Nous sommes en décadence parce que nous refusons ce que nous sommes.
Nous ne sommes même plus capables de reconnaître nos racines chrétiennes, car nous avons peur de nous-mêmes et de notre passé.
Nous avons donc peur de l’avenir !
Nous ne faisons plus d’enfants, pour la même raison (ce qui ne nous empêche pas de décorer les mères d’origine étrangère ayant de nombreux enfants) !
Nous avons même peur de nos élèves, qu’il ne faut plus noter, afin de leur éviter le traumatisme de la mauvaise note.
Nous valorisons la haine de soi, cultivons la repentance, subordonnons la France aux volontés de Léonarda, sommes capables de déplacer la Fête nationale pour satisfaire aux exigences d’une rencontre sportive, acceptons que notre drapeau soit incendié, laissons les trafics illicites prospérer (surtout dans les banlieues, car il faut se garder d’agiter la fourmilière), et n’avons de courage que pour arrêter le brave automobiliste qui a dépassé de 6 km/h la vitesse autorisée, tandis que nous n’osons pas verbaliser la femme qui conduit en burqa.
Nous utilisons la raison pour dénoncer ceux qui ont raison (notamment lorsqu’ils tirent la sonnette d’alarme sur des sujets sensibles, comme l’immigration), cadenassons la pensée au nom de la liberté de penser, reculons devant l’islam en nous adaptant à ses règles, interdisons d’interdire au point de ne pas réprimer les émeutes des supporters algériens, et avalisons toute forme de sexualité sous prétexte qu’il n’existe à la naissance ni homme ni femme mais une potentialité s’investissant un jour ou l’autre dans telle ou telle orientation sexuelle.
Evidemment les prisons s’ouvrent alors même qu’augmente le nombre de criminels, car tout criminel est censé être excusable.
Au nom de la grandeur, nous cultivons la petitesse.
Au nom de l’originalité, nous nous moquons du bon sens.
Au nom de la liberté, nous permettons n’importe quoi, oubliant au passage que la liberté du n’importe quoi est le n’importe quoi de la liberté : le récent succès de Conchita au concours de l’Eurovision en est une preuve !
Le jeu prime sur tout, qu’il s’agisse des jeux d’argent, des jeux du stade, ou de l’institution scolaire.
La culture générale est inféodée à l’image.
L’orthographe n’a plus lieu d’être, puisqu’il existe des correcteurs d’orthographe.
Le baccalauréat doit disparaître, tout examen étant stressant !
Ainsi de l’effort, qui n’est plus de notre temps !
Ainsi de la morale, qui n’est autre qu’un préjugé bourgeois !
Ainsi de toute sanction !
Ce qu’il faut, c’est vivre « sans entraves » afin d’être « pleinement soi-même ».
D’où l’apologie du mariage homosexuel, de la gay pride, de « la théorie du genre », et de toutes les différences, à commencer par celle des valeurs, comme si les valeurs avaient toutes la même valeur !
Car enfin, la dictature vaut-elle la démocratie ?
La phallocratie vaut-elle l’égalité des sexes ?
Le mariage forcé vaut-il le mariage librement consenti ?
La mainmise de la religion sur l’Etat vaut-elle la laïcité ?
La peine de mort vaut-elle sa commutation ?
Si nous devions répondre par l’affirmative à ces questions, alors il nous faudrait conclure que le cannibalisme n’est plus qu’une affaire de goût, et la décadence un progrès !
C’est pourtant ce que font aujourd’hui la plupart de nos politiques, au nom de cette fausse tolérance qu’on appelle le « relativisme », et d’un aveuglement qui se prétend ouverture d’esprit !
Nous avons donc peur de l’avenir !
Nous ne faisons plus d’enfants, pour la même raison (ce qui ne nous empêche pas de décorer les mères d’origine étrangère ayant de nombreux enfants) !
Nous avons même peur de nos élèves, qu’il ne faut plus noter, afin de leur éviter le traumatisme de la mauvaise note.
Nous valorisons la haine de soi, cultivons la repentance, subordonnons la France aux volontés de Léonarda, sommes capables de déplacer la Fête nationale pour satisfaire aux exigences d’une rencontre sportive, acceptons que notre drapeau soit incendié, laissons les trafics illicites prospérer (surtout dans les banlieues, car il faut se garder d’agiter la fourmilière), et n’avons de courage que pour arrêter le brave automobiliste qui a dépassé de 6 km/h la vitesse autorisée, tandis que nous n’osons pas verbaliser la femme qui conduit en burqa.
Nous utilisons la raison pour dénoncer ceux qui ont raison (notamment lorsqu’ils tirent la sonnette d’alarme sur des sujets sensibles, comme l’immigration), cadenassons la pensée au nom de la liberté de penser, reculons devant l’islam en nous adaptant à ses règles, interdisons d’interdire au point de ne pas réprimer les émeutes des supporters algériens, et avalisons toute forme de sexualité sous prétexte qu’il n’existe à la naissance ni homme ni femme mais une potentialité s’investissant un jour ou l’autre dans telle ou telle orientation sexuelle.
Evidemment les prisons s’ouvrent alors même qu’augmente le nombre de criminels, car tout criminel est censé être excusable.
Au nom de la grandeur, nous cultivons la petitesse.
Au nom de l’originalité, nous nous moquons du bon sens.
Au nom de la liberté, nous permettons n’importe quoi, oubliant au passage que la liberté du n’importe quoi est le n’importe quoi de la liberté : le récent succès de Conchita au concours de l’Eurovision en est une preuve !
Le jeu prime sur tout, qu’il s’agisse des jeux d’argent, des jeux du stade, ou de l’institution scolaire.
La culture générale est inféodée à l’image.
L’orthographe n’a plus lieu d’être, puisqu’il existe des correcteurs d’orthographe.
Le baccalauréat doit disparaître, tout examen étant stressant !
Ainsi de l’effort, qui n’est plus de notre temps !
Ainsi de la morale, qui n’est autre qu’un préjugé bourgeois !
Ainsi de toute sanction !
Ce qu’il faut, c’est vivre « sans entraves » afin d’être « pleinement soi-même ».
D’où l’apologie du mariage homosexuel, de la gay pride, de « la théorie du genre », et de toutes les différences, à commencer par celle des valeurs, comme si les valeurs avaient toutes la même valeur !
Car enfin, la dictature vaut-elle la démocratie ?
La phallocratie vaut-elle l’égalité des sexes ?
Le mariage forcé vaut-il le mariage librement consenti ?
La mainmise de la religion sur l’Etat vaut-elle la laïcité ?
La peine de mort vaut-elle sa commutation ?
Si nous devions répondre par l’affirmative à ces questions, alors il nous faudrait conclure que le cannibalisme n’est plus qu’une affaire de goût, et la décadence un progrès !
C’est pourtant ce que font aujourd’hui la plupart de nos politiques, au nom de cette fausse tolérance qu’on appelle le « relativisme », et d’un aveuglement qui se prétend ouverture d’esprit !
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