Anne-Sophie Chazaud
Il arrive ces derniers temps qu’on nous reproche de réagir trop véhémentement aux faits et gestes macroniens.
On nous explique alors doctement que la méchante haine c’est mal et que la pluie ça mouille.
Que notre jugement est altéré par un a priori négatif.
Les boas constrictors de la morale politique, petits apothicaires du bon goût commun et catéchistes d’une classe de parvenus aux abois, sont à l’affût en cette période électorale afin, par ce biais, de disqualifier nos analyses, nos jugements, nos ressentis.
Il me semble important, à quelques jours des élections, de rappeler quelques points.
Bien que considérant LREM depuis le début comme une imposture intellectuelle et politique, j’ai immédiatement après l’élection présidentielle appelé à accepter la légitimité du vote (en partie pourtant usurpée) et à juger Macron sur ses actes.
Je me sens donc parfaitement légitime, deux ans plus tard, à juger....sur les actes.
Car la détestation, totalement indéniable et parfois devenue épidermique de ce personnage et de la formation politique qu’il porte n’est pas tombée du ciel comme ça pof un beau matin.
Deux ans de mépris envers la France et les Français.
Deux ans de petites phrases infectes et de morgue.
Deux ans de détestation envers les patriotes de tous bords, de vomissements sur les lépreux et autres dégueulis.
Deux ans de crachats sur le peuple. De casse.
Deux ans de méconnaissance de ce qu’est la France.
Des mois de violences physiques et de répression envers les opposants politiques.
Des mois de LBD, d’avilissement, de cécité, de Benalla, de selfies douteux, de fêtes de la musique obscènes dégradant le symbole de l’État.
Deux ans de lois liberticides et de tentatives de prise de contrôle des canaux d’expression démocratique.
Deux ans de propagande et de manipulations grossières.
Des mois sans aucune action claire en faveur de la laïcité à la française, sans action véritable à l’encontre des communautarismes.
Des mois de honte à voir de jeunes incultes gougnafiers s’emparer de la gouvernance de notre beau pays livré en pâture au n’importe quoi, dépecé et vendu à la découpe par ces progressistes de pacotille.
Des mois de députés godillots grotesques, de lois ineptes comme celle qui va bientôt s’emparer de notre joyau patrimonial de Notre-Dame.
Alors, que ceux qui ont cautionné cette hystérisation délibérée de la parole et du débat publics parce que cela servait leurs petits intérêts prébendiers et autosatisfaits viennent à présent reprocher au peuple et à ceux qui le soutiennent leurs réactions certes devenues épidermiques à ce personnage et à ce qu’il incarne me paraît particulièrement déplacé, de mauvais goût, de mauvaise foi et illégitime. Elle est là, l’illégitimité.
Je n’ai pas souvenir d’un personnage politique focalisant autant de réactions de rejet, et il en est lui-même le seul responsable.
Même Mitterrand ne générait pas autant de haine.
C’est dire ! Il y a probablement une raison à cela.
Espérons donc que les quelques jours qui restent seront exempts d’incendies spectaculaires et autres catastrophes haletantes propres à maintenir la nation en haleine, afin que celle-ci puisse prendre lucidement le temps de regarder en face les faits et étayer ainsi calmement son jugement.
Je me sens donc parfaitement légitime, deux ans plus tard, à juger....sur les actes.
Car la détestation, totalement indéniable et parfois devenue épidermique de ce personnage et de la formation politique qu’il porte n’est pas tombée du ciel comme ça pof un beau matin.
Deux ans de mépris envers la France et les Français.
Deux ans de petites phrases infectes et de morgue.
Deux ans de détestation envers les patriotes de tous bords, de vomissements sur les lépreux et autres dégueulis.
Deux ans de crachats sur le peuple. De casse.
Deux ans de méconnaissance de ce qu’est la France.
Des mois de violences physiques et de répression envers les opposants politiques.
Des mois de LBD, d’avilissement, de cécité, de Benalla, de selfies douteux, de fêtes de la musique obscènes dégradant le symbole de l’État.
Deux ans de lois liberticides et de tentatives de prise de contrôle des canaux d’expression démocratique.
Deux ans de propagande et de manipulations grossières.
Des mois sans aucune action claire en faveur de la laïcité à la française, sans action véritable à l’encontre des communautarismes.
Des mois de honte à voir de jeunes incultes gougnafiers s’emparer de la gouvernance de notre beau pays livré en pâture au n’importe quoi, dépecé et vendu à la découpe par ces progressistes de pacotille.
Des mois de députés godillots grotesques, de lois ineptes comme celle qui va bientôt s’emparer de notre joyau patrimonial de Notre-Dame.
Alors, que ceux qui ont cautionné cette hystérisation délibérée de la parole et du débat publics parce que cela servait leurs petits intérêts prébendiers et autosatisfaits viennent à présent reprocher au peuple et à ceux qui le soutiennent leurs réactions certes devenues épidermiques à ce personnage et à ce qu’il incarne me paraît particulièrement déplacé, de mauvais goût, de mauvaise foi et illégitime. Elle est là, l’illégitimité.
Je n’ai pas souvenir d’un personnage politique focalisant autant de réactions de rejet, et il en est lui-même le seul responsable.
Même Mitterrand ne générait pas autant de haine.
C’est dire ! Il y a probablement une raison à cela.
Espérons donc que les quelques jours qui restent seront exempts d’incendies spectaculaires et autres catastrophes haletantes propres à maintenir la nation en haleine, afin que celle-ci puisse prendre lucidement le temps de regarder en face les faits et étayer ainsi calmement son jugement.
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