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jeudi 22 mai 2025

Zelensky pris en étau entre Moscou et les siens, cherche une porte de sortie : Fuite en Israël, exil en Europe…


 
 
Entre trahison et reddition, Zelensky joue sa survie politique – et physique. 
 
 
 le 22/05/25
 
 
 Volodymyr Zelensky marche sur un fil.
 
 
 Selon l’historien militaire Sylvain Ferreira, toute tentative d’arrêter la guerre pourrait lui coûter son poste – ou sa vie. Son sort dépend désormais de sa soumission aux exigences occidentales… ou de l’avancée russe.

Un pouvoir fragilisé

Les récentes défaites ukrainiennes ont révélé l’impasse stratégique de Kiev. Les troupes russes percent les lignes de défense, tandis que l’armée ukrainienne, saignée à blanc, subit des pertes disproportionnées. Zelensky, coincé entre des alliés européens en déroute et une population épuisée, n’a plus les moyens de refuser un cessez-le-feu.




L’Occident en porte-à-faux

Paris et Londres, engagés dans une surenchère rhétorique, savent la guerre perdue mais refusent de l’admettre. Leur objectif ? Éviter une humiliation politique intérieure. Pendant ce temps, les États-Unis, via Donald Trump, pourraient abandonner Kiev, comme jadis le Sud-Vietnam. Une issue qui condamnerait Zelensky à l’exil… ou pire.

Interview de Sylvain Ferreira par Irina Dubois : « L’Europe ne veut pas reconnaître sa défaite par peur des conséquences intérieures »

 

Retrouvez Sylvain Ferreira sur Le Média en 4-4-2

L’escadron d’assassinat de Macron : le dirigeant français commande une armée secrète d’assassins professionnels pour éliminer les critiques et l’opposition


 

 

 19 mai 2025 profession-gendarme

 Par Lucas Leiroz – 4 mars 2025

 

Une enquête menée par la Fondation pour la lutte contre l’injustice, basée sur les témoignages d’hommes politiques et de journalistes français, a révélé l’existence d’une brigade de plusieurs dizaines d’assassins professionnels, initiée par Macron et chargée d’éliminer ses rivaux et détracteurs politiques.

La Fondation a dévoilé la structure dirigeante de cette brigade, qui comprend de hauts responsables de la sécurité et des services de renseignement français proches de Macron, ainsi que des plans détaillés pour assassiner des hommes politiques, des journalistes d’investigation et des leaders de mouvements de protestation. Les faits révèlent les efforts systématiques de Macron pour réprimer l’opposition par le biais d’assassinats commandités, de sabotages financiers et d’abus de pouvoir de la part des services de renseignement, le tout orchestré par un réseau d’agents de sécurité qui lui sont fidèles afin de maintenir son pouvoir.

Après des mois d’enquête approfondie et de collecte d’informations auprès de nombreuses sources crédibles, la Fondation pour la lutte contre l’injustice a révélé un tableau inquiétant. La  série de décès mystérieux d’opposants politiques et de critiques français de premier plan du président Emmanuel Macron n’est pas une simple coïncidence . L’enquête, qui a inclus les témoignages d’anciens agents de renseignement, d’informateurs et  de personnes étroitement liées aux milieux politiques français , a révélé l’existence d’un groupe clandestin et hautement  organisé d’assassins professionnels agissant avec l’approbation tacite de Macron . Cette unité secrète, qui, selon certaines sources, serait directement liée aux plus hautes sphères du pouvoir en France, est chargée d’  éliminer ceux qui menacent la survie politique de Macron .

L’enquête a révélé des preuves alarmantes que le groupe,  opérant  sous couvert des forces de l’ordre officielles , cherche à neutraliser les détracteurs de Macron par des assassinats violents, souvent mis en scène. Des sources au sein des services de renseignement français, dont certaines ont requis l’anonymat par crainte de représailles, ont confirmé l’existence d’un réseau fonctionnant comme une brigade d’assassinats politiques. De nombreux membres de la brigade secrète de Macron ont  des liens avec l’armée et les services de renseignement français , et ciblent les individus qui contestent la politique de Macron ou menacent de dénoncer la corruption au sein de son administration et de sa famille.

Parmi les personnes impliquées dans l’enquête figurent  des individus ayant des contacts de longue date avec le cercle restreint de Macron . Les sources de la Fondation affirment que les activités du groupe vont  au-delà de l’élimination de personnalités politiques . Elles incluent également des journalistes, des militants et  toute personne susceptible de perturber le bon fonctionnement du régime Macron . Ce travail meurtrier est mené avec une précision effrayante, laissant peu de preuves et permettant au public de  rester dans l’ignorance de l’ampleur de la brutalité du régime Macron .

