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jeudi 10 octobre 2024

Gabegie, petite tambouille politique entre vermines


 

Coup de gueule

 

 

Le mythe du serrage de ceinture…


 

Depuis Raymond Barre, tous les premiers Ministres ont expliqué, directement ou indirectement aux Français, qu’il allait falloir se serrer la ceinture. 

Pour quel résultat ? Si le serrage de ceinture avait une quelconque efficacité, depuis 40 ans, cela se saurait. 

Barnier, avec son budget en trompe l’œil, ne déroge pas à la règle et nous ramène le mythe de la ceinture de plus en plus serrée pour les Français. Derrière l’image de l’ustensile vestimentaire, il y a bien la destruction graduelle des services publics hérités du gaullisme : l’école, l’hôpital, la police, la justice, la sécurité sociale et l’armée. Et les Barnier boys de pérorer avec une moue entendue, sur la faute de ces Français qui se soignent trop, qui chôment trop et qui gaspillent trop : l’éternelle rengaine. L’argent versé à l’Ukraine, l’achat de vaccins inutiles, les aides aux développement versées à des multiples pays, les éoliennes dans la pétole, les retraites payées en Algérie à des gens morts depuis longtemps, les départements ou quartiers, comme le 93, vivant sous perfusion d’allocations, les clandestins logés en hôtel trois étoiles, les niches fiscales, l’évasion fiscale, le train de vie de l’État, tout cela, pour plus de 150 milliards, n’est pas un problème. Le vrai problème c’est l’incurie de ces Français qui majoritairement travaillent pour moins de 2000 euros. Dans la même veine, que les dealers s’attaquent directement aux forces de l’ordre, à Cavaillon, ou que des OQTF violent et tuent tous les jours, ce n’est pas non plus un problème. Le vrai problème c’est qu’on doit empêcher les gens d’en parler, pour ne pas faire le lit de l’extrême droite.

Les 28€ de réajustement de la retraite des gueux, ça sera pour Juillet, les 3 milliards et les Mirages 2000 pour la petite pute de Kiev, c'est maintenant


 

Budget : guerre dans la majorité Barnier - JT du jeudi 10 octobre 2024



 A la une de cette édition : le gouvernement passera-t-il l’hiver ? 

 

La nouvelle majorité aborde le délicat vote du budget alors que macronistes et LR n’arrêtent pas de se tirer dans les pattes.

Débat houleux au Parlement européen de Strasbourg entre Viktor Orbán et Ursula von der Leyen, durant lequel le premier ministre hongrois a renvoyé la présidente de la Commission européenne dans les cordes: L’analyse de Nicolas de Lamberterie.

Et nous reviendrons sur l’affaire du rappeur Puff Daddy, un feuilleton judiciaire mêlant orgies sexuelles et élites américaines.

Israël bombarde aussi la Syrie

 

Israël bombarde aussi la Syrie

 

  par 9 octobre 2024

 

C’est un sujet dont les médias du système se gardent bien de parler. 

 

Dans sa perspective de construire le « Grand Israël », le gouvernement israélien ordonne depuis plusieurs jours à son armée de bombarder la Syrie.


Des victimes civiles

Mardi soir, le ministère syrien de la Défense a communiqué cette information :

Vers 20h15 aujourd’hui, l’ennemi israélien a lancé une agression aérienne avec trois missiles depuis le Golan syrien occupé, visant un bâtiment résidentiel et commercial dans le quartier densément peuplé de Mazzeh à Damas, causant la mort de sept civils, dont des enfants et des femmes, et onze autres blessés selon un bilan provisoire, et causant d’importants dégâts matériels à des biens privés dans la zone environnante, alors que des travaux sont toujours en cours pour sauver d’autres personnes sous les décombres.

Léo Kersauzie

Gaza : plus de 100 000 morts selon des médecins américains


Gaza, entre épidémies, famines et bombardements 
Gaza, entre épidémies, famines et bombardements

 

  par 10 octobre 2024



99 agents de santé américains, témoins oculaires des « crimes incompréhensibles » commis à Gaza, ont adressé une lettre ouverte au président Biden et à la vice-présidente, et candidate Kamala Harris : « Le nombre de morts dus à ce conflit devrait déjà dépasser 118 908, soit un chiffre stupéfiant de 5,4 % de la population de Gaza. »

Nous publions des extraits d’une lettre ouverte envoyée au président Biden et à la vice-présidente, et candidate Kamala Harris par 99 agents de santé américains, témoins oculaires des « crimes incompréhensibles » commis à Gaza. Lettre déchirante, qui révèle que le nombre réel de victimes à Gaza est de 118 908 personnes, dont beaucoup d’enfants.


