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lundi 1 octobre 2018

Une Suédoise de 65 ans condamnée à la prison pour avoir critiqué l’immigration

 
 
 
 
 
Publié par Piotr Stammers le 29 septembre 2018 


Pour avoir écrit sur Facebook que « le QI moyen du fait de l’immigration va baisser », une Suédoise de 65 ans a été poursuivie pour propos haineux.
 
Elle a été condamnée à une peine de prison ferme par la Cour suprême.
 
Au cours de l’enquête, rapporte samtiden.nu, la femme, qui s’appelle Christina, a été soumise à six interrogatoires et fouilles policières, ce qu’elle a décrit comme une douloureuse expérience.
La police a exigé qu’elle lui remette ses clés, son téléphone portable et son iPad.
Sa demande de consultation de son médecin pour une visite médicale lui a été refusée.
Elle a beaucoup souffert et se sent extrêmement violée par le traitement extensif et intrusif de la police.
L’enquête préliminaire contre elle fait 150 pages.
Le tribunal de district avait soutenu que le procureur n’avait pas réussi à prouver qui était assis derrière l’écran lorsque les messages ont été écrits.
La femme a nié que c’était elle, et a déclaré que son locataire aurait pu utiliser son ordinateur.
Mais la Cour suprême fait une appréciation différente.
Selon elle, l’enquête montre clairement qu’elle a utilisé son compte au moment des faits.
La sentence est « outrage criminel contre des personnes ayant des croyances musulmanes ».
Christina, qui n’avait pas jamais été condamnée, a écopé de trois mois de prison pour huit cas de discours haineux.
 
« Je suis terrifiée », a-t-elle déclaré, « dévastée », lors d’une interview peu après le verdict.
« J’ai si peur, et je ne peux rien faire. Serai-je en prison avec des criminels ? Je souffre de polyarthrite rhumatoïde et de dépression profonde et je vais perdre mon appartement », a-t-elle dit en pleurant.
 
Sa peine est clairement destinée à décourager les gens d’exprimer des critiques contre la décision du gouvernement de transformer la Suède en un pays du tiers-monde.
La condamnation pour délit d’opinion frôle le comportement des régiments totalitaires.
 
En 2016, Christina a été agressée, battue, laissée inconsciente et en sang dans la rue par une bande de soi-disant « enfants réfugiés non accompagnés ».

L’agression a affecté sa mémoire, entre autres choses.

Cependant, personne n’a été reconnu coupable de l’agression.
 
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Piotr Stammers pour Dreuz.info.

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