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dimanche 8 novembre 2015

Les entreprises françaises doivent être prioritaires pour les attributions de marchés publics régionaux !

                                                    

Le 08/11/2015
L’Union européenne fait régner la tyrannie de la « concurrence libre et non faussée ».
   
Vous pouvez le trouver écrit noir sur blanc sur le site du parlement européen : « Avant la mise en œuvre de la législation européenne y afférente, seuls 2 % des marchés publics étaient adjugés à des entreprises non nationales. »
 Depuis, nos entreprises sont soumises à une concurrence déloyale, et sortent souvent perdantes lors des attributions de marchés publics, notamment dans les secteurs du bâtiment et des travaux publics, de l’énergie, ou bien encore des télécommunications.
L’Union européenne fait régner la tyrannie de la « concurrence libre et non faussée ».
Pour attribuer les marchés publics, les pouvoirs adjudicateurs se fondent désormais uniquement sur l’offre économiquement la plus avantageuse, c’est-à-dire la moins chère.
 La qualité ?
 Ils s’en moquent.
 Le patriotisme économique ?
Ils s’en moquent encore plus.
Les normes sociales et environnementales ?
 Elles sont purement et simplement oubliées.
Rappelons nous que le parti socialiste a employé des travailleurs détachés roumains pour l’organisation de sa dernière université d’été.

 Idem pour le syndicat patronal du MEDEF qui a employé des travailleurs détachés portugais.
Le MEDEF déclarait pourtant vouloir créer un million d’emplois en France !
Peut-être parlait-t-il plutôt de l’arrivée sur le marché de futurs chômeurs dits « migrants », certainement pas des Français.
 Nos entrepreneurs ne peuvent pas lutter contre les entreprises italiennes, portugaises, espagnoles, et maintenant turques, qui paient leurs travailleurs à des coûts beaucoup plus bas que les nôtres.
Les régions, très souvent dirigées par des majorités de gauche, ont complaisamment attribué des marchés publics à des entreprises étrangères, pour respecter le droit communautaire.
Tous nos élus sont acquis à l’idéologie libre-échangiste défendue par Bruxelles.
 Ils ont participé, participent, et participeront, à ce système mortifère qui ruine nos entrepreneurs, et fait inexorablement monter le chômage.
Qui aura un jour le courage de s’opposer à cette politique qui tue la croissance, et notre économie ? Certainement pas François Hollande et Nicolas Sarkozy qui ont contribué à l’instauration de ces mesures.
Il faut être animé d’une volonté politique de fer pour créer un précédent en défiant Bruxelles.
 Les écoliers doivent manger des produits français à la cantine, les ouvriers français doivent construire nos routes, et les marchés publics doivent être prioritairement attribués à des entreprises françaises employant des travailleurs français.
Il s’agit d’un cercle vertueux.

Au cœur de cette philosophie : relocalisation des activités économiques et patriotisme de bon sens. Là-dedans, rien de « réac » ou de « ringard », mais bien des notions d’avenir.
Le développement durable est un humanisme qui prend en considération le bien-être des individus et de leur environnement.

 À la jungle dans laquelle se reproduisent les prédateurs, préférons les jardins ordonnés et tranquilles façonnés par la main de l’homme.

Oui aux entrepreneurs et aux travailleurs Français.

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