L’affaire du barrage de Sivens a servi de prétexte à des associations gauchistes radicales pour tenter d’installer encore un peu plus un climat insurrectionnel dans notre pays.
Les rues nantaises et toulousaines ont été, dimanche, le théâtre d’émeutes ultra-violentes et particulièrement choquantes.
Jet d’acide ou de boulons sur les forces de l’ordre, insultes, mines patibulaires, vitrines brisées.
Rien n’a été oublié.
Les méthodes et la haine contre l’État français ont atteint un sommet paroxystique depuis l’élection de François Hollande, et ces manifestations rappelaient grandement les émeutes de Barbès et Sarcelles, en « soutien au peuple palestinien ».
Pour ma part, je n’ai vu dans les deux cas que l’expression du regain d’un mouvement de fond qu’on pourrait qualifier d’anti-français.
Les « antifas », les islamistes, Félix Marquardt ou encore Jacques Attali ne se ressemblent pas en apparence, et ne sont pas aussi dangereux ou animés des mêmes intentions malignes, mais ils partagent un dénominateur commun : la volonté plus ou moins consciente de détruire les nations occidentales et leurs valeurs.
L’affaire du barrage de Sivens, que je ne jugerai pas sur le fond, a servi de prétexte à des associations gauchistes radicales pour tenter d’installer encore un peu plus un climat insurrectionnel dans notre pays.
À titre personnel, je suis attristé par la mort de Rémy Fraisse, trop jeune pour mourir, mais je ne peux cautionner l’arbitraire de la rue.
Certains de nos dirigeants, à l’instar de Ségolène Royal ou Cécile Duflot, n’ont plus le sens de l’État.
Rien ne saurait justifier pareils actes, et l’État doit être à l’écoute des Français sans pour autant céder aux pressions minoritaires para-terroristes qui pourraient contredire l’intérêt général.
Le pouvoir en place ne sait pas dialoguer ; sa gouvernance est injuste, partiale, versatile, alternant maladroitement les positions autoritaristes et laxistes.
La contestation gronde de tous côtés et les crises s’empilent, mais nous n’avons encore rien vu car la situation économique ne s’arrangera pas, pas plus que nous ne retrouverons de sitôt une harmonie sociale et culturelle.
Nous pouvons l’affirmer aujourd’hui : notre pays ne fait pas que se paupériser, non, il court vers sa mort.
L’oubli de son être permet l’émergence d’un mouvement contestataire divisé, confus, et dangereux, car à l’incompétence coupable de nos dirigeants, les protestataires répondent par un autre nihilisme nourri de « complotisme » débilitant, utopique et paradoxalement tout aussi manichéen que l’idéologie globalisante.
La France doit retrouver le sens du débat d’idées, et porter un projet fort.
Cet horizon collectif se résume en deux mots : souveraineté et enracinement.
La souveraineté pour décider seuls de notre destin, l’enracinement car on ne peut se projeter dans le futur qu’en ayant à l’esprit notre histoire millénaire.
Si cette idée ne triomphe pas, les manifestations de Nantes et de Toulouse paraîtront n’avoir été que de funèbres préambules en comparaison d’une France livrée au chaos, déclassée.
Il est temps de renverser la table, pour qu’enfin la France renaisse.
Jet d’acide ou de boulons sur les forces de l’ordre, insultes, mines patibulaires, vitrines brisées.
Rien n’a été oublié.
Les méthodes et la haine contre l’État français ont atteint un sommet paroxystique depuis l’élection de François Hollande, et ces manifestations rappelaient grandement les émeutes de Barbès et Sarcelles, en « soutien au peuple palestinien ».
Pour ma part, je n’ai vu dans les deux cas que l’expression du regain d’un mouvement de fond qu’on pourrait qualifier d’anti-français.
Les « antifas », les islamistes, Félix Marquardt ou encore Jacques Attali ne se ressemblent pas en apparence, et ne sont pas aussi dangereux ou animés des mêmes intentions malignes, mais ils partagent un dénominateur commun : la volonté plus ou moins consciente de détruire les nations occidentales et leurs valeurs.
L’affaire du barrage de Sivens, que je ne jugerai pas sur le fond, a servi de prétexte à des associations gauchistes radicales pour tenter d’installer encore un peu plus un climat insurrectionnel dans notre pays.
À titre personnel, je suis attristé par la mort de Rémy Fraisse, trop jeune pour mourir, mais je ne peux cautionner l’arbitraire de la rue.
Certains de nos dirigeants, à l’instar de Ségolène Royal ou Cécile Duflot, n’ont plus le sens de l’État.
Rien ne saurait justifier pareils actes, et l’État doit être à l’écoute des Français sans pour autant céder aux pressions minoritaires para-terroristes qui pourraient contredire l’intérêt général.
Le pouvoir en place ne sait pas dialoguer ; sa gouvernance est injuste, partiale, versatile, alternant maladroitement les positions autoritaristes et laxistes.
La contestation gronde de tous côtés et les crises s’empilent, mais nous n’avons encore rien vu car la situation économique ne s’arrangera pas, pas plus que nous ne retrouverons de sitôt une harmonie sociale et culturelle.
Nous pouvons l’affirmer aujourd’hui : notre pays ne fait pas que se paupériser, non, il court vers sa mort.
L’oubli de son être permet l’émergence d’un mouvement contestataire divisé, confus, et dangereux, car à l’incompétence coupable de nos dirigeants, les protestataires répondent par un autre nihilisme nourri de « complotisme » débilitant, utopique et paradoxalement tout aussi manichéen que l’idéologie globalisante.
La France doit retrouver le sens du débat d’idées, et porter un projet fort.
Cet horizon collectif se résume en deux mots : souveraineté et enracinement.
La souveraineté pour décider seuls de notre destin, l’enracinement car on ne peut se projeter dans le futur qu’en ayant à l’esprit notre histoire millénaire.
Si cette idée ne triomphe pas, les manifestations de Nantes et de Toulouse paraîtront n’avoir été que de funèbres préambules en comparaison d’une France livrée au chaos, déclassée.
Il est temps de renverser la table, pour qu’enfin la France renaisse.
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