“Ubu-président envoie ses préfets poursuivre casseroles et sifflets. Pose des grilles avec des piques dans les stades. Salue les joueurs en catimini. Tout ça pour cacher l’évidence : sa clique est détestée”, a lancé le député LFI François Ruffin sur Twitter. “Dans le Guiness Book du ridicule. Plus que jamais, ils font pitié ».
Désormais, son image de « pauvre mec » ne va pas s’arranger. Celle de tyran, pas davantage!
Grace à ses sbires en tous genres, au stade de France, il vient de gagner le match du plus grand trouillard de la Ve République!
Comme la plupart des psychopathes, c’est un grand fragile, un très perturbé, un ado pas terminé, sous poudre de perlimpipin. Il lui faut absolument se protéger et tous ses choix le prouvent.
Il est passé des bras d’une grand-mère en adoration à ceux de Brichel… sans transiter par des petites copines, plus ou moins chipies, plus ou moins volages.
Quelle que soit son identité originelle, Brichel a a minima vingt-cinq ans de plus que lui, voire trente deux… adulé en permanence, aucun risque d’être plaqué pour mieux que lui. Son moitié lui a balisé le terrain et fait sa carrière. Il a tout d’abord fait le choix confortable de la fonction publique, puis grâce au réseau de Brichel est allé exercer un métier de pu*… de luxe (sic Attali) chez Rotschild, avant d’être récupéré par Hollande et redevenir sangsue de la République à Bercy.
Pour mieux régner, il ne s’entoure que de médiocres: Castaner, Sibeth, Grivaud, Nyssen, Flessel, Loiseau, Moréno, Dussopt, Rester, Zacharopoulo… et ne promeut que des incapables: Schiappa, Grégoire, Hulot, Darmanin, Ndiaye, Fesneau, Abdul-Malak, Véran, Attal… d’où ses gouvernements de minables pitres, avec trois Premier ministres, pas vraiment à la hauteur: Philippe, Castex, Borne…
Personne pour lui faire de l’ombre, tous sont lui sont redevables de promotions totalement imméritées.
Il ne se met jamais en danger et si un subalterne ose le contredire, il le vire sans ménagement comme le général de Villiers.
Il n’accepte d’interview que de propagandistes dont aucun ne risquerait une question qui fâche.
Vivant et circulant sous protection absolue, il ne risque jamais rien, sa peur des Gilets jaunes approchant de l’Elysée n’est qu’une fiction.
Il y a longtemps qu’il se fait organiser des réunions sans risque et des villages Potemkine…
Le plus grand péril qu’il encourt procède de sa présomption pathologique. Outre le fait de se ridiculiser en permanence, en se déguisant, se pavanant, adorant s’écouter parler, il dit souvent n’importe quoi.
Les ans passant, sa fatuité maladive le rend de plus en plus phobique. Il est très soucieux de son image, de celle qu’il aime, pas forcément la meilleure ou la plus digne…
Il se veut éternellement jeune, d’où sa perruque… et une gestuelle trop souvent inadaptée…
Etre méprisé, détesté, rejeté… le met en danger, le conduisant à des mesures grotesques, telles l’interdiction des casseroles dans un périmètre très éloigné du sien… Il en est ainsi de tous les gravement perturbés présentant des troubles anxieux.
Et c’est ainsi qu’il en arrive à faire interdire la distribution de cartons rouges et de sifflets aux abords du stade de France, puis à les faire confisquer… sans, une fois de plus, réaliser combien cette mesure est révélatrice de la peur pathologique qui l’habite, de cette faille narcissique qui génère chez lui une trouille immense, terreur dont il se venge sur ses concitoyens, d’où les achats de blindés et grenades pour la police… procédures pléthoriques et iniques pour crime de “lèse-majesté » et ce n’est pas fini…
Depuis six ans, il joue le match de lui contre nous… A quand la finale?
Daphné Rigobert
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