Le 13/01/2015
Lors d’une interview (TF1 le 8 janvier), Jeannette Bougrab qui était la compagne de Charb et qui fut présidente de la Halde et secrétaire d’Etat dans un précédent gouvernement a confié :
« Je disais [à Charb] qu’on devait quitter la France, je ne devrais pas le dire, je pense qu’on aurait dû partir parce que j’étais convaincue qu’on était dans une période pré-insurrectionnelle et que notre sécurité n’était plus garantie ».
Madame Bougrab exprime clairement l’idée que la sécurité n’est plus garantie pour de nombreux Français (7 000 Israélites ont d’ailleurs quitté notre pays en 2014 pour cette raison) et que la situation est pré-insurectionnelle !
Emis par une personne qui est proche des sphères dirigeantes, ce constat est pour le moins surprenant même si l’analyse des faits devrait permettre à tout un chacun de conclure dans ce sens.
Emis par une personne qui est proche des sphères dirigeantes, ce constat est pour le moins surprenant même si l’analyse des faits devrait permettre à tout un chacun de conclure dans ce sens.
Les derniers attentats commis en France, l’ont été par des personnes nées en France et/ou de citoyenneté française qui combattent, non pas seulement notre système politique ou nos institutions, mais de façon beaucoup plus globale, la France dans son ensemble, sa civilisation, sa culture et son mode de vie.
Ces personnes d’origine maghrébine et africaine, de religion musulmane, veulent aussi régler leurs comptes avec un passé colonial qui ne passe pas.
Enfin, en musulmans rigoureux, ils entendent nous soumettre à leur vue-du-monde et à leurs croyances.
Il ne s’agit donc pas seulement d’attaques contre la liberté de la presse (l’attentat commis par Mohamed Merah n’avait rien à voir avec cette dernière et les attentats commis contre des piétons choisis au hasard ou des policiers, non plus) ; la rhétorique de l’oligarchie n’est qu’un enfumage de plus et les désinformateurs se déchaînent.
Ces personnes d’origine maghrébine et africaine, de religion musulmane, veulent aussi régler leurs comptes avec un passé colonial qui ne passe pas.
Enfin, en musulmans rigoureux, ils entendent nous soumettre à leur vue-du-monde et à leurs croyances.
Il ne s’agit donc pas seulement d’attaques contre la liberté de la presse (l’attentat commis par Mohamed Merah n’avait rien à voir avec cette dernière et les attentats commis contre des piétons choisis au hasard ou des policiers, non plus) ; la rhétorique de l’oligarchie n’est qu’un enfumage de plus et les désinformateurs se déchaînent.
Ces attentats, à la différence de ceux du passé, ne sont plus commis par des étrangers qui opèrent en France pour se venger des actions de notre Etat à l’étranger mais par des nationaux qui s’en prennent à d’autres nationaux.
Il s’agit donc bien d’actes qui relèvent d’une guerre civile.
Guerre civile qui est encore sporadique mais qui pourrait devenir beaucoup plus intense comme semble le penser Madame Bougrab.
Il s’agit donc bien d’actes qui relèvent d’une guerre civile.
Guerre civile qui est encore sporadique mais qui pourrait devenir beaucoup plus intense comme semble le penser Madame Bougrab.
Manuel Valls et toute la camarilla gouvernementale déclarent se battre contre le « terrorisme », ce qui est une absurdité absolue parce qu’il ne s’agit pas, dans le cas présent, de se battre contre un concept mais contre des gens qui tuent au nom de croyances et de principes religieux, celles et ceux de l’Islam.
Le petit monde de la bien-pensance utilise l’idée d’un combat contre le terrorisme pour éviter de prononcer les mots « musulman » ou «islamique » et nie, contre toute évidence, la parenté réelle qui lie l’Islam et l’islamisme (L’obligation de guerre sainte figure bel et bien dans le Coran ; 250 versets du Coran sont consacrés à ce thème.
