Depuis quelques temps, le sujet du vaccin devient un automatisme dans nombre de conversations, avec la question inévitable : « Et toi, tu es vacciné ? »
On n’aurait jamais demandé cela à propos de tout autre vaccin, à part peut-être celui de la grippe saisonnière.
Cela devient tellement systématique que j’évite même de téléphoner à qui que ce soit. J’ai, il y a peu, encore tenté d’avertir les candidats au vaccin de mes amis et ma famille, mais rien n’y a fait pour beaucoup.
Les avertissements de nombreux médecins sur les sites de réinformation, et aussi le simple fait de l’interdiction des médicaments jointe à l’orchestration sans précédent de l’incitation au vaccin covid auraient dû suffire à faire réfléchir avant de se soumettre à la peur entretenue par les médias. J’aurais presque l’impression de devoir me culpabiliser pour ne pas avoir été assez persuasif. Je m’inquiète pour ceux que j’aime et qui sont vaccinés. Je me dis que plus tard, nous parlerons de cette période comme d’après une guerre. Mais présentement cette guerre n’est pas terminée.
Ma compagne s’est vue questionnée sans ménagement par une personne de son groupe de gymnastique, où tout le monde ou presque est vacciné, animatrice comprise. Celle-ci a même dit que quand l’État exigera la vaccination pour la pratique du groupe, elle demandera les attestations. Cette soumission à une copie de l’ingénierie sociale de la Chine communiste formulée a priori en dit long sur les mentalités prêtes à la collaboration. Ma compagne, qui ne manque pas de répartie, a demandé à la questionneuse si elle était de la Gestapo. Au moins, on ne lui posera plus la question.
Un ami rencontré récemment disait que dans son village, il était attentif aux cloches de l’église. Depuis le début de la vaccination, il a remarqué que le glas sonne bien plus souvent que d’habitude. Seul effet de saison où les anciens décèdent lors des variations du temps ? Un naïf pourrait le croire. Le même naïf qui croit tout aussi bien les mensonges étalés à longueur de journaux télévisés sans même en relever les contradictions.
Le vaccin covid aura-t-il autant d’effets néfastes ou mortels que décrit dans les articles de médecins renommés, ceux qui ne sont pas invités à être les vedettes des plateaux de télévision ?
Ces mêmes émissions télévisées où on se demanderait qui est médecin et qui est journaliste, les uns se prenant pour les autres et réciproquement…
Je ne le souhaite à personne, mais ces effets ont commencé. Déjà on compte les morts et les infirmes. Mais pas à la télévision où le nombre de « cas » baisse singulièrement à mesure que l’on vaccine. N’aurait-il pas baissé sans cela ? Il est difficile de plaindre les sourds volontaires qui nous traitent de complotistes. Plus encore que leur propre vie, ils auront mis en danger les libertés individuelles et collectives héritées de nos Anciens, compromettant aussi leurs enfants et leur descendance s’ils sont aussi vaccinés.
Se prêter ainsi à une abomination d’une ampleur jusqu’ici inégalée révèle une sérieuse dégradation de la santé mentale de nos contemporains, mettant gravement en danger autant la liberté que la santé publique.
Mais beaucoup de gens ne voient pas aussi loin, surtout ceux qui ont oublié d’où ils viennent. À chaque fois que le glas sonne pour un mort à cause du vaccin covid, il résonne aussi pour l’avenir de l’humanité. Alors, comme dans le roman d’Ernest Hemingway, reprenant le poème de John Donne Aucun homme n’est une île, je dis aux vaccinés :
« N’envoie jamais demander pour qui sonne le glas : il sonne pour toi. »
Daniel Pollett
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Ici, les commentaires sont libres.
Libres ne veut pas dire insultants, injurieux, diffamatoires.
À chacun de s’appliquer cette règle qui fera la richesse et l’intérêt de nos débats.
Les commentaires injurieux seront supprimés par le modérateur.
Merci d’avance.