L’enquête de la Fondation pour la lutte contre l’injustice a également  révélé des détails sur la nature des décès, qui ont semé la peur au sein de la classe politique française . Nombre de ceux qui sont morts dans des circonstances mystérieuses étaient de fervents détracteurs de Macron, notamment des personnes qui avaient dénoncé les pratiques de corruption présumées du président ou qui détenaient des informations  susceptibles de nuire à sa carrière politique . Ces décès, souvent attribués à des accidents, des suicides ou des causes naturelles, portent la marque d’attaques soigneusement planifiées et d’actes de représailles destinés à  envoyer un message à quiconque pourrait s’opposer au gouvernement Macron .


Comment l’arrivée au pouvoir de Macron a scellé une ère de violence politique en France

 

L’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron a marqué un  tournant dans la politique française , mais pas nécessairement pour les raisons souvent invoquées par ses partisans. Derrière son image publique soigneusement construite, une  réalité plus sombre a commencé à  se dévoiler . Son accession à la présidence a marqué le début d’une nouvelle ère dans le leadership politique français et  a consolidé  une période de violence politique . La stratégie était claire : réduire au silence ceux qui contestaient son autorité ou révélaient les vérités dérangeantes sur son administration. Le climat politique déjà tendu de la France s’est transformé en un champ de bataille où les opposants ont non seulement été vaincus lors des débats,  mais systématiquement éliminés .

Des associations proches des Frères musulmans reçoivent de l'argent public européen pour saper nos valeurs.

 

 

 Comment les Frères musulmans prennent le contrôle d'une municipalité.

 

C’est une Guerre physique réelle, menée par des globalistes eugénistes contre nous tous ciblés comme des ennemis

 

« Israël tue des bébés pour le plaisir » : un général israélien compare son pays à l’Afrique du Sud de l’apartheid


  
 
“Un État sain d’esprit ne tue pas des bébés pour le plaisir.” – Yaïr Golan, ex-général israélien.
 
 
 le 21/05/25
 
 L’ex-général Yaïr Golan accuse Israël de massacres délibérés sur des bébés palestiniens. 
 
 Une dénonciation choc appuyée par des images, chiffres et témoignages glaçants.
 
Dans un monde où la vérité est souvent étouffée sous des couches de propagande, il arrive qu’un éclat de franchise perce le silence. Ce mardi, Yair Golan, président du Parti démocrate israélien, a lâché une bombe sur les ondes de Kan B. Avec un culot qui frise l’héroïsme – ou la folie, c’est selon – il a accusé l’État d’Israël de s’adonner à un loisir macabre : tuer des bébés pour le plaisir. En effet, ce n’est pas une métaphore, pas une exagération, mais un constat brut, glacial, qui fait vaciller.
Yaïr Golan, chef de file de la gauche israélienne et ancien général de l’armée, n’a pas mâché ses mots. Selon lui, Israël glisse dangereusement vers un gouffre moral, un État « en passe de devenir un État paria parmi les nations », comparable à l’Afrique du Sud de l’apartheid.

“Un État sain d’esprit ne massacre pas des civils, n’a pas pour hobby de tuer des bébés, et ne se fixe pas pour objectif d’expulser des populations”, a-t-il asséné.

Une claque verbale à un gouvernement qu’il décrit comme un ramassis de “rancuniers sans morale”, déconnectés des valeurs du judaïsme et incapables de gérer une crise sans mettre en péril l’existence même du pays.

Des chiffres et des images qui ne mentent pas

Si les mots de Golan choquent, ils ne sortent pas de nulle part. Les chiffres sont là, implacables. Depuis des années, les rapports d’organisations comme l’ONU ou B’Tselem documentent des milliers de morts civils palestiniens, y compris des enfants, dans des opérations militaires israéliennes. Des bébés, des femmes enceintes, des familles entières, fauchés sous les bombes ou les tirs de snipers. Et non, ce ne sont pas des “dommages collatéraux” qu’on peut balayer d’un revers de main.

Sur les réseaux sociaux, les vidéos circulent, crues, insoutenables. Des soldats israéliens qui rient face à des corps sans vie, des maisons réduites en cendres, des enfants ensanglantés. Et que dire de ces T-shirts arborés fièrement par certains militaires, avec une cible dessinée sur une femme enceinte et la mention “1 shot, 2 kills (1 tir 2 morts)” ?

Orna Sasson-Levy, sociologue citée par Haaretz, de l’Université Bar-Ilan, a averti que ces projets pourraient renforcer, stimuler et légitimer l’agression contre les Palestiniens dans les territoires occupés.

