Le 26 juin dernier, alors que la nuit tombe, un jeune homme
est surpris par des passants au milieu du rond-point du théâtre, dans le
centre-ville de Saumur, en train de prier en criant Allah Akbar
.
Alertée, une patrouille de police se rend sur place pour lui demander
de quitter les lieux. Mais l’accueil qui lui est réservé est plutôt
virulent : interrompu dans sa prière, le fidèle musulman âgé de 25 ans
ne veut rien savoir.
Alors qu’ils tentent de le déloger, les policiers sont pris à partie et l’un d’eux est frappé au visage. Il aura le nez fracturé et des dents cassées (2 jours d’ITT). Placé en garde à vue, l’homme a dû être rapidement hospitalisé sous contrainte en raison de son comportement très agressif en cellule. Une expertise psychiatrique a été ordonnée, ne relevant pas, dans un premier temps, d’altération de son discernement.
Troubles psychotiques
De nouveau placé en garde à vue mi-juillet, à sa sortie de l’hôpital, l’homme d’origine sénégalaise et titulaire d’un passeport italien (il était à Saumur pour travailler en tant que saisonnier) a été convoqué en justice pour répondre de ses actes. Il a été jugé pour ces faits de violences mardi 12 septembre par le tribunal de Saumur qui a considéré ses troubles psychotiques comme réels.
La procureure de la république, Alexandra Verron a requis une peine de 10 mois de prison ferme et une interdiction de paraître dans le Maine-et-Loire. Le tribunal l’a finalement condamné à 6 mois de prison dont 3 avec sursis. Il a été maintenu en détention.
Via fdesouche
2 jours d'ITT pour le policier!, le médecin a été généreux!
RépondreSupprimerJe ne comprends même pas pourquoi l'agresseur a été condamné,
après tout, il y a la liberté de culte.
J'espère que l'IGN va s'intéresser au cas de ce policier qui devra sans doute des
dommages et intérêts pour islamophobie...
@ Anonyme du 14 Septembre 2023 à 20h40
RépondreSupprimerVous êtes en pleine distorsion ... Lieux publiques ne signifie pas mosquées
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