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samedi 13 juin 2015

L’intégration des Français en France, c’est maintenant !

                                                    


Le 13/06/2015

La vérité sort de la bouche des enfants et, toute crue, nous fait tomber de la chaise.

Depuis plusieurs semaines, des mères d’origine marocaine manifestent et occupent des écoles élémentaires du Petit Bard dans l’ouest de Montpellier afin de réclamer plus de mixité « ethnique ».
Nos oreilles formatées au politiquement correct ont du mal à y croire, mais osez entendre par là « des Blanc, des White, des Blancos ».
Car, comme l’indique une fillette habitante du quartier qui rêve de « s’enrichir de différences culturelles » : « J’aimerais bien rencontrer des personnes différentes de moi, des Blancs plutôt que des Arabes et encore des Arabes. Je voudrais me sentir en France » (L’Indépendant du 08/05/2015).
La vérité sort de la bouche des enfants et, toute crue, nous fait tomber de la chaise.
C’est l’intégration à la française par pulvérisation de blondinets façon puzzle, les tontons en moins, parfois quelques flingues en plus…
Libération tente la culpabilisation en produisant le témoignage de Safia, engagée dans ce combat : « Comment voulez-vous qu’ils se sentent français alors qu’ils grandissent exclusivement entre eux ? On aimerait bien que, sur la photo de classe, il y ait des petits blonds ou des petits roux à côté d’eux. »
Ben oui, quoi, qu’est-ce qu’ils foutent, les descendants de Clovis et de Charlemagne ?
Où c’était qu’ils étaient, les Gaulois ?
 Pour faire risette à la photo : histoire que l’on se sente un peu chez nous en France ?
Reformulons : que les populations immigrées de ces quartiers dont la majorité des femmes sont voilées et ne parlent qu’arabe se sentent chez elles chez nous ?
L’inversion du bon sens et l’énormité du constat nous en feraient perdre notre latin…
Revenons au motif du courroux : le collège Las Cazes dont dépendent ces quartiers, pourtant doté d’une unité pédagogique pour les non-francophones (!) ne compte que 340 élèves sur 800 places.
De là à croire que les petits rouquins contournent la carte scolaire pour aller se faire tirer le portait ailleurs…
Les mères en colère réclament, donc, qu’on leur laisse à disposition quelques Blancs pour montrer à leurs enfants à quoi ça ressemble pour de vrai et bénéficier de l’ascenseur social.
 Pourtant connus pour leur bravoure, ces irréductibles Gaulois auraient donc déserté le village ?


Faut-il trouver un début de réponse dans le témoignage de cette enseignante, qui ose avouer qu’enseigner dans ce quartier est « un sport » car les codes sociaux d’usage ne sont pas toujours respectés.
 « Débarquer pendant la classe pour demander un certificat scolaire (pour quoi faire ?) est une chose courante. Et si l’on ne répond pas tout de suite, on risque l’esclandre », mentionne-t-elle.
Pas sportif, le coq gaulois ?
Pour s’intégrer, les mères qui manifestent déclarent que les immigrés auraient besoin de se confronter à un minimum (chiffre indéfini) d’autochtones, et voilà qu’ils se retrouvent entre eux faute de combattants.
Même plus besoin de statistiques ethniques, formellement interdites, pour ressentir l’absence cruelle de blonds vénitiens dans leur quartier.
Dans ce sens-là ce n’est pas du racisme c’est de la bienveillance.
 Foi de Ménard.


À l’heure où leur concitoyenne Najat Vallaud-Belkacem se démène pour gommer la moindre aspérité scolaire au nom de l’égalité, ces mères d’origine marocaine réclament l’excellence pour leurs enfants.


 Ce que c’est que l’ingratitude…


Car il s’agit de mères uniquement, mais où sont donc les pères de ces enfants d’origine marocaine ?


Seraient-ils moins pressés que leur femme d’offrir à leurs enfants une culture occidentale ?

Redoutent-ils qu’un jour leurs filles portent des mini–jupes en buvant de bonnes bières ?


Qu’ils se rassurent : pour l’heure, le combat continue pour leurs épouses majoritairement voilées et qui servent régulièrement des thés à la menthe et des loukoums comme petit dejeuner dans les écoles occupées.


L’intégration des Français en France a commencé.

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