6 août 2022
Tôt ou tard, les peuples évolués, sidérés, anesthésiés, paralysés de trouille par l’abjecte propagande des médias-menteurs finiront bien par sortir de leur léthargie.
Les yeux dessillés, ils comprendront ce que les plus lucides savent depuis le début : Le covid est une arme de destruction massive, expérimentale, qui bien qu’ayant occasionné d’énormes dégâts, directement ou indirectement par ses faux vaccins, n’a pas tout à fait répondu aux attentes de ses promoteurs.
Je souhaite quand même une bonne santé aux assassins au virus et à leurs complices, afin qu’ils vivent jusqu’à leurs procès, pour rendre compte de leurs crimes.
Feu le professeur Luc Montagnier avait raison
Récompensés par des gras émoluments et des avancements éclairs, des journaleux de niveau scientifique brevet (et encore !) ont raillé, brocardé et ridiculisé cet éminent Prix Nobel de médecine et de physiologie. Le traitant de vieux fou complotiste, à défaut de pouvoir réfuter sa thèse sur l’origine artificielle du covidus macronibus.
Aujourd’hui la science valide son approche. D’abord intuitive. Analytique ensuite.
Un article du 21 février 2022 publié par la revue « Frontiers in Virology » (désolé pour les anglophobes, mais la science ne sait pas s’exprimer en français) publie une étude du matériel génétique du SARS-COVID faite par l’université de Pittsburgh.
Cette étude établit clairement que le virus à l’origine de la pandémie présente une séquence équivalente à 96,2 % avec le virus RaTG13 de chauve-souris. Mais…
Mais la thèse de la copulation avec un pangolin sombre dans le ridicule. Car les séquences de l’ARN de ces deux virus présentent une différence majeure : Celui qui a permis de museler, enfermer, brimer, racketter et piquouser les Béotiens, pétrifiés par la propagande des médias du NWO au service de Big Pharma, a subi une manipulation génétique prouvée et démontrable.
Le crime était signé et les preuves n’ont pu être toutes effacées
On a délibérément inséré dans l’ARN du virus les 12 nucléotides de la séquence Proline-Arginine-Alanine qui est le site de clivage de la protéine « spike » toxique par elle même, rendant le covidus macronibus extrêmement infectieux pour les humains, alors que le RaTG13 ne l’est que très peu.
Seules des manipulations génétiques ont permis d’introduire cette séquence afin d’amplifier le pouvoir infectieux du coronavirus. Dans la nature, cette séquence n’existe pas, on ne l’a jamais trouvée dans aucun coronavirus connu.
En outre l’aspect non-naturel de cette séquence est corroboré par le fait que les bases nucléotidiques de l’arginine (codons) qui lui permettent d’être encodés sur un ARN messager, n’existent dans aucun coronavirus. Par contre, elles se trouvent chez les vertébrés.
Ces bases signent l’aspect artificiel de cette insertion. Pour les personnes pas encore convaincues, un dernier indice désigne le coupable : La recherche de similitude de séquence dans la banque publique de données « Blast » n’a trouvé qu’une seule manip identique.
Il s’agit de la séquence de 19 nucléotides matchant à 100 % avec une séquence faisant l’objet du brevet US 9587003 déposé en 2016 par Stéphane Bancel, le patron milliardaire de Moderna,
Selon des experts, c’est une erreur de débutant commise par Moderna qui n’a même pas jugé nécessaire de masquer cette supercherie en introduisant des codons spécifiques aux coronavirus. Tant ils se sentaient forts et invulnérables.
On comprend mieux dès lors la frénésie de certains chercheurs pris entre la stupeur devant une monstruosité qu’ils n’avaient pas le droit de dénoncer (sinon couic ! Big Pharma s’y entend) et les remords de ne pouvoir rien faire, sinon essayer d’intervenir sur l’ARN contaminé. Le remède de ces apprentis sorciers se révélant pire que le mal.
Omerta de rigueur
La pression des labos sur les budgets des universités, les comités des revues médicales et le suivi des carrières (sans même évoquer les menaces des barbouzes des États et des sicaires de Big Pharma) est telle que, après avoir énoncé ce que la plupart des scientifiques honnêtes tiennent pour des évidences, les auteurs de l’étude précitée concluent prudemment que d’autres possibilités pourraient être envisagées et que des études complémentaires seraient utiles.
S’ils sont témoins à charge au procès des assassins covidesques, il faudra tout le talent d’un Perry Mason pour leur faire reconnaître leur complicité involontaire, pour ceux assujettis à la loi du silence. Et quant aux moins impliqués, pour qu’ils dénoncent les donneurs d’ordres, en leur offrant l’immunité judiciaire, c’est bien le moins.
