1963 : #JFK est assassiné à Dallas.
Le coupable officiel ? Lee Harvey Oswald, présenté par les médias aux ordres comme un “loup solitaire”. Mais très vite, des incohérences troublantes apparaissent : • Des témoins parlent de tirs venant de plusieurs directions. • Des preuves clés sont effacées : limousine nettoyée, autopsie bâclée. • L’enquête est placée sous le contrôle… de la #CIA.
1963 : #JFK est assassiné à Dallas.
— GÉOPOLITIQUE PROFONDE (@GPTVoff) January 24, 2025
Le coupable officiel ? Lee Harvey Oswald, présenté par les médias aux ordres comme un “loup solitaire”.
Mais très vite, des incohérences troublantes apparaissent :
• Des témoins parlent de tirs venant de plusieurs directions.
• Des… pic.twitter.com/8B6E1lnIUF
À la tête de l’enquête officielle : Allen Dulles.
Un choix surprenant, car Dulles, ancien patron de la #CIA, avait été limogé par #JFK après l’échec cuisant de la Baie des Cochons (Guerre froide, tentative d’invasion de Cuba en avril 1961). Le conflit entre les deux hommes était profond. Kennedy refusait catégoriquement d’envahir Cuba… Il critiquait le pouvoir tentaculaire de la CIA, qu’il qualifiait de “véritable État dans l’État”, et s’opposait fermement au programme nucléaire israélien à Dimona. Un affrontement idéologique qui, combiné à des intérêts stratégiques colossaux, changera à tout jamais le destin du monde par l’élaboration du plus grand complot de l’Histoire moderne.
Ce n’était que le début… Après #JFK, d’autres figures majeures ont été brutalement éliminées.
Son frère, Robert Kennedy, a été assassiné en 1968 alors qu’il s’apprêtait à rouvrir l’enquête. La même année, Martin Luther King Jr., icône des droits civiques, tombait sous les balles. De simples coïncidences, selon les médias qui nous ont raconté l’histoire officielle durant des décennies… Vous croyez ?
L’ombre d’Israël plane sur cette affaire. Vice-président de #JFK, Lyndon Johnson accède à la présidence quelques heures après sa mort.
Connu pour son affinité avec Israël, Johnson a bouleversé la politique étrangère américaine. Il a inversé l’approche de JFK, passant d’un soutien mesuré à un alignement complet sur Tel Aviv.
Sous sa présidence, l’aide militaire à Israël a explosé, et les relations entre la #CIA et le #Mossad se sont renforcées. « Après demain, ces fichus Kennedy ne m’embarrasseront plus jamais ; ce n’est pas une menace, c’est une promesse », voici ce qu’aurait annoncé Lyndon Johnson à sa maîtresse, Madeleine Brown. Quant à l’immeuble où Oswald travaillait, il appartenait à un proche de Johnson. Encore des coïncidences ?
Le rôle de la #CIA ne s’est pas limité à manipuler des preuves : elle était directement impliquée. Il est fortement suggéré que Lee Harvey Oswald, l’accusé principal, entretenait des connexions avec l’agence, qui le surveillait de très près.
Quant à Jack Ruby, celui qui a assassiné Oswald, ses liens avec des réseaux mafieux et des cercles de renseignement israéliens ne laissent aucun doute sur l’ampleur des ramifications. Difficile de croire en une théorie d’un « tireur isolé ».
Pourquoi tuer #JFK ? John F. Kennedy représentait une menace majeure pour l’État profond. Il envisageait de réduire le pouvoir de la #CIA, qu’il considérait comme “un État dans l’État”.
Il voulait retirer les troupes du Vietnam : des milliards de dollars de pertes pour le complexe militaro-industriel. Enfin, son engagement en faveur de la paix, notamment avec l’URSS et Cuba, allait à l’encontre des intérêts d’un establishment tourné vers la guerre. Les choses n’ont pas vraiment changé depuis.
Pourquoi tuer #JFK ? John F. Kennedy représentait une menace majeure pour l’État profond. Il envisageait de réduire le pouvoir de la #CIA, qu’il considérait comme “un État dans l’État”. Il voulait retirer les troupes du Vietnam : des milliards de dollars de pertes pour le complexe militaro-industriel. Enfin, son engagement en faveur de la paix, notamment avec l’URSS et Cuba, allait à l’encontre des intérêts d’un establishment tourné vers la guerre. Les choses n’ont pas vraiment changé depuis.
En 1967, le procureur de la Nouvelle-Orléans, Jim Garrison a osé révéler l’impensable : des liens entre la #CIA, le crime organisé et le complexe militaro-industriel.
Son enquête a révélé une falsification systématique des preuves pour masquer les vrais coupables… Pourtant, Garrison a été violemment discrédité et ses témoins clés… mystérieusement éliminés. Encore une coïncidence ?
Montée en puissance du “National Security State”. L’assassinat de #JFK a marqué un tournant décisif pour la CIA et le Pentagone.
Sous le prétexte de la “sécurité nationale”, ces structures ont élargi leur emprise. La #CIA a intensifié ses opérations secrètes en opérant sur toute la planète sans avoir de comptes à rendre, tandis que le Pentagone consolidait son influence sur la politique étrangère. Le duo a posé les bases d’un véritable “État dans l’État”, opaque et hors de contrôle démocratique, tout comme le présentait JFK avant d’être assassiné.
Dans les médias, le silence complice s’est installé. Les grands journaux, infiltrés par la #CIA à travers l’opération Mockingbird, ont systématiquement écarté les questions gênantes.
Les témoins clés ont été ignorés, réduits au silence ou intimidés dans les meilleurs de cas. Pendant des décennies, cette alliance entre le pouvoir et la presse a permis d’étouffer la vérité, en reléguant les théories et les questionnements autour de cette affaire au rang de « théories conspirationnistes ». Circulez, il n’y a rien à voir !
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En 2017, Donald Trump avait promis de déclassifier les dossiers JFK : « Sous réserve de la réception d’informations supplémentaires, j’autoriserai, en tant que président, l’ouverture des dossiers JFK, longtemps bloqués et classifiés. »
Mais il a finalement reculé, évoquant des risques pour la “sûreté de l’État”. En 2022, Joe Biden a bloqué à son tour la publication de milliers de documents pour des raisons de “sécurité nationale”. Se pose alors la même question que pour le fait de gracier des personnes prétendument innocentes : Qu’y a-t-il à cacher ?
Les révélations promises par #Trump pourraient donc exposer les vrais commanditaires derrière ces assassinats, et peut-être même des connexions avec des événements récents comme le 11 septembre.
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