Le 15/01/2017
Claude Brasseur
Les 10.000 milliards de dollars manipulés par le GIEC et ses bénéficiaires étouffent toute velléité de connaissance réelle.
Chaque jour, dans la presse écrite, est évoqué LE danger du CO2, présenté comme la pire pollution des centrales à charbon.
Le GIEC nous a fait découvrir – et le film d’Al Gore, Une vérité qui dérange, a convaincu même des scientifiques – que plus il y a de CO2 dans l’air et plus il fait chaud… et on crie d’autant plus fort qu’il fait froid en ce moment et que Donald Trump se montre climato-sceptique.
Les climato-sceptiques critiquent le GIEC, ne veulent pas admettre les conclusions des adeptes du GIEC… qui ont été jusqu’à vouloir condamner ces « irresponsables » en justice !
Et la question est : où est la vérité ?
L’histoire du climat et du CO2 de notre planète est « inscrite » dans les roches et le professeur Alain Préat, de l’ULB (Université libre de Bruxelles), a étudié cette histoire le plus soigneusement possible pour les 4,5 derniers milliards d’années.
Il use des précautions prises en leur temps par Copernic, Kepler et Galilée pour présenter le mouvement de la Terre autour du Soleil sans se faire assassiner par l’Inquisition !
Alain Préat ne risque pas de se faire assassiner en 2017, mais j’observe que beaucoup de chercheurs actuels ont les pires ennuis s’ils ne se font pas admirateurs de la « science consensuelle ».
Scientifique exclu de l’université de Lubumbashi pour refus de corruption, je ne connais qu’une vérité scientifique : celle qui peut être vérifiée… qui doit pouvoir l’être partout et toujours.
Une opinion partagée par des millions de personnes ne fera jamais une vérité scientifique !
Alain Préat entoure de mille précautions sa conclusion : « Dans le détail à notre disposition il n’y a aucune corrélation simple ou linéaire entre le taux de CO2 et la température. »
Cette conclusion est sans appel.
Elle n’aura aucun effet…
Les 10.000 milliards de dollars manipulés par le GIEC et ses bénéficiaires étouffent toute velléité de connaissance réelle.
Tout physicien qui se penche sur la question aboutit à l’absence de rôle réel du CO2 sur la température s’il pense à appliquer l’équation de Bernoulli à l’atmosphère.
Je vous l’épargne.
Bien sûr, comme l’atmosphère n’est pas statique, c’est assez compliqué à décrire : l’effet de la vapeur, des nuages d’eau et du vent est important mais ces effets correspondent bien, en moyenne, aux 15 °C moyens de notre planète.
Beaucoup, peu, énormément de CO2 n’y change rien.
Inutile d’imaginer le GIEC, avec ses 48 modèles de fonctionnement de l’atmosphère et son rôle essentiel pour le CO2, reconnaître s’être trompé à 100 %.
Cela ne se fera pas sans une prise de conscience des citoyens escroqués.
Cette prise de conscience est quasi impossible et le GIEC adaptera son discours : « réchauffement climatique » deviendra « changement climatique » et j’ai même pu lire, récemment, que « le refroidissement actuel au pôle Sud est en réalité lié à un réchauffement profond » !
Le GIEC ne sera oublié que si le temps fraîchit sérieusement, comme l’absence de taches solaires selon la modélisation de l’astronome Valentina Zharkova l’annonce.
Entre-temps, nos concitoyens acceptent de payer des éoliennes pour éviter le « réchauffement climatique lié au CO2 anthropique » comme nos ancêtres acceptaient de payer des indulgences pour s’éviter le feu de l’enfer.
Cela évite d’avoir à lutter contre les vraies pollutions.
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