Une corde bien serré devrait être l’aboutissement final pour ceux qui ont sciemment contaminé, empoisonné, assassiné des millions de gens, que ce soit immédiatement avec leur virus trafiqué, ou par ricochet avec leurs pseudo-vaccins. Pour satisfaire leur appétit de pouvoir, leur renommée, leur cupidité ou un mélange des trois.
Macronescu vous pisse dessus et ses médias vous disent qu’il pleut !
Depuis deux ans et demi vous subissez la psychose covidale et cette mascarade est sûrement loin d’être finie… Tant que les peuples ne se révolteront pas !
La gale du macaque, la rougeole de l’éléphant et la chaude pisse du tigre vous guettent. Pour chacune de ces maladies, un minimum de 4 rappels sera nécessaire.
Pour le plus grand bien de Big Pharma comme pour celui des politiciens véreux (quasi-pléonasme) qui empochent leurs ristournes et renforcent leur pouvoir. Par la terreur qu’ils entretiennent et la reconnaissance qu’ils attendent des imbéciles.
Le Forum économique mondial de Davos a réussi un coup de maître avec son virus concourant à l’objectif d’imposer ses lubies totalitaires et criminelles à tout l’Occident pour l’asservir. Le psychopathe Schwab, né et éduqué dans une famille de nazis fanatiques, voit enfin le début de la réalisation de son projet de Great Reset.
Le prétendu réchauffement climatique n’allait pas assez vite. Les catastrophes annoncées n’arrivaient pas. Et ça faisait jaser dans les chaumières. Après trente ans de propagande forcenée, au moins la moitié des gens n’y croient toujours pas. Tandis qu’avec le covid, c’est autre chose. On a des résultats presque immédiats.
Si on dit à une kyrielle de gens dépourvus de formation scientifique, et plus grave incapables de s’informer et de réfléchir par eux mêmes, qu’ils vont bientôt crever sans les mixtures de Big Pharma… Ils se précipiteront vers leurs shoots tels des junkies.
En outre si on pourrit la vie des plus avisé, donc forcément réticents, en leur interdisant toute sortie, toute vie sociale, en les traitant comme des parias, et en les privant de leur travail donc de leurs revenus… On les enfermera dans la nasse.
Didier Raoult et Christian Perronne avaient raison sur toutes la ligne
Depuis 2019 on connaissait les molécules permettant de combattre le coronavirus, entre autres l’hydroxychloroquine associée à un macrolide comme l’azithromycine.
Mais comme les labos étaient très motivés par la mise au point et la vente forcée d’une nouvelle thérapie axée sur l’ARN messager modifié, codant la sous-unité 1 de la protéine « spike », Macronescu le pantin du NWO a interdit les médicaments permettant d’éradiquer ce virus… Et démis de leurs fonctions, comme Alexandra Henrion Caudé, ou incarcéré comme Fourtillan, tous les savants susceptibles de faire capoter leur projet en éclairant le public sur les manœuvres criminelles des labos.
Français, Américains et Chinois complices ?
Étant donné que l’évolution du covidus macronibus était improbable dans la nature, quelles mafias ont présidé à la naissance de ce monstre de biotechnologie ?
L’hypothèse d’une complicité objective entre ces trois États est-elle plausible ? Si a priori la mise en commun des athanors du Diable peut sembler incongrue, une arnaque à double détente pourrait être à l’origine de cette alliance improbable.
Les premiers travaux de « gain de fonction », comprendre modification des structures naturelles en vue de les utiliser dans une guerre bactériologique, ont été effectués par l’armée américaine à Fort Dietrick Maryland sous la houlette d’Antony Fauci, expert reconnu en matière de manipulation des fonctions virales.
Le centre a été démantelé en 2019 soi-disant pour raisons de sécurité, dès le début de la pandémie, et ré-ouvert en 2020 juste avant l’éjection programmée de Trump.
On a découvert alors qu’une collaboration existait entre ces labos américains et ceux de Wuhan. Bien que les Américains soient capables de mener seuls ce genre de travaux, on peut penser qu’ils ont préféré en sous traiter une partie, en cas de pépins, aux Chinois qui les ont doublés.
Des Chinois qui ont le savoir-faire grâce au brevet de cette manipulation génétique déposé par Moderna, dirigé par l’ancien DG de Biomérieux, qui a largement contribué au financement du laboratoire P4 de Wuhan. Ville où furent organisés les jeux olympiques militaires de 2019. Où de nombreux athlètes souffrirent de maux inexplicables, de bénins à graves. Les exportant ensuite dans leurs pays respectifs.
Ainsi la France pourrait avoir été complice de cette pandémie imaginée par l’armée américaine et organisée par les Chinois dans leur dos, à titre expérimental. Tandis que les diktats de Macronescu ont tout fait pour empêcher d’enrayer sa progression.
Christian Navis
Source : ns2017 via profession-gendarme
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