jeudi 21 juin 2018, par Comité Valmy
Ukraine : Des safaris humains contre les civils du Donbass ?
Comme dans un film d’horreur, l’on apprend que l’Ukraine organiserait des safaris humains pour riches occidentaux en mal de sensations fortes contre les civils du Donbass.
Rien de personnel, c’est juste du business.
Et comme la dépravation de l’homme ne connaît d’autre limite que sa mort, ce business peut être lucratif.
La République de Donetsk donne l’alerte, ou plutôt sonne le glas, comme le révèle en français le site Novorossia Today.
Ainsi, le porte-parole, le capitaine D. Bessonov a déclaré aux journalistes :
Ainsi, le porte-parole, le capitaine D. Bessonov a déclaré aux journalistes :
début juin quatre personnes d’origine étrangère avaient payé les militaires ukrainiens pour pouvoir faire du « safari » en zone du conflit. Moyennant une certaine somme, ceux qui le souhaitent sont admis sur les positions ukrainiennes et peuvent faire de la « chasse » contre les civils |
En plus des sources venant des services de renseignements, DNR a également recueilli des témoignages d’habitants.
Des faits qui avaient déjà eu lieu en 2014, notamment confirmés par des déclarations dans les réseaux sociaux de riches "participants" occidentaux se vantant de partir dans le Donbass faire du tir contre les combattants.
Des faits qui avaient déjà eu lieu en 2014, notamment confirmés par des déclarations dans les réseaux sociaux de riches "participants" occidentaux se vantant de partir dans le Donbass faire du tir contre les combattants.
La première réaction, saine et autoprotectrice, est le déni, le refus, le rejet.
Comment peut-on organiser un business où la chasse à l’homme est le but ?
Ensuite, l’on se souvient que de tels crimes existent, de nos jours, en Afrique par exemple, où la chasse aux éléphants ne semble plus satisfaire les instincts meurtriers de riches dégénérés.
Sans compter le récent scandale de l’Inde.
Comment peut-on organiser un business où la chasse à l’homme est le but ?
Ensuite, l’on se souvient que de tels crimes existent, de nos jours, en Afrique par exemple, où la chasse aux éléphants ne semble plus satisfaire les instincts meurtriers de riches dégénérés.
Sans compter le récent scandale de l’Inde.
Ensuite, l’on se souvient que la guerre est toujours le lieu de business douteux, qui répond aux pires pulsions de nos cerveaux reptiliens, que la civilisation a parfois du mal à contenir.
La pulsion de mort, la pulsion de meurtre fait partie de l’homme, qui normalement doit la contrôler. Ces guerres "hors règles" permettent à certains, en toute liberté, de laisser libre cours à ces pulsions. Dès le début du conflit, l’on a remarqué des annonces dans les réseaux sociaux proposant des "circuits touristiques" sur la ligne de front, évidemment sans aucune garantie de sécurité.
La pulsion de mort, la pulsion de meurtre fait partie de l’homme, qui normalement doit la contrôler. Ces guerres "hors règles" permettent à certains, en toute liberté, de laisser libre cours à ces pulsions. Dès le début du conflit, l’on a remarqué des annonces dans les réseaux sociaux proposant des "circuits touristiques" sur la ligne de front, évidemment sans aucune garantie de sécurité.
Ensuite, les enchères sont montées et l’Ukraine a proposé des circuits plus "intéressants" : les guerriers du dimanche aux poches bien remplies pouvaient tirer contre les positions des combattants. Les tarifs variaient selon qu’ils voulaient tirer depuis un tank, un lance-roquette ou autre chose.
Tout est possible, ce n’est qu’une question de prix.
Tout est possible, ce n’est qu’une question de prix.
Mais ce n’est plus suffisant, les plus bas instincts peuvent être satisfaits en tirant sur des civils, qui ne peuvent se défendre.
Et ce, dans les zones contrôlées par l’armée ukrainienne.
Et ce, dans les zones contrôlées par l’armée ukrainienne.
Pour qu’un homme se mette en chasse contre un autre homme, il faut qu’il puisse ne plus le considérer comme un homme, il faut qu’il puisse lui-même ne plus être un homme.
Qu’il devienne un "surhomme", détenant un pouvoir de vie et de mort sur les autres.
Qu’il devienne un "surhomme", détenant un pouvoir de vie et de mort sur les autres.
Les politiques ukrainiens déclarent souvent que les habitants du Donbass sont des "sous-hommes", alors pourquoi ne pas les chasser contre argent comptant ?
La guerre peut aussi être un business rentable.
Rien ne doit arrêter la liberté d’entreprendre.
La guerre peut aussi être un business rentable.
Rien ne doit arrêter la liberté d’entreprendre.
Karine Bechet-Golovko
mercredi 20 juin 2018
mercredi 20 juin 2018
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