« Selon l’enquête annuelle de l’Association française des banques (AFB), le nombre d’injures, de menaces ou d’agression envers les salariés, et surtout les salariées des banques françaises a augmenté de 15 % en un an. Un chiffre qui inquiète le secteur. »
« Bien qu’elle n’accueille que 18 % des agences bancaires sur tout le territoire français, l’Île-de-France est la région la plus touchée avec 35 % des incidents. Autre fait notable : l’étude note que 64,3 % des femmes sont victimes d’incivilités contre 35,7% des hommes. »
Comment expliquer une telle augmentation ?
Selon un représentant de la Société Générale, « le réseau est sous tensions ».
« La mise en place de solutions d’accueil partagé dans les agences bancaires, d’horaires d’ouverture différenciés, ou encore de nouveaux outils informatiques et de réglementations génère un manque de réactivité que les clients nous reprochent. »
« La mise en place de solutions d’accueil partagé dans les agences bancaires, d’horaires d’ouverture différenciés, ou encore de nouveaux outils informatiques et de réglementations génère un manque de réactivité que les clients nous reprochent. »
Comprenez, et les responsables le disent eux-mêmes à mots à peine couverts, que comme ils retirent beaucoup de moyens aux réseaux, les collaborateurs d’agences n’ont plus les moyens de faire convenablement leur travail en répondant aux attentes des clients.
Ils ne veulent pas que l’on dérange trop les banquiers car en réalité les grandes banques veulent supprimer les agences qui coûtent très cher pour tout migrer sur Internet avec quelques centres pour les très riches.
Autre élément dont on ne parle pas, c’est la compétence de vos jeunes banquiers d’agence.
La veille, ils étaient en train de vendre des raquettes dans un supermarché ou des Big Mac chez McDo.
Le lendemain, ils sont évidemment incapables de vous répondre convenablement.
Mal recrutés, mal formés, dans un monde de plus en plus exigeant où les clients le sont également parfois à outrance, et vous obtenez un cocktail détonant.
La veille, ils étaient en train de vendre des raquettes dans un supermarché ou des Big Mac chez McDo.
Le lendemain, ils sont évidemment incapables de vous répondre convenablement.
Mal recrutés, mal formés, dans un monde de plus en plus exigeant où les clients le sont également parfois à outrance, et vous obtenez un cocktail détonant.
Mais que nos banquiers d’en bas se rassurent, ils seront bientôt tous licenciés.
Charles SANNAT
Source LCI ici
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