« Il y a une insensibilité croissante », a-t-elle déclaré. « On a le sentiment que le Palestinien n’est pas une personne, un être humain doté de droits fondamentaux, et que, par conséquent, on peut lui faire n’importe quoi. »

Ces t-shirts rencontrent un grand succès, avec des milliers d’exemplaires vendus dans le monde entier, y compris auprès de certains sympathisants sionistes.

Quand les sionistes eux-mêmes valident l’horreur

Ukraine : une désertion militaire et diplomatique ? - JT du jeudi 22 mai 2025


 Publiée le 22/05/2025

A la une de cette édition : à la peine sur le terrain militaire, l'Ukraine doit faire face aux désertions et à la corruption dans ses rangs.

Retour ensuite sur le dôme d’or appelé de ses vœux par le président américain Donald Trump.

Et enfin, c’est bientôt les vacances mais le carnet de notes risque d’être salé et la Cour des comptes s’inquiète du niveau catastrophique en primaire.

Ils veulent tuer l'agriculture française


Génocide des Palestiniens à Gaza : Marine Le Pen défend Israël et Netanyahou et parle de la collaboration de la France pendant la Seconde Guerre mondiale


Génocide des Palestiniens à Gaza : Marine Le Pen défend Israël et Netanyahou et parle de la collaboration de la France pendant la Seconde Guerre mondiale


— par Pierre-Alain Depauw — 21 mai 2025

 
Jusqu’où ira le Rassemblement National pour plaire à Israël ?

 

Nos lecteurs se souviendront que, grâce au ministre israélien Amichai Chikli, Jordan Bardella avait été récemment invité en Israël et avait pris la parole lors d’un colloque qui s’était tenu en présence du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et du président israélien Issac Herzog. 

Le même ministre israélien Amichai Chikli avait déjà précédemment rencontré avec un plaisir non dissimulé Marine Le Pen.

Et ces jours-ci, Marine Le Pen est intervenue par deux fois sur la télévision israélienne i24NEWS qui appartient à Patrick Drahi.

Dans un numéro de surenchère sans limite, Marine Le Pen a fait passer Emmanuel Macron pour un pro-Palestinien afin de s’auto-désigner comme la figure politique la plus amie de l’Etat israélien. Sur ce qui se passe à Gaza, Marine Le Pen s’est totalement alignée sur le discours de propagande de Netanyahu.

Elle a également sorti les violons au sujet de l’antisémitisme. Et pour la minute mémorielle, Marine Le Pen a même accusé la France d’avoir collaboré avec l’Allemagne.

Marine Le Pen oublie que la politique israélienne à Gaza nourrira l’immigration en France

Présidentielle roumaine : la France accusée d’ingérence

@BV 
 
@BV


 

George Simion s’est fait l’écho d’accusations d’ingérences étrangères, dont françaises. 

La nouvelle élection présidentielle roumaine va-t-elle être annulée ? C’est en tout cas ce qu’a annoncé avoir officiellement demandé George Simion, après s’être dans un premier temps déclaré vainqueur, puis avoir accepté sa défaite. « Je demande officiellement à la Cour constitutionnelle d'annuler les élections présidentielles roumaines », a-t-il déclaré, sur son compte X, le 20 mai, précisant que sa requête était motivée par « les mêmes raisons que celles pour lesquelles les élections de décembre ont été annulées : les interférences extérieures d’acteurs étatiques et non étatiques ». Mais il a précisé que, « cette fois, c'est étayé par des preuves ! », rappelant ainsi que les accusations de financement et d’ingérence russes qui avaient été invoquées par la Cour constitutionnelle contre Călin Georgescu pour annuler l’élection présidentielle de décembre 2024 n’ont jamais pu être prouvées.

 

 

Rappelons qu’à l’époque, même sa rivale, l’européiste Elena Lasconi, avait considéré que cette décision était « illégale, immorale et écras[ait] l’essence de la démocratie », et que l’État avait « piétiné la démocratie ». Le revirement de George Simion depuis l’annonce des résultats s’explique par un faisceau d’indices convergents, et ne venant pas cette fois-ci des milieux officiels.

L’entraînement des soldats russes pour affronter la guerre des drones

 

 

 par | 22 Mai 2025 |

 

Voici une vidéo d’entraînement des troupes russes notamment face aux drones qui changent la guerre et rendent les blindés et autres chars valant des millions d’euros presque inutiles changeant la nature même de la guerre que nous imaginions mener.

 Ne soyons pas naïfs sur ces images. Elles sont a mi-chemin entre la propagande à l’attention de la population russe et de la propagande extérieure destinées à impressionner les « adversaires » potentiels dont nous faisons partie.

