AAVIC Team dénonce la censure médiatique autour des effets secondaires du vaccin anti-Covid.
le 14/01/25
Le 30 décembre 2024, France Bleu Auvergne a publié un article intitulé « Première reconnaissance officielle, pour une Moulinoise, atteinte de la maladie de Charcot après un vaccin anticovid ».
Cet article, bien que neutre et sans parti pris, a rapidement été dépublié, enflammant les réseaux sociaux et les rédactions de presse.
Le sujet, extrêmement clivant, oppose les défenseurs du vaccin anti-Covid à ceux qui, après vaccination, ont développé des pathologies graves, dont les causes restent inexpliquées. Maître Régis Senet, avocat de l’Association AAVIC Team, s'en explique dans un communiqué de presse.
L’article en question racontait l’histoire de Mélanie, une jeune femme de 35 ans atteinte de la maladie de Charcot, également connue sous le nom de sclérose latérale amyotrophique (SLA). Cette maladie neurodégénérative rare et grave entraîne souvent le décès dans un délai de 3 à 5 ans après son apparition. L’article mentionnait que la pharmacovigilance avait reconnu un lien entre le vaccin anti-Covid de Pfizer/BioNTech reçu par Mélanie en 2021 et sa maladie.
Cette affirmation a suscité de vives réactions, poussant France Bleu à dépublier l’article. Le média a justifié cette décision en évoquant des informations parcellaires ayant entraîné une erreur d’interprétation. Cependant, cette explication a été contestée par l’Association AAVIC TEAM, dont fait partie Mélanie. Selon l’association, la fiche établie par le centre de pharmacovigilance confirme bien l’imputabilité du vaccin dans le développement de la SLA chez Mélanie.
Nous avons pris connaissance des propos relayés par France Bleu @icipaysauvergne concernant le dernier article paru le 31 décembre .
— AAVIC TEAM (@AAVIC_TEAM) January 1, 2025
Sachez que nous restons pleinement engagés dans la défense de nos valeurs et de notre mission. Nous ferons tout ce qui est nécessaire pour… https://t.co/eAbusrb2mk
L’association souligne que les centres régionaux de pharmacovigilance,
sous l’égide du Ministère de la Santé, ont pour mission de surveiller
les médicaments et de prévenir les risques d’effets indésirables. Dans
le cas de Mélanie, le dossier a été remonté à l’Agence nationale de
sécurité du médicament (ANSM) avec une mention de « cas marquant »,
soulignant l’importance de prendre en compte les cas de SLA déclarés
après vaccination contre la Covid-19.
L’association AAVIC TEAM dénonce également les articles diffamatoires publiés à la suite de cette polémique, notamment celui du Journal International de Médecine, qui, selon eux, manque de compassion et vise à décrédibiliser les associations aidant les malades. L’association insiste sur la nécessité de faire éclater la vérité et de soutenir les malades dans leur quête de reconnaissance et d’indemnisation.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Ici, les commentaires sont libres.
Libres ne veut pas dire insultants, injurieux, diffamatoires.
À chacun de s’appliquer cette règle qui fera la richesse et l’intérêt de nos débats.
Les commentaires injurieux seront supprimés par le modérateur.
Merci d’avance.