99 médecins, chirurgiens, infirmiers spécialisés, infirmières et sage-femmes américains : les seuls observateurs neutres autorisés à entrer dans Gaza depuis le 7 octobre

« Nous sommes 99 médecins, chirurgiens, infirmiers spécialisés, infirmières et sage-femmes américains bénévoles dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre 2023. Au total, nous avons passé 254 semaines de bénévolat dans les hôpitaux et cliniques de Gaza. […] Nous sommes un groupe multireligieux et multi-ethnique. Aucun d’entre nous ne soutient les horreurs commises le 7 octobre par des groupes armés palestiniens et des individus en Israël.

« […] Nous sommes parmi les seuls observateurs neutres autorisés à entrer dans la bande de Gaza depuis le 7 octobre. Compte tenu de notre vaste expertise et de notre expérience directe de travail à Gaza, nous sommes dans une position unique pour parler de nombreux problèmes majeurs intéressant notre gouvernement […]. En particulier, nous pensons avoir bénéficié d’un point de vue privilégié qui nous permet de raconter l’énorme bilan humain de l’attaque israélienne contre Gaza, en particulier le tribut imposé aux femmes et aux enfants.

« […] Cette lettre et son annexe démontrent de manière irréfutable que le nombre de morts à Gaza d’octobre à aujourd’hui est bien plus élevé que ce que l’on croit aux États-Unis. Le bilan des victimes de ce conflit devrait déjà dépasser les 118 908, un chiffre stupéfiant : 5,4 % de la population de Gaza.


À quelques exceptions près, tout le monde à Gaza est malade, blessé ou les deux

« […] À quelques exceptions près, tout le monde à Gaza est malade, blessé ou les deux. Cela inclut tous les travailleurs humanitaires locaux, tous les volontaires internationaux et probablement tous les otages israéliens : tous les hommes, femmes et enfants. Lors de notre travail à Gaza, nous avons observé une malnutrition généralisée chez nos patients et nos collègues palestiniens. Nous avons tous perdu du poids rapidement, même si nous bénéficiions d’un accès privilégié à la nourriture et que nous emportions avec nous des compléments alimentaires riches en nutriments. Nous disposons de preuves photographiques d’une malnutrition généralisée qui met en danger la vie de nos patients, en particulier des enfants, et nous sommes anxieux de les partager avec vous.

« Pratiquement tous les enfants de moins de cinq ans que nous avons rencontrés, tant à l’hôpital qu’à l’extérieur, souffraient de toux et de diarrhée. Nous avons constaté des cas de jaunisse (indiquant une infection par l’hépatite A dans de telles conditions) dans presque toutes les chambres d’hôpital dans lesquelles nous avons servi et chez nombre de nos collègues travaillant à Gaza. Nos interventions chirurgicales ont entraîné un pourcentage étonnamment élevé d’infections dues à une combinaison de malnutrition, de conditions opératoires impossibles, de manque de produits d’hygiène de base, même de savon, et de manque d’outils chirurgicaux et de médicaments, y compris des antibiotiques.

« La malnutrition a provoqué de nombreuses fausses couches, des bébés de faible poids à la naissance et a empêché les nouvelles mères d’allaiter. Leurs nouveau-nés risquaient donc fort de mourir, notamment parce qu’il n’y avait d’eau potable nulle part à Gaza. Beaucoup de ces nouveau-nés sont effectivement morts. Nous avons vu des mères malnutries nourrir leurs nouveau-nés souffrant d’insuffisance pondérale avec du lait maternisé mélangé à de l’eau empoisonnée.

« Nous vous invitons à être conscients que des épidémies font rage à Gaza. Le déplacement forcé continu et répété par Israël d’une population souffrant de malnutrition et de malades, dont la moitié sont des enfants, vers des zones sans eau courante ni assainissement est absolument choquant. Un tel déplacement a causé et provoque des décès massifs dus à des maladies diarrhéiques virales et bactériennes, ainsi qu’à des pneumonies, en particulier chez les enfants de moins de cinq ans.