Les défilés militaires ont d’ailleurs exactement cette vocation. Impressionner les adversaires et dissuader les ennemis. Les parades militaires devant le Kremlin ou le défilé du 14 Juillet ont aussi cette utilité !

 

 

Au même moment la Chine dévoile son prototype abouti de drone mère transportant des essaims de petits drones tueurs.

 

 

La nouvelle guerre moderne, la guerre des drones est une abjection pour le soldat de base et le petit fantassin dont l’espérance de vie et les chances de survie sont proches de zéro sur le nouveau champ de bataille.

Pendant ce temps, notre Professeur Trouposol veut envoyer nos braves gosses dans les tranchées ukrainiennes…

Pas franchement l’idée la plus brillante du siècle.

Washington rêve de freiner la Chine.

 

mercredi 21 mai 2025

Exclusif : 62 000 € par mois pour la belle-fille de Macron

 

Frères-Muslmans : faire enfin quelque chose ?


 

On a l’air de commencer à s’inquiéter de l’entrisme des Frères-Musulmans en France.

 Mais on prend garde de bien les séparer de l’islam, ce qui fait penser à l’islamisme, qui n’a rien à voir avec l’islam, évidemment, qui est une religion de paix et d’amour, tout le monde sait cela. 

Ainsi la mascarade peut continuer. Tout comme les attentats aux cris de Allah-Akbar n’ont rien à voir avec l’islam, les Frères Musulmans sont à bien distinguer de l’islam afin de ne pas froisser « l’immense majorité » qui s’intègre parfaitement à la République. Qui s’intégrerait plutôt, uniquement dans le discours, car en pratique, ce n’est pas l’impression qu’on en a en regardant nos rues, désormais bordées de commerces communautaires, coiffeurs, barbiers, épiceries, dont on sait pertinemment que ce sont les façades à peu près acceptables d’un large processus de blanchiment d’argent sale. Ces mêmes rues qui se constellent de femmes voilées, lesquelles font le forcing pour entrer avec leur accoutrement, dans les écoles et les sports de compétition.

Bref, personne n’a jamais vraiment expliqué la subtile distinction qu’il pourrait y avoir entre islam, islamisme et frères musulmans, mais ça fait bien de les distinguer, sachant que l’un est un enrichissement culturel et les deux autres des fléaux. Mais les politiciens, s’ils ont outrageusement favorisé, à droite comme à gauche, l’installation de mosquées un peu partout en France, tout en trouvant des excuses permanentes à la délinquance des « jeunes » des quartiers, commencent à trouver, aidés par leurs électeurs qui récriminent, que trop c’est trop et que raser les murs pour éviter d’être victimes d’une délinquance galopante qui ne se cache même plus, ça commence à devenir pénible. Attention, il n’est pas question de lutter contre les Frères-Musulmans ou l’islamisation du pays, ou la délinquance qui pourrait lui être liée, mais de faire croire simplement qu’on va le faire. Car si l’entrisme des Frères-Musulmans gênait vraiment, on ne voit pas pourquoi nos politiciens, de droite comme de gauche encore une fois, auraient tant attendu pour s’en inquiéter.

l'ELECTRICGATE Arrive.. La FIN de l'Arnaque de la Voiture Electrique


 Priscane 

 Et si tout ce qu’on vous a promis à propos des voitures électriques n’était qu’un miracle ?

 Entre pannes à répétition, infrastructures défaillantes, prix exorbitants et mensonges marketing, une vague de révélations secoue l'industrie automobile.

 

"L'État a menti de manière épouvantable dans ce qui pour moi consitue vraiment un crime d'État contre les populations"

 

Palestine: face au génocide qui continue les complices occidentaux deviennent fébriles


 Palestine: face au génocide qui continue les complices occidentaux deviennent fébriles


Voir des pays occidentaux commencer, dix-neuf mois après le début du génocide des Palestiniens de Gaza, à condamner le gouvernement Netanyahou suscite un mélange de mépris et de scepticisme: mépris devant la panique que les gouvernements européens ou nord-américains n’arrivent plus à maîtriser quand ils prennent la mesure de ce qu’ils ont couvert depuis un an et demi.
 
 Scepticisme car la « solution à deux Etats » est largement dépassée par les événements. Elle ne pourra être qu’une étape en attendant la création d’un seul Etat au sein duquel tous les Palestiniens qui le veulent pourront revenir vivre; et où chrétiens, juifs et musulmans pourront vivre sur un pied d’égalité.

