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samedi 13 juin 2015

La LICRA veut la mort de la Négresse de Biarritz

                                                    


Le 13/06/2015

La vue de la banderole annonçant les traditionnelles fêtes de la Négresse - représentée par le visage d'une femme noire, de profil - donne la "nausée" et fait s'étouffer de "honte" le président de la LICRA, le cultivé Alain Jakubowicz.

Depuis près de deux cents ans, un quartier de la ville, la gare et même un péage portent son nom.
Ce sont les soldats de Napoléon Ier, lors de leur passage dans le quartier originellement appelé Harausta, allant ripailler dans une auberge tenue par une femme sans doute d’origine mauresque, à Biarritz, qui lui donnèrent le surnom de la Négresse, surnom validé depuis 1986 par un vote du conseil municipal.
Mais la vue de la banderole annonçant les traditionnelles fêtes de la Négresse – représentée par le visage d’une femme noire, de profil – donne la « nausée » et fait s’étouffer de « honte » le président de la LICRA, le cultivé Alain Jakubowicz.
 Qui porte un bien triste et péjoratif jugement sur les traits négroïdes : « […] une caricature on ne peut plus caricaturale de la femme noire avec le gros nez, les grosses lèvres, c’est un dessin colonial, clairement », glapit-il.
 Le nez africain ?
« Plat, large et court » sont les termes utilisés en rhinoplastie pour décrire ses caractéristiques, et celui de « charnu ou proéminent » pour les lèvres africaines.
 L’antiracisme serait-il l’expression d’un racisme larvé ?
D’ailleurs, l’élu MoDem de la mairie, Michel Veunac, s’avoue « totalement consterné » par le « ridicule » de la polémique.
Parce que M. Jakubowicz ne s’arrête pas en si bon chemin !
L’origine historique, l’attachement des Biarrots à leur Négresse, le grotesque de ses arguments ?
Il n’en a cure !
 Il réclame à la mairie de changer de nom les lieux portant celui de la Négresse, sous prétexte qu’il y aurait des « noms de substitution qui iraient très bien ».
 Ce qui n’est pas l’avis de 94,9 % des 5.325 votants du sondage proposé par le site sudouest.fr.


Les Biarrots l’aimaient bien, leur Négresse ?


29 ans d’amour et d’histoire avec l’image d’une généreuse aubergiste mauresque, il était donc temps d’y mettre fin.


Si chasser, traquer, débusquer, corriger les propos racistes et antisémites tenus publiquement dans la presse, la télévision et à la radio relève des objectifs de la LICRA, exiger le retrait de la banderole et la suppression d’un nom approuvé unanimement par les habitants de sa ville outrepasse scandaleusement ses prérogatives.


Quelle seront les prochaines étapes ?


 Chasser, traquer, débusquer dans toutes les villes de France et de Navarre un nom soi-disant raciste ?


 Débaptiser le film Rue Cases-Nègres , le rhum « Négrita », le groupe « Les Négresses vertes », la boîte de nuit martiniquaise Le Négresco … ?


 La tâche s’avère immense, infinie !


 Elle vaut bien 500.000 euros de subventions par an.


En attendant, l’aubergiste affectueusement surnommée Négresse en raison de sa couleur de peau exotique doit trembler dans sa tombe : la LICRA veut la faire mourir – radicalement – une seconde fois !

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