Image ci-dessus : une répartie célèbre du film “Les tontons flingueurs”.
DR. 11/03/2015 – FRANCE (NOVOpress)
Manuel Valls, qui vire de plus en plus au p’tit chef de milices rouges, a pourri le député-maire UMP de Tourcoing, Gérald Darmanin.
Au motif que ce dernier a déclaré que Christiane Taubira était un « tract ambulant pour le Front national », le mot ambulant étant peut-être de trop pour cette grosse dame (qui s’est vengée en tenant à l’égard de Darmanin des propos qui frisent le racialisme, mais bon, c’est elle qu’est la princesse…).
Son chevalier servant, Valls, a déclaré à l’Assemblée qu’il ne permettra jamais de tels propos (ceux de Darmanin, bien sûr, ceux de Taubira ne le gênent pas).
Pourquoi les gêneraient-ils puisqu’il en tient de pire (voir l’article de Caroline Parmentier dans Présent du 5 mars) ?
Et d’une telle gravité qu’il ne faudra jamais les oublier et jamais les lui pardonner, tant ils relèvent du pousse-au-crime.
Venu faire la danse du ventre pour complaire aux musulmans à Strasbourg (capitale du cochon sous toutes ses formes pourtant), il a ainsi mis sur le même plan les terroristes islamiste et ce qu’il appelle « l’extrême droite ».
Visant explicitement en cette période électorale le Front national.
C’est son TOC (même quand il est en visite au Salon de l’agriculture).
Il y a aussi, me direz-vous, François Hollande, président de la République et donc, en principe, de tous les Français, qui est allé se vautrer dans Le Parisien (qui devient aussi pourrave que Libération) en ces termes : « Il faut arracher les électeurs au Front national. »
Oui : arracher.
Mais, de la part d’un gus qui ment comme un arracheur de dents, qui s’assied sur la neutralité qu’il est tenu d’observer, qui se conduit comme un satrape sardanapalesque et qui sait qu’il restera dans l’histoire comme une sorte de Félix Faure en scooter, on peut s’attendre à tout.
Avec Valls, on touche au cas clinique.
Sa haine du Front national ne connaît aucune limite.
Les Valls, ça ose tout.
C’est même à ça qu’on les reconnaît.
Car mettre sur le même plan, et comme ennemi nommément désigné, un parti légal, le premier parti de France de surcroît, et les fous d’Allah, les islamo-terroristes, c’est une dégueulasserie sans nom.
D’un côté, des djihadistes sanguinaires qui tuent, égorgent, décapitent, appellent au massacre des chrétiens et de juifs, menacent directement la France et les Français.
De l’autre, des militants qui œuvrent démocratiquement et pacifiquement.
Et c’est kif-kif bourricot pour Valls ?
Si nous étions dans un pays normal, une telle comparaison devrait le discréditer à jamais, tant elle relève d’une idéologie pathologique.
Il y a en France des réseaux entiers d’islamistes prêts à passer à l’action, des prêches qui sont des appels au meurtre, des brûlots djihadistes en vente dans les librairies.
Mais Valls court derrière un hypothétique islam de France, saroual sur les chevilles, en tenant des discours qui font rigoler dans nombre de mosquées : « Il y a en France toutes les énergies et les ressources nécessaires au développement de l’islam ! »
Tu veux qu’on te dise, Valls ?
Le développement de l’islam en France, une écrasante majorité de Français s’en tamponnent le coquillard.
Et s’ils ont un souhait, c’est qu’il aille plutôt se développer ailleurs.
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