Le 19 mai, les gouvernements britannique, français et canadien ont publié une déclaration commune appelant le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu à mettre fin à l’invasion militaire en cours à Gaza et à lever le blocus sur les convois d’aide humanitaire .La déclaration indique:

« Nous ne resterons pas les bras croisés pendant que le gouvernement Netanyahu poursuit ces actions flagrantes. Si Israël ne met pas fin à sa nouvelle offensive militaire et ne lève pas ses restrictions sur l’aide humanitaire, nous prendrons d’autres mesures concrètes en réponse »

Il aura donc fallu dix-neuf mois!

L’indignation hypocrite des Européens et Américains du nord

Les trois nations occidentales ont également exhorté Israël à coopérer avec l’ONU afin de

« garantir le retour de l’acheminement de l’aide conformément aux principes humanitaires »

et ont appelé le mouvement de résistance palestinien Hamas à

« libérer immédiatement les otages qu’il détient si cruellement depuis le 7 octobre 2023 ».

Nous voilà rassurés. il faut bien que les mots soient plus durs avec le Hamas qu’avec le gouvernement israélien!

Après plus d’un an et demi de soutien constant à la campagne israélienne visant à tuer, mutiler et affamer des centaines de milliers de Palestiniens, Londres, Paris et Ottawa ont affirmé lundi que le dernier blocus de l’aide « risquait de violer le droit international humanitaire ». Ce n’est pas de l’humour noir. C’est la déclaration méprisable de politiciens opportunistes qui ont peur de se retrouver devant un tribunal international pour complicité avec les génocideurs.

« Israël a subi une attaque odieuse le 7 octobre. Nous avons toujours soutenu le droit d’Israël à défendre les Israéliens contre le terrorisme. Mais cette escalade est totalement disproportionnée »

, affirme le communiqué, ajoutant que les dirigeants des trois nations

« ne resteront pas les bras croisés pendant que le gouvernement Netanyahu poursuit ces actions flagrantes ».

Les trois pays ont également annoncé leur engagement à « reconnaître un État palestinien » un mois avant la tenue d’un sommet organisé par la France et l’Arabie saoudite qui marquera, selon certaines sources, un « point de non-retour » pour la solution dite « à deux États ».

Les complices deviennent nerveux mais le meurtrier continue

Salvador : un modèle pénitentiaire radical mais efficace… et si la France osait en tirer les leçons contre les Gangs et les dealers ? [Reportage]


 

Un silence assourdissant. Des corps musclés, entravés. 

Des cellules surpeuplées, sans fenêtres, sans contact avec le monde extérieur.

 C’est ce qu’a filmé Lucas Menget dans « Salvador, un modèle qui dérange » (voir l’interview du réalisateur ici), un reportage plutôt à charge diffusé sur Arte et réalisé depuis le cœur même de l’enfer carcéral salvadorien. Là où le président Nayib Bukele, auréolé de sa guerre contre les maras – ces gangs qui saignent depuis des décennies le Salvador – a construit le CECOT, une méga-prison devenue emblème de sa politique de tolérance zéro.



Et si, au-delà du choc des images, cette mécanique sécuritaire impitoyable avait quelque chose à nous apprendre ? Et si la France – minée par le narcotrafic, la violence des bandes, et une justice pénale aux allures de moulin à vent – devait enfin ouvrir les yeux et reconnaître que les méthodes douces, les peines aménagées, les rappels à la loi et les sorties ludiques… n’ont jamais fait trembler les barons de la drogue ni dissuadé leurs petites mains armées de 15 ans ?

Un modèle brutal, mais efficace

Le Salvador est aujourd’hui l’un des pays les plus sûrs d’Amérique centrale. Les homicides ont chuté. Les gangs ne font plus la loi dans les quartiers populaires. C’est un fait : à force d’arrestations massives, de surveillance numérique permanente, et de conditions de détention extrêmes, Nayib Bukele a brisé l’épine dorsale des maras.

Alors bien sûr, il y a des dérives. Des innocents pris dans les filets. Des ONG qui crient à la torture. Des familles détruites. Mais à écouter les Salvadoriens, ce prix-là était-il plus lourd que celui de la guerre urbaine permanente ?

Le Cecot n’est pas un centre de loisirs. C’est une forteresse de béton et d’acier, construite pour y enterrer vivants les chefs de gang, les tueurs à gages, les recruteurs d’enfants, les violeurs en série. Pas d’air libre, pas de téléphone, pas de promenade. Juste des cellules pour 80, des projecteurs allumés 24h/24, une discipline militaire et des gardiens cagoulés. Et au cœur de ce dispositif, un message limpide : tu entres ici, tu ne sortiras jamais.

Imaginons une seule seconde ce que cela changerait dans nos cités : si les dealers de quartier, les « chouffeurs » de 14 ans, les guetteurs de halls, savaient que leur avenir ne serait ni un bracelet électronique ni une peine aménagée, mais une vie entière de ténèbres, de silence, d’oubli ?

