Le Dr Yeadon a expliqué aux participants de la conférence qu'aucune entreprise pharmaceutique n'aurait pu produire un « vaccin » contre le Covid dans le délai officiellement annoncé. Il affirme qu'objectivement, il est impossible d'inventer, de rechercher, de tester, d'évaluer, de produire, d'obtenir une autorisation et de lancer un produit biologique nouveau et complexe en moins d'un an.
Le Dr Yeadon a dit aux participants de la conférence que cela est tout simplement impossible, peu importe combien d'argent est dépensé et combien de personnes sont impliquées, en raison d'une série d'étapes linéaires nécessaires au processus qui ne peuvent pas être complétées dans un temps aussi court, spécifiquement 12 mois ou moins.
Le processus de mise sur le marché d'un nouveau produit prend généralement plusieurs années. Les produits biologiques complexes, tels que les « vaccins » à ARN messager, possèdent de nombreuses caractéristiques susceptibles de provoquer une toxicité. Mais, selon le Dr Yeadon, les professionnels du secteur en sont parfaitement conscients. Plus alarmant encore, le Dr Yeadon a expliqué que ces caractéristiques toxiques ont été insérées délibérément.
Les « vaccins » Covid sont des produits basés sur la génétique, contenant une série d'informations génétiques. Les injections à ARN messager utilisent cette technologie très récente ; avant l'apparition de Covid, il n'existait aucun produit de ce type utilisé couramment dans le monde. Les injections basées sur la génétique incitent l'organisme à produire une protéine en fonction du code génétique. Les « vaxxins » forcent le corps à produire la protéine spike, qui lui est étrangère et qui est connue pour être très toxique pour les cellules sanguines, entraînant la formation de caillots.
De plus, cette protéine affecte les cellules nerveuses, les empêchant de fonctionner correctement. En outre, l'organisme reconnaît cette protéine spike comme étant étrangère et déclenche une réaction auto-immune, attaquant les cellules qui la produisent. Cette réponse du système immunitaire peut entraîner divers problèmes de santé, en fonction de l'endroit dans le corps où la réaction se produit.
Il s'agit d'une réaction auto-immune pouvant se produire n'importe où, dans n'importe quelle cellule, tissu ou organe touché par la dose injectée. En conséquence, la protéine spike peut causer des maladies telles que la myocardite (maladie cardiaque), l'arrêt cardiaque, les caillots sanguins, les AVC, les cancers ou les maladies neurologiques.
Le Dr Yeadon a souligné que l'inclusion des instructions pour la protéine spike dans les « vaccins » n'était pas une erreur. La personne qui a sélectionné la séquence pour la protéine spike savait très bien qu'elle avait des propriétés toxiques.
Le Dr. Yeadon a affirmé qu'il s'agissait d'un choix délibéré de nuire et de rendre les gens malades, et que cela ne pouvait pas être le résultat d'un accident. Mais la protéine spike n'est pas le seul ingrédient controversé dans les injections à ARN messager Covid. Le code génétique pour la protéine spike est enveloppé dans des nanoparticules lipidiques (NPL), qui sont de très petites particules de graisse permettant une accumulation disproportionnée du produit injecté dans les ovaires.
Le Dr. Yeadon note que cet aspect, selon lequel les NPL conduisent à une accumulation du produit injecté principalement dans les ovaires, a été documenté dans des travaux scientifiques depuis 2012, prouvé par des tests sur animaux et des études humaines. « Je me souviens du jour où j'ai lu cette étude. Je n'ai vraiment pas pu dormir cette nuit-là. » « La personne qui a choisi d'utiliser des nanoparticules lipidiques dans les produits de Moderna et Pfizer savait parfaitement ce que ces nanoparticules allaient faire, à savoir traverser le corps, passant à travers les membranes comme si de rien n'était, et s'installer de manière disproportionnée dans les ovaires. »
« Compte tenu de ce que je vous ai dit, les deux premières choses – que l'injection incitera le corps de la personne injectée à attaquer n'importe quelle cellule de son corps suivant les instructions génétiques du « vaccin », instructions qui, au passage, consistent à produire un poison – ne devraient plus vous surprendre si des gens tombent malades ou meurent, et si leur fertilité est réduite. »
Les déclarations du Dr. Yeadon interviennent peu de temps après les avertissements extrêmement alarmants d'un autre expert en vaccins, le virologue internationalement reconnu, Dr. Geert van den Bossche, ancien conseiller de Bill Gates en matière de vaccins, qui a averti le public qu'une « vague de décès d'une ampleur sans précédent » menace les personnes ayant reçu les injections à ARN messager Covid.
Ancien expert en vaccins de la la Fondation Bill & Melinda Gates, Bossche a tiré la sonnette d'alarme concernant le « flot de morbidité » et de « mortalité » parmi les personnes vaccinées, avertissant d'une baisse démographique « absolument sans précédent » dans le monde.
Bossche prédit que « jusqu'à 30 à 40 % » de la population générale pourrait mourir prochainement « dans les pays à forte taux de vaccination ». Il a déclaré : « À mon humble avis, nous allons assister à quelque chose de complètement, complètement sans précédent en termes d'ampleur du flot de morbidité et, malheureusement, de mortalité que nous allons voir. »
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