Lire à ce sujet le livre d’Anne Marie Delcambre, Docteur en civilisation islamique, intitulé L’Islam des interdits) et fait de l’islamisme un « extrémisme » parmi d’autres.
La lutte contre l’islamisme peut alors être englobée dans une lutte contre les « extrêmes » ; c’est par ce tour de passe-passe que le gouvernement, relayé par une presse quasi unanime, espère noyer le poisson et éviter que cette triste affaire ne profite à d’autres prétendus « extrémistes ».
Le petit monde de la bien-pensance utilise l’idée d’un combat contre le terrorisme pour éviter de prononcer les mots « musulman » ou «islamique » et nie, contre toute évidence, la parenté réelle qui lie l’Islam et l’islamisme (L’obligation de guerre sainte figure bel et bien dans le Coran ; 250 versets du Coran sont consacrés à ce thème.
Lire à ce sujet le livre d’Anne Marie Delcambre, Docteur en civilisation islamique, intitulé L’Islam des interdits) et fait de l’islamisme un « extrémisme » parmi d’autres.
La lutte contre l’islamisme peut alors être englobée dans une lutte contre les « extrêmes » ; c’est par ce tour de passe-passe que le gouvernement, relayé par une presse quasi unanime, espère noyer le poisson et éviter que cette triste affaire ne profite à d’autres prétendus « extrémistes ».
Au cours de cette interview, Madame Bougrab a dénoncé l’incompétence de ce gouvernement qui aurait été informé depuis des semaines d’un risque important d’attentats et qui s’est montré incapable dans ce domaine, comme dans presque tous les autres d’ailleurs. Intoxiqués par leur idéologie, les politiciens ne comprennent plus rien au monde réel et récusent toutes les évidences, même les plus criantes.
Ils nient, par exemple, l’évidence de l’incompatibilité entre notre culture et celle des Musulmans.
A ce sujet, l’historien Alain Besançon, membre de l’Institut, a fait une déclaration (en 2008) qui devrait les inciter à ouvrir les yeux : « L’histoire est quand même formelle : les populations musulmanes ne se fondent pas dans la population alentour.
C’est un fait, un simple fait.
Le 20e siècle a vu une purgation des zones mixtes.
Par exemple, il y avait beaucoup de chrétiens en Turquie, en Égypte etc…
Ils sont tous partis.
Il y avait des musulmans en Grèce, dans les Balkans…
Ils sont tous partis.
Il y avait des Français en Afrique du Nord, ils sont tous partis…….
Historiquement, ça n’a jamais duré longtemps.
Et ça s’est toujours terminé soit de façon plus ou moins pacifique, soit de façon très brutale comme en Espagne, ou comme en Turquie, par l’expulsion du corps étranger ».
Ils nient, par exemple, l’évidence de l’incompatibilité entre notre culture et celle des Musulmans.
A ce sujet, l’historien Alain Besançon, membre de l’Institut, a fait une déclaration (en 2008) qui devrait les inciter à ouvrir les yeux : « L’histoire est quand même formelle : les populations musulmanes ne se fondent pas dans la population alentour.
C’est un fait, un simple fait.
Le 20e siècle a vu une purgation des zones mixtes.
Par exemple, il y avait beaucoup de chrétiens en Turquie, en Égypte etc…
Ils sont tous partis.
Il y avait des musulmans en Grèce, dans les Balkans…
Ils sont tous partis.
Il y avait des Français en Afrique du Nord, ils sont tous partis…….
Historiquement, ça n’a jamais duré longtemps.
Et ça s’est toujours terminé soit de façon plus ou moins pacifique, soit de façon très brutale comme en Espagne, ou comme en Turquie, par l’expulsion du corps étranger ».
En France, et ailleurs en Europe, comme ce fut le cas dans le passé, la cohabitation contrainte entre populations européennes et populations musulmanes se terminera par une confrontation douloureuse.
Nous en vivons sans doute les premières manifestations.
Nous en vivons sans doute les premières manifestations.
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