François Bousquet et Robert Ménard devaient tenir une conférence sur le thème du courage en politique, organisé par le Cercle du Capitoul, dans la bonne ville de Toulouse.
Sachant que des problèmes de sécurité pouvaient surgir, la police était prévenue depuis 48 heures, mais n’était pas là.
Par contre les Antifas, eux, n’étaient pas en retard.
Selon leurs habitudes, ces adeptes de la lutte à 10 contre 1, capuche sur la tête et foulard sur le nez, sont passés à l’attaque, exactement comme les racailles de la diversité qui leur servent de modèle.
Un conflit qui a quand même duré 10 minutes, avant que la police arrive enfin.
Une chance malgré tout, puisque les organisateurs du débat avaient anticipé cette éventuelle attaque et par conséquent ont pu empêcher ces tarés d’entrer dans la salle, avec l’aide d’un service d’ordre organisé avec des jeunes identitaires.
Un conflit qui a quand même duré 10 minutes, avant que la police arrive enfin.
Une chance malgré tout, puisque les organisateurs du débat avaient anticipé cette éventuelle attaque et par conséquent ont pu empêcher ces tarés d’entrer dans la salle, avec l’aide d’un service d’ordre organisé avec des jeunes identitaires.
François Bousquet, présente ces agresseurs, qui prennent soin de rester masqués, comme leurs semblables les Black-Blocks, d’appartenir, pour la plupart, à des familles de la nouvelle bourgeoisie gaucho-libertaire: Fils d’avocats, de magistrats, de journalistes, accompagnés aussi d’individus du lumpenprolétariat, dont plusieurs dit-il, ont par leur apparence dépassé les 60 ans.
Des gauchards indécrottables, fils de ces rouges espagnols qui s’étaient repliés en grande quantité à Toulouse, après la défaite des « républicains ».
Un mélange de trotskistes nouveau modèle, d’anarchistes et de crypto-staliniens, qui auraient fait merveille dans les rangs du NKVD.
Des types, et quelquefois des femelles, qui se prennent pour de modernes passionarias et qui prétendent combattre le fascisme.
Alors qu’ils sont eux-mêmes des représentants de ce fascisme gauchiste, incarné par le tristement célèbre Pol Pot, avec ses 2 millions de morts.
Un mélange de trotskistes nouveau modèle, d’anarchistes et de crypto-staliniens, qui auraient fait merveille dans les rangs du NKVD.
Des types, et quelquefois des femelles, qui se prennent pour de modernes passionarias et qui prétendent combattre le fascisme.
Alors qu’ils sont eux-mêmes des représentants de ce fascisme gauchiste, incarné par le tristement célèbre Pol Pot, avec ses 2 millions de morts.
Mais ne nous attendons pas à ce que les « élites » du Gouvernement, comme le Procureur de la république, qui n’a fait aucune enquête, ou le Préfet Etienne Guyot, qui ne s’est pas trop pressé pour protéger ce rassemblement, agissent mieux une prochaine fois.
On sait trop pour qui travaillent ces néo-fascistes, sachant qu’ils sont financés par le milliardaire Soros, promoteur du Gouvernement mondial, sans frontières.
On sait, qu’ils sont au service du Système financier qu’ils prétendent combattre.
Ils trahissent les classes populaires, en encourageant les riches à devenir encore plus riche sur le dos des plus pauvres.
Pour eux, l’ancien bagne de Cayenne aurait été parfaitement approprié.
On sait, qu’ils sont au service du Système financier qu’ils prétendent combattre.
Ils trahissent les classes populaires, en encourageant les riches à devenir encore plus riche sur le dos des plus pauvres.
Pour eux, l’ancien bagne de Cayenne aurait été parfaitement approprié.
Leurs protecteurs sont bien connus maintenant, car ils sont particulièrement utiles au LREM pour empêcher toute contestation du macronisme.
Comment s’étonner alors, que toutes les plaintes contre eux soient classés SANS SUITE et qu’ils bénéficient largement de la complicité des médias.
Comment n’auraient-ils pas un sentiment d’impunité qui les encourage à aller toujours plus loin dans la provocation et l’agression, avec la lâcheté qui les caractérise.
Tout en employant, au besoin et sans scrupules des cocktails Molotov et des barres de fer.
Comment s’étonner alors, que toutes les plaintes contre eux soient classés SANS SUITE et qu’ils bénéficient largement de la complicité des médias.
Comment n’auraient-ils pas un sentiment d’impunité qui les encourage à aller toujours plus loin dans la provocation et l’agression, avec la lâcheté qui les caractérise.
Tout en employant, au besoin et sans scrupules des cocktails Molotov et des barres de fer.
A Toulouse déjà, ils avaient agressé un candidat RN, lors d’une distribution de tracts.
Il y a eu aussi l’agression du journaliste indépendant Vincent Lapierre à 50 contre 1 selon leur habitude, et toujours dans la même région, l’attaque de la crèche vivante dans la période de Noël.
Il y a eu aussi l’agression du journaliste indépendant Vincent Lapierre à 50 contre 1 selon leur habitude, et toujours dans la même région, l’attaque de la crèche vivante dans la période de Noël.
Une fois qu’on a dépassé les bornes, il n’y a plus de limites, disait Alphonse Allais.
Onyx
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