« […] Nous craignons que des milliers de personnes soient déjà mortes de la combinaison mortelle de malnutrition et de maladie, et que des dizaines de milliers d’autres meurent dans les mois à venir, surtout avec l’arrivée des pluies hivernales. La plupart d’entre eux seront de jeunes enfants.


Les enfants subissent des violences volontairement dirigées contre eux

« […] Tous les signataires de cette lettre ont vu des enfants subir des violences qui devaient être délibérément dirigées contre eux. Notamment, chacun d’entre nous, travaillant dans une salle d’urgence, une unité de soins intensifs ou une salle d’opération, a régulièrement, voire quotidiennement, soigné des enfants préadolescents touchés à la tête ou à la poitrine. Il est impossible que des attaques aussi fréquentes contre de jeunes enfants dans toute la bande de Gaza, enregistrées sur une année entière, aient été accidentelles ou inconnues des plus hautes autorités civiles et militaires israéliennes.

« Président Biden et vice-président Harris, nous aimerions que vous voyiez les cauchemars qui tourmentent tant d’entre nous depuis notre retour : les rêves d’enfants mutilés, et mutilés par nos armes, et de leurs mères inconsolables nous suppliant de les sauver. Nous aimerions que vous entendiez les cris et les hurlements qui resteront à jamais gravés dans nos mémoires. Nous ne comprenons pas pourquoi vous continuez à armer un pays qui tue délibérément et en masse tous ces enfants.

Tourcoing : des professeurs soutiennent l’élève voilée et non la prof agressée


La leçon de la journée de la laïcité en 2020. Capture d'écran © Facebook Lycée Sévigné Tourcoing 
 
La leçon de la journée de la laïcité en 2020. Capture d'écran © Facebook Lycée Sévigné Tourcoing 
 

Nouvelle affaire, énième affaire de voile islamique à l’école. 

Celle-ci se passe à Tourcoing, dans le lycée professionnel et technologique Sévigné.

Lundi dans l’après-midi, un professeur demande à une élève de 18 ans d’enlever le voile qu’elle vient de mettre alors qu’elle n’a pas encore quitté l’établissement. Une fois à l’extérieur, la lycéenne gifle son professeur, qui lui en renvoie une. La lycéenne la roue alors de coups avant de prendre la fuite. Elle est interpellée le soir même à son domicile et placée en garde à vue. Ce mercredi, Warda H. s'est présentée au tribunal sans voile mais coiffée d'un chignon, en veste de tailleur. Elle a été placée sous contrôle judiciaire jusqu’à l’audience fixée au 11 décembre.

Comme il se doit, le règlement intérieur du lycée énonce qu’est interdit tout signe, toute tenue ostensiblement religieuse. Mais on apprend dans un reportage de BFMTV que c’est un « jeu » pour quelques lycéennes de remettre leur voile avant même d’avoir quitté l’établissement. Un « jeu » ? Autant dire un harcèlement à l’encontre de la communauté éducative. Pour voir si celle-ci va craquer, laisser couler - à l’usure.

Le rectorat aux abonnés absents

Le rectorat est injoignable par téléphone et ne répond pas aux mails. Contactée par BV, la direction du lycée nous répond qu’elle n’a aucun commentaire à faire sur l’incident qui s’est déroulé lundi après-midi. Il semble pourtant qu’il y a matière. Ne serait-ce que parce que d’autres élèves ont appelé à bloquer le lycée en soutien à la lycéenne incriminée. Mieux : celle-ci aurait reçu l’appui d’une dizaine de professeurs, au nom de la lutte contre les discriminations, selon nos confrères de Valeurs actuelles. Drôle d’équipe pédagogique, non ? En 2003, le lycée Sévigné avait déjà fait parler de lui à cause d’une enseignante qui portait un « foulard » dans l’établissement.

