BREIZATAO – NEVEZINTIOU (11/09/2019)
L’enclave afro-maghrébine de Kermoysan, à Kemper (Quimper), a été le théâtre d’incendies criminels.
Quartier de Kermoysan à Quimper, véhicules et poubelles en feu, ce mardi soir. Les forces de l’ordre sont en nombre mais se tiennent à distance. Comme les pompiers, pour qui les conditions de sécurité ne sont pas encore réunies pour intervenir. #quimper pic.twitter.com/yY0Un2me3B— Basile Caillaud (@CaillaudBasile) 10 septembre 2019
Des bandes ethniques sont une nouvelle fois à l’origine des faits.
Ouest-France (source) :Des voitures et des poubelles incendiées, des forces de l’ordre cibles de jets de projectiles : la soirée de ce mardi 10 septembre 2019 a été agitée dans le quartier de Kermoysan, à Quimper (Finistère). Il n’y a pas eu de blessé.
21 h 45, ce mardi 10 septembre 2019. La nuit est tombée sur le quartier de Kermoysan, à Quimper (Finistère) quand un bruit sourd fait sursauter les badauds descendus dans la rue. C’est le pneu d’un véhicule en feu qui vient d’exploser. Dans la soirée, une dizaine de voitures a été incendiée volontairement. Le feu a également été mis à des poubelles, lancées au milieu de la chaussée.
Cela fait déjà quelques heures, à ce moment de la soirée, que la situation est tendue à Kermoysan. Selon plusieurs sources, tout a commencé par l’interpellation d’un jeune au guidon d’une motocross qu’il pilotait sans casque. « Ça a énervé les jeunes du quartier qui se vengent en mettant le feu », se désole un riverain. « Vous savez, on a l’habitude ici », reprend l’un de ses voisins.
Avant les incendies, un face-à-face entre forces de l’ordre et jeunes s’est tenu. Des projectiles ont été lancés en direction des policiers et pompiers. Il n’y a pas eu de blessé.
Un important dispositif de force de l’ordre s’est déployé : des policiers, vite rejoints par des gendarmes en renfort, ainsi que des sapeurs-pompiers, attendant que la tension redescende d’un cran avant d’intervenir.
Cela a pu se faire aux alentours de 22 h 15, lorsque les soldats du feu, escortés par les policiers, ont pu accéder aux boulevards de Provence, de Bretagne ou encore à la rue du Poitou.
Le terme « jeunes » est utilisé par la presse d’état hexagonale pour désigner les émeutiers de race non-blanche afin de maquiller l’origine des troubles aux yeux de la population.
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