1 – Faisons passer le message "urbi et orbi", via les smartphones, que la France ne sera plus un pays d'accueil.
2 – Renforçons cela en réduisant l'immigration légale - ce facteur oublié - à sa plus simple expression, parce qu'elle est la plus massive et que notre levier est immédiat.
Il faut donc la réduire à au moins un dixième (de 300 000 à 30 000) et faire de même avec l'acquisition de la citoyenneté, qui ne doit plus être automatique (de 100 000 à 10 000).
3 – Pour cela, il faut renégocier et, si nécessaire, annuler les traités obsolètes tels que la Convention européenne des droits de l'homme, la Convention de Genève sur l'asile et les accords de Schengen, qui sont incapables de nous protéger.
Dans le même esprit, retrouvons l'autonomie législative sur nos propres tribunaux en leur imposant par référendum la volonté du Parlement. En même temps, redonnons à l'administration la politique d'asile et d'immigration, afin que l'entrée et le séjour ne soient plus un droit mais un privilège.
4 – La France doit passer d'un pôle d'attraction à son contraire. Pour cela, commençons par sanctionner la fraude en interdisant définitivement la régularisation des migrants illégaux, et plus encore en leur interdisant de demander l'asile en France. En outre, refusons toutes les prestations non contributives aux étrangers (y compris le logement) et toutes les subventions aux immigrés clandestins.
5 – Traitons les pays d'origine comme ils nous traitent, en divisant par trente le nombre des visas, y compris les visas étudiants, pour les pays actuellement en danger.
6 – Limitons légalement les diasporas qui génèrent déjà de l'immigration. Pour cela, réduire le nombre et la durée des titres de séjour et poser le principe, sauf exception, de leur non-renouvellement.
7 – Revenons à la politique de soutien à la natalité (française) sans nous soucier du qu'en-dira-t-on. Pour ma part, j'insisterais sur une très forte augmentation des allocations familiales, limitée à trois enfants (c'est-à-dire une augmentation drastique des allocations familiales pour la naissance de trois enfants français).
Brochand est bien sûr conscient que ce qu'il propose est "à des années-lumière de ce que propose l'élite (gauche-ultralibérale), qui se considère comme le "cercle du bon sens" sur cette question, et qui tient la France captive depuis si longtemps qu'elle ne semble pas vouloir la lâcher".
"Du coup, mon pessimisme se transforme en panique", ajoute-t-il : "Je me sens comme le passager d'un camion qui connaît la route et qui crie au chauffeur quand il le voit se diriger tout droit vers un précipice. Mais le chauffeur ne l'écoute pas, et c'est encore heureux qu'il n’y tombe pas... En fin de compte, c'est à nos compatriotes, les autres passagers, de décider s'ils veulent que le chauffeur continue, c'est-à-dire s'ils veulent vivre dans un pays où il ne vaut plus la peine de vivre et où il n'est même plus possible de vivre."
Il est également difficile de comprendre pourquoi (les élites politiques de gauche et ultra-libérales) restent silencieuses et mentent sur la migration et ses dangers, alors que de plus en plus de personnes tirent la sonnette d'alarme. Selon Brochand, la société n'est pas forcément cynique, naïve ou enchantée, mais le glissement fatal vers une "société d'individus" a été accepté de tous.
Source: Origo.hu
Traduction: Albert Coroz
Et voici le contre-projet:
Alors #Darmanin on fait quoi de ces individus qui clairement nous menacent ? pic.twitter.com/z3Mjh2bQo4
— Fil Rouge France (@FilFrance) November 14, 2023
Légitime défense et Vengeance discrète ( mai attention! les collabos servile veille
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