En finir avec l’impunité

Choose France : une arnaque nommée Macron - JT du mercredi 21 mai 2025



Publiée le 21/05/2025

A la une de cette édition, le sommet “Choose France”, un événement conçu par Emmanuel Macron pour donner l’impression que la France est prospère.

 Le tout alors que les faillites se succèdent les unes après les autres.

Nous reviendrons ensuite sur le banal rapport explosif sur les Frères musulmans censé démontrer, un peu tard, le développement de l’islam en France.

Et enfin en Europe, Giorgia Meloni donne la leçon à Emmanuel Macron. Un temps isolé dans le maelstrom centriste communautaire, la présidente du Conseil tire son épingle du jeu. 

Cette coiffeuse qui n’arrive pas à recruter… et ce RSA qui rapporte plus!

 

 

 par | 21 Mai 2025

 

Voici le témoignage d’une patronne de salon de coiffure qui n’arrive pas à recruter à mettre en relation avec l’échange plus bas où l’on parle des bénéficiaires du RSA à 1 200 euros par mois et c’est vrai. 

Ne venez pas me dire que le RSA c’est 646 euros, cela ne marche pas avec moi, parce que je ne suis pas naïf et que je vois ce que je dois voir.

Ce que je vois, c’est que l’on se déclare dans l’immense majorité des cas comme « parent isolé » ce qui fait monter le RSA à 1 200 euros par mois quand on a deux enfants, et que l’autre parent lui se déclare effectivement « seul » et donc on rajoute 646 euros soit 1 846 euros pour un couple et deux enfants.

Ce n’est évidemment pas Byzance, mais sans travailler ce n’est pas si mal. Ensuite ne me dites par que je juge. Je ne juge pas. Je constate. Je ne condamne pas. Tous nos concitoyens qui agissent de la sorte sont des agents économiques parfaitement rationnels. Pourquoi travailler pour avoir encore moins, 35 heures de boulot, dans les pattes un patron pénible, des heures de transport, sans même parler des frais de garde de vos enfants.

Avec 1 400 euros nets par mois, évidemment le travail ne paye pas assez.

Nous sommes tous d’accord là dessus.

Le problème c’est que toutes les aides sociales sont financées par le travail et donc l’assistanat des uns est financé par le travail des autres et toutes les cotisations qu’ils payent. C’est le poisson qui se mort la queue, c’est le cercle vicieux.

L'invention du vaccin contre la rage.

 

« Génocide », le mot de trop


Elisabeth Badinter assiste à un cours d'anglais lors de l'inauguration de la cité scolaire de Blois 

Élisabeth Badinter a assisté à un cours en anglais du baccalauréat Français international (BFI). Crédit photo

magcentre

Par Mael Petit.



Il y a des silences qui en disent long. Celui qui a glacé la salle de classe du lycée Robert-Badinter à Blois, ce mardi 13 mai 2025, en fait partie. 

Un élève, dans le cadre d’un cours d’anglais, reprend une phrase célèbre d’Elie Wiesel. « Il ne doit jamais y avoir un moment où l’on ne proteste pas », dit-il. Et lui, proteste, en anglais. Dans un exercice de débat, il évoque Gaza en y associant le mot génocide. C’est là que tout explose. Ou plutôt, tout se fige.

Élisabeth Badinter réagit vivement. Le mot est trop fort, trop chargé, qui plus est accolé à une citation d’un survivant de l’Holocauste. Dans un établissement qui porte désormais le nom d’un homme ayant voué sa vie à la lutte contre la peine de mort, à la justice, aux droits humains, ce mot est jugé insupportable. « On le laisse dire ? » s’indigne-t-elle. La professeure tente d’expliquer, de replacer le propos dans le contexte pédagogique. Mais rien n’y fait. L’élève se tait, sous le poids de son accusatrice. Le malaise est total.

Mais au fond, que s’est-il passé ?

Un jeune a exprimé une opinion. Il n’a pas fait l’apologie du Hamas. Il n’a pas nié la Shoah. Il a évoqué, avec ses mots et son émotion, sa révolte face à ce que chacun voit comme un massacre de masse, comme un crime contre l’humanité. Et ce mot « génocide », qu’il emploie par mimétisme ou de manière réfléchie, déclenche une levée de boucliers. Car oui, dans un lycée, évoquer Gaza comme un génocide en cours, c’est politiquement sensible. C’est vu, par certains, comme un raccourci, une provocation, un slogan militant. Cela met mal à l’aise ceux qui craignent les amalgames, les accusations d’antisémitisme, l’instrumentalisation d’un conflit complexe.

