Le 16/03/2015
La perspective électorale présente l’avantage incontestable de hâter l’inéluctable disparition des partis traditionnels devenus imposteurs.
Cessons de nous faire peur et faisons un effort de réflexion !
Nous sommes des citoyens adultes et lucides face au drame gravissime que vit et va vivre notre France en perdition.
Le comble du désastre nous fait face aujourd’hui.
Ainsi, le ministre des Finances le plus incompétent, et en grande partie responsable du malheur, est devenu notre tuteur au nom de l’Union Européenne.
Ensuite, les citoyens sont appelés à participer à l’élection absurde de conseils départementaux sans avenir ni compétences.
Enfin, les Français sont invités par le premier ministre à partager l’angoisse et la peur du gouvernement.
Il faut donc répondre clairement à quelques questions.
De quoi parle-t-on en réalité ?
Qui est responsable de la crise de la France depuis 1995 ou 2002 ?
N’est-ce pas les partis de droite et de gauche, dans leurs appareils et leurs leaders, qui ont substitué le profit de leur clan à l’intérêt national et qui attendent le salut dans une croissance extérieure et aléatoire comme on attend le train ?
Qui a provoqué la montée surprenante du Front National ?
Les partis précités par leur absence de programme et par le rejet de plus de 80 % des Français.
On ne peut donc pas demander la solution des problèmes à ceux qui les ont créés.
Qu’est-ce que le Front National ?
Ce n’est pas un objectif ni une solution.
C’est plus simplement une résultante, le produit, de la gabegie de politiciens incapables, menteurs, aveuglés par leur ego et vidés du moindre souffle patriotique.
Ce constat n’appelle ni ricanements ni invectives.
Donc le Front National devient le bénéficiaire évident d’une situation aggravée par les résultats des élections européennes et départementales.
On peut le déplorer, mais c’est un fait dont il va falloir surmonter les risques.
Il est permis de craindre un avenir dangereux, mais au préalable ne faut-il pas s’inquiéter du danger que recèle le maintien de la situation présente.
La perspective électorale présente l’avantage incontestable de hâter l’inéluctable disparition des partis traditionnels devenus imposteurs.
Mais il va falloir transformer l’événement avec une nouvelle donne politique.
L’évolution tant redoutée par nos gouvernants affolés ne peut-elle procurer le tremplin favorable à une nouvelle organisation politique de notre pays, qui exigera le rassemblement des honnêtes citoyens majoritaires autour de nouveaux responsables actuellement inconnus.
Dès lors faire le procès du Front National est irresponsable et inopérant.
C’est aux citoyens qu’il appartiendra de transformer la situation pour ne plus subir les mêmes figurants.
En démocratie c’est le peuple qui est appelé à choisir en fonction de la qualité des programmes qui lui sont offerts.
De toute façon l’histoire n’est écrite nulle part, surtout pas à l’avance.
« Nous savons depuis l’Antiquité que Cassandre n’est jamais écoutée. Mais il faut aussi se souvenir que la seule loi de l’histoire est la surprise. » (Max Gallo).
Tout dépend de la conjonction entre un événement, des personnalités qui surgissent et l’esprit général de la nation.
Cette alchimie est toujours imprévisible.
Nous sommes des citoyens adultes et lucides face au drame gravissime que vit et va vivre notre France en perdition.
Le comble du désastre nous fait face aujourd’hui.
Ainsi, le ministre des Finances le plus incompétent, et en grande partie responsable du malheur, est devenu notre tuteur au nom de l’Union Européenne.
Ensuite, les citoyens sont appelés à participer à l’élection absurde de conseils départementaux sans avenir ni compétences.
Enfin, les Français sont invités par le premier ministre à partager l’angoisse et la peur du gouvernement.
Il faut donc répondre clairement à quelques questions.
De quoi parle-t-on en réalité ?
Qui est responsable de la crise de la France depuis 1995 ou 2002 ?
N’est-ce pas les partis de droite et de gauche, dans leurs appareils et leurs leaders, qui ont substitué le profit de leur clan à l’intérêt national et qui attendent le salut dans une croissance extérieure et aléatoire comme on attend le train ?
Qui a provoqué la montée surprenante du Front National ?
Les partis précités par leur absence de programme et par le rejet de plus de 80 % des Français.
On ne peut donc pas demander la solution des problèmes à ceux qui les ont créés.
Qu’est-ce que le Front National ?
Ce n’est pas un objectif ni une solution.
C’est plus simplement une résultante, le produit, de la gabegie de politiciens incapables, menteurs, aveuglés par leur ego et vidés du moindre souffle patriotique.
Ce constat n’appelle ni ricanements ni invectives.
Donc le Front National devient le bénéficiaire évident d’une situation aggravée par les résultats des élections européennes et départementales.
On peut le déplorer, mais c’est un fait dont il va falloir surmonter les risques.
Il est permis de craindre un avenir dangereux, mais au préalable ne faut-il pas s’inquiéter du danger que recèle le maintien de la situation présente.
La perspective électorale présente l’avantage incontestable de hâter l’inéluctable disparition des partis traditionnels devenus imposteurs.
Mais il va falloir transformer l’événement avec une nouvelle donne politique.
L’évolution tant redoutée par nos gouvernants affolés ne peut-elle procurer le tremplin favorable à une nouvelle organisation politique de notre pays, qui exigera le rassemblement des honnêtes citoyens majoritaires autour de nouveaux responsables actuellement inconnus.
Dès lors faire le procès du Front National est irresponsable et inopérant.
C’est aux citoyens qu’il appartiendra de transformer la situation pour ne plus subir les mêmes figurants.
En démocratie c’est le peuple qui est appelé à choisir en fonction de la qualité des programmes qui lui sont offerts.
De toute façon l’histoire n’est écrite nulle part, surtout pas à l’avance.
« Nous savons depuis l’Antiquité que Cassandre n’est jamais écoutée. Mais il faut aussi se souvenir que la seule loi de l’histoire est la surprise. » (Max Gallo).
Tout dépend de la conjonction entre un événement, des personnalités qui surgissent et l’esprit général de la nation.
Cette alchimie est toujours imprévisible.
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