Au lendemain de la mort de Clément Méric, Valls avait dissout l’Œuvre française et les Jeunesses nationalistes sans même attendre le verdict de la justice.
Je viens de regarder de nombreuses vidéos YouTube dont celles de l’excellente agence de reportages Line Press sur les manifestations pour Rémi Fraisse de Rennes, Nantes, Albi, Paris avec un petit rappel des manifs LMPT de l’an dernier.
Et je suis effaré de la différence de traitement que la force policière a utilisée face aux manifestants.
Rappelez-vous les aérosols de gaz à bout portant sur les familles le 26 mai à l’Étoile.
Et, en un an, plus de 1.200 interpellations et gardes à vue des Veilleurs et participants aux marches de la Manif pour tous.
C’était la manière de l’État socialiste de se venger de l’immense succès de ces rassemblements en exigeant la plus grande sévérité de ses CRS, gendarmes, policiers et autres hommes de la BAC.
Avec des comparutions immédiates devant les tribunaux et même deux mois de prison ferme pour le jeune étudiant Nicolas Buss.
Mais combien d’interpellés — d’ailleurs aussitôt relâchés — pour les manifestations des commandos gauchistes ?
Toujours le minimum alors qu’il s’agit de véritables guérillas, avec de vrais combattants masqués.
À Nantes, regardez ce jeune cagoulé (je croyais qu’il y avait une loi interdisant de dissimuler son visage dans l’espace public) qui n’hésite pas à s’approcher d’un petit groupe de gardes mobiles et à frapper à plusieurs reprises sur leurs boucliers, sans qu’ils ne fassent un pas vers lui pour lui passer les menottes.
Idem pour ces jeunes qui projettent violemment un panneau de stationnement sur ce même groupe de gendarmes sans autre réaction qu’un pas en arrière !
Je suis stupéfait de la passivité de ces ninjas face aux hurlements, jets de pavés, gestes obscènes et gros dégâts causés aux matériels urbains.
Une force de l’ordre ne serait-elle pas engagée et payée pour faire respecter… l’ordre ?
Bien sûr, il y a eu mort d’homme à Sivens.
Qui ne pourrait le regretter, mais qui a transformé ce modeste chantier en un véritable champ de bataille ?
Certes, après la mort de Rémi Fraisse, on peut comprendre cette jeunesse égarée dans l’écologie extrême et l’anarchisme de vouloir rendre hommage à leur mort devenu soudain un objet politique.
Mais que cette même jeunesse se laisse emporter par quelques leaders jusqu’à jeter de l’acide sur les forces de l’ordre, des cocktails Molotov et autres engins pouvant blesser, voire tuer un représentant de la force publique, donc de la République, c’est inadmissible et donc répréhensible.
Mais non, l’État socialiste ne l’entend pas ainsi.
Au lendemain de la mort de Clément Méric, Valls avait dissout l’Œuvre française et les Jeunesses nationalistes sans même attendre le verdict de la justice, laissant les hordes des antifas déferler dans les rues de Paris.
La semaine dernière, ce sont les mêmes antifas, écolos anarchistes et autre Black Bloc qui saccagent pendant toute une journée les centres de grandes villes comme Rennes, Nantes, Albi et Toulouse, causant de multiples dégâts.
Si ces casseurs vont jusqu’à défier la République en s’attaquant aux forces de l’ordre et même aux valeureux pompiers, c’est qu’ils connaissent la faiblesse des répliques policières et de la justice.
Ils savent que, même en cas d’arrestation, ils seront relâchés par une justice laxiste qui préfère défendre les criminels que leurs victimes, fussent-elles policières.
Alors, oui, il serait temps de donner aux forces de l’ordre le seul ordre possible : celui de stopper ces guérillas dans l’œuf, de procéder à des arrestations en masse, et surtout de dissoudre tous ces mouvements de casseurs professionnels que sont les antifas et anarchistes de tous bords qui défient la République d’une manière autrement plus violente que les familles de la Manif pour tous…
Et je suis effaré de la différence de traitement que la force policière a utilisée face aux manifestants.
Rappelez-vous les aérosols de gaz à bout portant sur les familles le 26 mai à l’Étoile.
Et, en un an, plus de 1.200 interpellations et gardes à vue des Veilleurs et participants aux marches de la Manif pour tous.
C’était la manière de l’État socialiste de se venger de l’immense succès de ces rassemblements en exigeant la plus grande sévérité de ses CRS, gendarmes, policiers et autres hommes de la BAC.
Avec des comparutions immédiates devant les tribunaux et même deux mois de prison ferme pour le jeune étudiant Nicolas Buss.
Mais combien d’interpellés — d’ailleurs aussitôt relâchés — pour les manifestations des commandos gauchistes ?
Toujours le minimum alors qu’il s’agit de véritables guérillas, avec de vrais combattants masqués.
À Nantes, regardez ce jeune cagoulé (je croyais qu’il y avait une loi interdisant de dissimuler son visage dans l’espace public) qui n’hésite pas à s’approcher d’un petit groupe de gardes mobiles et à frapper à plusieurs reprises sur leurs boucliers, sans qu’ils ne fassent un pas vers lui pour lui passer les menottes.
Idem pour ces jeunes qui projettent violemment un panneau de stationnement sur ce même groupe de gendarmes sans autre réaction qu’un pas en arrière !
Je suis stupéfait de la passivité de ces ninjas face aux hurlements, jets de pavés, gestes obscènes et gros dégâts causés aux matériels urbains.
Une force de l’ordre ne serait-elle pas engagée et payée pour faire respecter… l’ordre ?
Bien sûr, il y a eu mort d’homme à Sivens.
Qui ne pourrait le regretter, mais qui a transformé ce modeste chantier en un véritable champ de bataille ?
Certes, après la mort de Rémi Fraisse, on peut comprendre cette jeunesse égarée dans l’écologie extrême et l’anarchisme de vouloir rendre hommage à leur mort devenu soudain un objet politique.
Mais que cette même jeunesse se laisse emporter par quelques leaders jusqu’à jeter de l’acide sur les forces de l’ordre, des cocktails Molotov et autres engins pouvant blesser, voire tuer un représentant de la force publique, donc de la République, c’est inadmissible et donc répréhensible.
Mais non, l’État socialiste ne l’entend pas ainsi.
Au lendemain de la mort de Clément Méric, Valls avait dissout l’Œuvre française et les Jeunesses nationalistes sans même attendre le verdict de la justice, laissant les hordes des antifas déferler dans les rues de Paris.
La semaine dernière, ce sont les mêmes antifas, écolos anarchistes et autre Black Bloc qui saccagent pendant toute une journée les centres de grandes villes comme Rennes, Nantes, Albi et Toulouse, causant de multiples dégâts.
Si ces casseurs vont jusqu’à défier la République en s’attaquant aux forces de l’ordre et même aux valeureux pompiers, c’est qu’ils connaissent la faiblesse des répliques policières et de la justice.
Ils savent que, même en cas d’arrestation, ils seront relâchés par une justice laxiste qui préfère défendre les criminels que leurs victimes, fussent-elles policières.
Alors, oui, il serait temps de donner aux forces de l’ordre le seul ordre possible : celui de stopper ces guérillas dans l’œuf, de procéder à des arrestations en masse, et surtout de dissoudre tous ces mouvements de casseurs professionnels que sont les antifas et anarchistes de tous bords qui défient la République d’une manière autrement plus violente que les familles de la Manif pour tous…
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