Mais faut-il pour autant étouffer la parole d’un élève ? Faut-il éteindre le débat, là où justement il devrait avoir lieu ? Là où l’on enseigne la pensée critique, l’analyse, l’échange ? Ce jeune n’a pas lancé un mot d’ordre. Il s’est essayé à un exercice pédagogique qui encourageait l’expression autour d’enjeux contemporains et géopolitiques. Il a osé mettre des mots sur une horreur qu’il voit surement à la télé et sur les réseaux sociaux au quotidien, qu’il vit peut-être comme une injustice.

mardi 20 mai 2025

Les politiques ne sont pas incompétents, ils sont intentionnellement destructeurs.

 

 

 Invité hier sur la chaîne d’Idriss Aberkane, Pierre Jovanovic a lâché une bombe : les politiques ne sont pas incompétents, ils sont intentionnellement destructeurs. Arrêtez de croire qu’ils sont stupides ou débiles… 

Cette destruction de la France est voulue, planifiée, organisée. 

---  UNE STRATÉGIE DÉLIBÉRÉE ?  

 Jovanovic pointe du doigt une volonté systématique de démanteler les piliers de la souveraineté française : l’industrie, l’agriculture, les services publics.

  Les décisions absurdes ? Les lois contre le bon sens ? Les gaspillages financiers ? Rien de tout cela n’est une erreur, tout est méthodique.  

Chaque crise, chaque réforme, chaque coup porté à l’économie serait en réalité un rouage d’un plan plus large : affaiblir la France de l’intérieur.  

Quand l’incompétence est trop répétée, elle devient stratégie.  

Pierre Jovanovic appelle à ouvrir les yeux : ce n’est plus un dysfonctionnement, c’est un sabotage. --- 

  LE SCÉNARIO D’UN DÉMANTÈLEMENT PROGRAMMÉ ?  

Privatisation des infrastructures, braderie des fleurons industriels, explosion de la dette… tout cela ne serait pas le fruit du hasard.  

Des accords secrets, des intérêts privés, des pressions internationales… autant de leviers pour affaiblir la souveraineté nationale.  

La France serait volontairement mise à genoux pour être plus facilement contrôlée, influencée, dominée.  

Quand le chaos est organisé, la reconstruction est dictée par ceux qui l’ont créé.  

Jovanovic le dit clairement : rien de tout cela n’est accidentel. 

 ---  LA QUESTION : QUAND LE PEUPLE OUVRIRA-T-IL LES YEUX ?  

 Est-ce encore une simple série d’erreurs, ou un plan méthodique pour affaiblir la nation ?  

Pourquoi les responsables ne sont-ils jamais tenus pour responsables ? 

Pourquoi les mêmes erreurs se répètent, encore et encore ?  

Et surtout : à qui profite ce démantèlement ?  

 L’incompétence répétée devient une méthode.  

Quand l’échec devient une norme, le sabotage n’est plus un doute.

On n'a pas le cul sorti des ronces!

 

 

 

Vous comprenez pourquoi le merdeux a été choisi?

Ukraine : Trump et Poutine écartent Macron - JT du mardi 20 mai 2025



 Publiée le 20/05/2025

Au programme de cette édition, retour sur la conversation entre Donald Trump et Vladimir Poutine. 

Tel un nouveau camouflet infligé à Emmanuel Macron, le président américain a fait état d’une discussion constructive et positive. La paix n’a toutefois pas fait de grands pas en avant.

Nous reviendrons ensuite sur la visie d’Ursula von der Leyen à Londres. Un accord économique et stratégique a été conclu entre l’Union européenne et le Royaume-Uni, avec des dispositions piétinant les dispositions du Brexit.

Et puis nous irons ensuite en Pologne où le 1er tour de la présidentielle est synonyme de coup dur pour le gouvernement de coalition de l’européiste Donald Tusk.

Oups

 

 

 

 

Th breton, le génie qui a tout raté

 

 

Hier en Roumanie, demain en France


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Après Bolloré, l’extrême gauche s’en prend à Pierre-Édouard Stérin

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Entrepreneur chrétien et patriote, il est le nouvel homme à abattre

Il n’aura pas fallu longtemps à la gauche pour trouver un nouveau bouc émissaire. Après Vincent Bolloré, c’est au tour du discret Pierre-Édouard Stérin de se trouver dans leur viseur. Riche, brillant, conservateur, catholique revendiqué et résolument de droite, Stérin cristallise les attaques. Le politologue d'extrême gauche Thomas Guénolé a donné le ton, sur X : il appelle ironiquement l’extrême droite à acheter des produits de la société Smartbox, dont Stérin est le cofondateur et le premier actionnaire, afin de financer la montée de l’extrême droite en France... Et il tourne en dérision le slogan de l'entreprise en évoquant « le fascisme à vivre ». Un appel au boycott pour attaquer Stérin et ce qu’il représente.

