Les parents de la Première ministre française Élisabeth Borne dirigeaient la société pharmaceutique « M. Borne » (nom de la mère Marguerite Borne), ils ont distribué le Distilbène jusqu’à la fin des années 70 en France malgré les effets secondaires bien connus et l’interdiction de la substance aux USA.
Les laboratoires M. Borne ont ensuite été vendus (y compris le brevet pour le distilbène) à Novartis, qui a été condamné en 2012 et 2016 pour les conséquences médicales de la prescription du Distilbène aux femmes enceintes aux côtés d’UCB-Pharma. C’est de là que vient la fortune d’Elisabeth Borne.
L’établissement était situé 24, rue des ursulines à Saint-Denis 93/ des 50’s au début 70’s. On note qu’Elisabeth Borne a une sœur, Anne-Marie, qui est Psychanalyste mais aussi pharmacienne diplômée, elle a même tenu une officine dans Paris.
Le traitement a rendu Alan Turing impuissant et a provoqué la formation de tissus mammaires, accomplissant au sens littéral la prédiction de Turing selon laquelle « sans aucun doute, j’en ressortirai un homme différent, mais que je n’ai pas découvert tout à fait ».
Il ne fait aucun doute que ces effets secondaires ont été remarqués par certains comme n’étant pas si gênants. La molécule Distilbène était plus que souvent détournée de sa prescription officielle (propriétés anti-avortement) et faisait l’objet d’un trafic au sein de la communauté transexuelle depuis au moins les années 60.
apar.tv
Son origine est à préciser : d'un père né Borstein, et tantôt d'origine russe, ou polonaise..(Bornstein n'était-il pas aussi le nom patronymique de Trotsky?)
RépondreSupprimerMettre en danger les gens ça peut effectivement rapporter...