«Nous avons commencé les collages sur les différents campus de Sciences Po Paris vers 8 heures. Le temps d’en faire le tour et de venir voir si tout était bien en place, nous avons compris qu’elles avaient été arrachées.
Il n’y a donc plus aucune affiche en hommage à ce jeune homme dans notre établissement, c’est déplorable», note Quentin Coton, président de l’UNI Sciences Po.
Difficile pour autant de déterminer l’identité de l’étudiant qui se serait adonné à ces dégradations. «L’étudiant qui a été filmé apparaît souvent aux côtés du groupe Solidaires et autres syndicats marqués à gauche. Pour nous, cela vient d’eux», poursuit Quentin Coton. «Il est possible qu’on essaie d’en remettre prochainement, il faut prouver que ce qu’ils font n’enlève rien à nos combats et notre tristesse face à ce drame», conclut-il. Interrogé, Sciences Po ne souhaite effectuer «aucun commentaire» sur la situation.
🕊 Mobilisation des militants UNI de Sciences Po en réaction à la disparition de #Thomas, victime de l'ensauvagement et du laxisme.
— UNI Sciences Po (@unisciencespo) November 24, 2023
⚫️ L' #extrêmegauche a arraché et jeté à la poubelle les affiches en moins d'une heure. Pour eux, seules les racailles méritent un hommage. pic.twitter.com/4Wr9VRx8f1
... Ils n'ont aucune conscience politique , ce sont des rebelles en cartons pâte , des futurs cibles de ceux qu'ils prétendent sauver , et des amuse gueule pour nous qui restons Français . KC
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