CDU de Merkel dans la coalition gouvernementale), a été cité disant que les « tendances sont inquiétantes et devraient nous rendre vigilants.
Ils devraient vérifier si ce sont vraiment juste des individus ou si il y a une structure organisée derrière les attaques. »
Ce sont vraiment des individus, et ça fait vraiment peur aux anti-blancs qui ne savent pas quoi faire face à la réaction populaire.
Tout ce qu’ils savent faire, c’est davantage de censure, davantage de menace judiciaire, mais cela ne suffit plus.
Et on en n’est encore qu’au début.
A la fin, ce sera une variation de ceci :
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