En fait, à mesure qu’ils se précipitent vers l’abime, les choses sont de plus en plus claires :
- ils nous ont interdit de nous soigner sous des prétextes oiseux (et purement commerciaux) ;
- ils ont voulu nous faire prendre des vessies pour des lanternes en nous imposant des masques, des confinements, des gestes barrières qui n’ont servi à rien et qu’eux-mêmes ne respectent pas ;
- puis ils nous ont infligé des thérapies géniques obscures produites par des labos plusieurs fois condamnés à des milliards de dollars pour escroquerie, et dont les conséquences indésirables n’en finissent pas de se multiplier ;
- puis,
comme leurs saloperies de charlatans ne fonctionnaient pas non plus,
ils nous ont embrouillés avec des discours de bonimenteurs de foire de
plus en plus délirants, alignant des contre-vérités démenties par leurs
propres instituts de statistiques : le confinement a fait baisser la
maladie, les vaccins vont la faire disparaître (dose 1), en empêchent
les formes graves (dose 2), tout ça c’est de la faute des 10% de
non-vaccinés qui encombrent nos hôpitaux (dose 3)…
- alors, en désespoir de cause, ils nous ont imposé leur pass sanitaire, et bientôt (janvier 2022) leur pass vaccinal.
Non, c’est non !
Mais la réponse aussi va être très claire : c’est non.
En 1948, il y eut le procès de Nuremberg. L’important n’est pas seulement que ce procès ait condamné les pratiques médicales sordides des médecins nazis, mais qu’il se soit tenu. Il finit toujours par y avoir un procès Nuremberg. Il suffit de tenir, d’attendre, de résister. Et c’est ce que nous allons faire.
Ça aussi, c’est clair ?
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