Des médecins dénoncent les effets nocifs des vaccins
Le vaccin ARN messager est actuellement dans une phase expérimentale et a, loin de la propagande médiatique, fait naitre une vague d’inquiétude auprès de la communauté scientifique. Dès le 4 octobre 2020, trois éminents scientifiques (Pr Martin Kulldorff, Dr Jay Bhattacharya, Dr Sunetra Gupta) avaient tenté tenté de dissuader les autorités d’adopter une politique sanitaire uniquement basée sur une vaccination de masse.
Ces éminents médecins préconisent des éléments d’ alternative, et c’est ainsi qu’est née la Déclaration de Great Barrington qui, depuis, a récolté 870.000 signatures, dont 60.000 scientifiques et médecins.
Une telle opposition aux politiques sanitaires en vigueur est nourrie par les effets secondaires d’une vaccination de masse sur l’ensemble de la population. Ces trois scientifiques pensent ainsi qu’il est possible d’atteindre une protection dite « focalisée » qui passe par la sécurisation des individus fragiles, âgés ou infirmes,, en laissant donc le reste de la société vivre librement pour atteindre l’immunité collective.
Selon les trois chercheurs, les politiques actuelles « produisent des effets désastreux sur la santé publique à court, moyen et long terme. Parmi les conséquences, on peut citer, entre autres, une baisse des taux de vaccination chez les enfants, une aggravation des cas de maladies cardio-vasculaires, une baisse des examens pour de possibles cancers ou encore une détérioration de la santé mentale en général. Cela va engendrer de grands excès de mortalité dans les années à venir ».
Les faits et les chiffres relevés depuis le début de la crise sanitaire ont ainsi permis de comprendre que les personnes infirmes et âgées sont plus exposées à des complications et à la mort.
Sur un autre versant, les enfants ne sont pas touchés. Et dans une suite logique, quand l’immunité croît ; les infections seront à la baisse pour toute la population et cela vaut également pour les plus vulnérables.
En ce sens, il serait plus pertinent d’essayer de réduire le taux de mortalité lié au Covid-19, le temps que l’on puisse atteindre l’immunité collective. Pour ce faire, les trois scientifiques estiment qu’on devrait permettre aux personnes les moins exposées aux risques de complication de vivre normalement leurs vies tout en adoptant des mesures d’hygiène simples.
Ces dernières pourront ainsi produire une immunité importante via les infections dites naturelles pour atteindre la Protection Focalisée. On devrait également penser à : laisser les établissements scolaires ouverts, continuer les activités extrascolaires, cesser le télétravail pour les jeunes adultes bien portants, rouvrir les commerces et lieux publics.
La déclaration de Great Barrington souligne ainsi qu’en adoptant cette stratégie « la société dans son ensemble bénéficie de la protection ainsi conférée aux plus vulnérables par ceux qui ont construit l’immunité collective ».
Cette déclaration dénonce également les politiques de confinement. Une politique qui a des effets dévastateurs sur la santé publique à court et à long terme.
Parmi eux, la baisse des taux de vaccination des enfants, l’aggravation des résultats des maladies cardio-vasculaires, la diminution des dépistages du cancer et la détérioration de la santé mentale – ce qui entraînera une surmortalité plus importante dans les années à venir.
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