 

 

Les attaques contre le milliardaire prennent de l'ampleur, à gauche. Une Section carrément anti-Stérin (SCAS) a vu le jour... Son but : alerter sur les œuvres de l'entrepreneur catholique et inciter à agir contre. Dernier combat : s’opposer aux soirées de la Nuit du Bien Commun. Selon ses opposants, Stérin serait partie prenante, en tant que créateur de l’événement, de ces galas de charité. Mais le principal intéressé affirme qu'il n'a plus rien à voir avec ces levées de dons. Les communiqués contre la Nuit du Bien Commun ont malgré tout rencontré un bel écho, dans certaines franges de la presse d'ultra-gauche et dans les associations et groupements comme les Soulèvements de la Terre, Mediapart ou encore le média Blast.

Contacté par BV, un très proche collaborateur de Pierre-Édouard Stérin regrette ces accusations. Selon lui, si le milliardaire avait été juif ou musulman et de gauche, personne ne lui aurait tenu rigueur de ses convictions.

Juliette, 23 ans, Bac+5, envoie 150 CV en 8 mois et en veut à ses parents d’avoir fait des études !

 

 

 par Charles Sannat | 20 Mai 2025 |

 

Voici encore un exemple de Totoche ou de Toto en recherche d’emploi qui n’ont strictement rien compris, alors je vais m’y coller pour rétablir quelques vérités essentielles même si cela fait hurler nos jeunes ouins-ouins fragiles des genoux et de tout le reste !

Cela fait une moyenne de 0.62 CV envoyé par jour… ce qui est une performance très médiocre si l’on cherche vraiment un travail… On peut même dire que la Juliette ne s’est pas franchement foulée et qu’elle est loin de l’entorse des doigts ou de « clavier-elbow »…

Quand on est un bac +5 en marketing/communication/publicité, que l’on a 23 ans, que l’on est tout jeune (et nous l’avons tous été), il faut avoir l’humilité de l’apprentissage et accepter que l’on ne sait pas faire grand chose, et à 23 ans, je ne savais certainement pas faire grand chose, mais nous avions l’humilité de savoir que nous ne « valions » que ce que l’on était prêt à nous payer !!

Quand on a la chance d’avoir des parents, des parents qui vous payent des études, pendant 5 ans après le Bac, il ne faut pas leur en vouloir… il faut les remercier de leur gentillesse et de leur volonté de mettre toutes les chances du côté de leur fille.

Quand on veut travailler, il y a du travail partout. Pas forcément le travail en marketing/communication/publicité, mais il y en aura de moins en moins du travail en marketing/communication/publicité, car l’IA fait cela bien mieux que Juliette, bien plus vite, sans couiner et sans ouin-ouin. Un site comme Canva pour ne citer que lui fait fermer toutes les activités des petits graphistes et autres marketeurs moyens ou sans grand talent. Il faut donc savoir au bout de 8 mois sans trouver que la manière de chercher est mauvaise.

lundi 19 mai 2025

Israël bombarde le 68e centre d’aide alimentaire à Gaza, alors que la famine s’aggrave



Selon le Bureau des médias du gouvernement, Israël a bombardé pas moins de 68 centres de distribution alimentaire et soupes populaires à Gaza depuis le début de son génocide.

La dernière attaque a eu lieu à Deir al-Balah, dans le centre de Gaza. 

Les forces israéliennes ont bombardé un entrepôt d’aide alimentaire, tuant cinq civils affamés et en blessant plusieurs autres. Les victimes s’étaient rassemblées, désespérées, pour récupérer de la nourriture alors que la famine provoquée par Israël s’aggrave.

Le Bureau des médias du gouvernement affirme que les attaques en cours font partie d’une stratégie délibérée destinée à affamer les civils de Gaza. Sur les 68 installations détruites, 39 étaient des centres de distribution d’aide alimentaire et 29 des soupes populaires qui fournissaient des repas quotidiens.

“Ce n’est pas le fruit du hasard”, a déclaré le bureau des médias dans son communiqué de presse samedi. “Cela fait partie d’une guerre systématique contre les infrastructures humanitaires dans le but d’infliger un châtiment collectif”.

La déclaration condamne cette violation brutale et flagrante du droit international. Elle rappelle les Conventions de Genève, qui interdisent toute attaque contre des civils et des installations humanitaires, quelles que soient les circonstances.