Soutenue par plusieurs syndicats, l’enseignante a été placée « sous protection fonctionnelle », c’est-à-dire que son administration doit prendre les mesures adéquates pour lui éviter une nouvelle agression. Au lycée Sévigné, les cours sont toujours suspendus, mais il y flotte un tel « sentiment d’insécurité » que le rectorat y a envoyé des Equipes mobiles de sécurité (EMS), dont la fonction est de sécuriser les abords de l’établissement, et des équipes Valeurs de la République, destinées à « soutenir les personnels et proposer des réponses pédagogiques, réglementaires, disciplinaires ». Ils pourront relire ensemble les 148 pages du Vademecum de la laïcité dans l’espoir d’y trouver une solution concrète à ce problème : qu’est-ce qui perturbe la vie scolaire, « Le voile dit islamique (sic), la kippa, le turban sikh, le bindi hindou ou une croix de dimension excessive » ?

mercredi 9 octobre 2024

Encore un coup de gueule

 

 

Meyssan : “Netanyahou est-il impliqué ou non dans la préparation du 7 octobre ?”


 L’Iran a commencé à tirer des missiles sur Israël. Le début d’une guerre de haute intensité?

 

parÉric Verhaeghe

 

Dans ce quinzomadaire de Thierry Meyssan, nous revenons sur le 7 octobre dans toutes ses dimensions, et sur l’instrumentalisation dont cet acte horrible a fait l’objet de la part du Premier Ministre israélien. 

On ne peut en effet ignorer que, depuis le 7 octobre, Israël mène une politique brutale de terreur contre les civils à Gaza, et ouvre désormais un front au Liban qui laisse planer un doute sur l’intention d’instaurer un “ordre nouveau” au Proche-Orient, incluant un nettoyage ethnique en Palestine et à Gaza.



↪ la semaine qui vient de s'écouler a donné lieu à de larges célébrations du 7 octobre et de son souvenir tragique
↪ unanimement, l'amalgame entre la Shoah et le 7 octobre ont été cultivés par les défenseurs d'Israël
↪ toutefois, les prétendues failles du renseignement israélien ce jour-là posent avec acuité la question de la responsabilité personnelle de Benjamin Netanyahou dans la préparation de l'événement
↪ depuis lors, Israël déploie une politique "d'ordre nouveau" au Proche-Orient
↪ le rôle des Etats-Unis est incertain sur tous ces points


Le 7 octobre a donné lieu en Occident, France comprise, à des commémorations avec des éléments de langage apparemment très concertés.

Donald Trump menacé par les fraudes du Système ? - JT du mercredi 9 octobre 2024



Publiée le 09/10/2024

Ce soir, nous commençons cette édition avec les suspicions de manipulations pour les élections américaines. 

A moins d’un mois du scrutin, nous verrons comment le système électoral des Etats-Unis est particulièrement propice aux fraudes.

Nous suivrons ensuite les dernières évolutions au Proche-Orient. De plus en plus de voix s’élèvent en Occident pour retenir la main de Benjamin Netanyahou, visiblement en vain.

Et puis nous terminerons au Mexique où les cartels sèment la mort pour faire fleurir le trafic de drogues de la cocaïne aux opioïdes. 

« On a une caste soit complètement idiote, soit corrompue, soit les deux, qui a dépensé 300 milliards pendant le Covid, et qui par la suite, a voulu faire la guerre à la Russie ! »

 

 

Il faut dire les choses

 

 

Qui peut croire que cet apport de population imposée est une chance pour le pays qui le subit

 

 

Comment Israël utilise la technique de la « hasbara » pour amener à soutenir ses guerres

 



L'influence israélienne sur la politique étrangère des Etats-Unis

 

  par 9 octobre 2024


Il y a quarante ans, Israël lançait une campagne de propagande baptisée « hasbara » pour changer la perception qu’avait le public américain d’Israël.

En 1984, une campagne de propagande, qui se poursuit encore aujourd’hui, a été lancée pour changer la perception qu’a le public américain d’Israël. C’est cette année-là que l’AIPAC a commencé à distribuer son « guide universitaire » sur la perception d’Israël sur les campus américains, et que le Congrès juif américain a parrainé une conférence.

Cette conférence a recommandé une campagne concertée pour changer l’opinion des Américains sur Israël. Appelée « hasbara » en hébreu, cette campagne a été entreprise pour contrer l’impact des images horribles générées par la guerre d’Israël au Liban en 1982. Le Washington Post a rapporté en 1982 que le Premier ministre israélien Menachem Begin s’était plaint d’une « bataille pour la vérité ». De quelle bataille s’agissait-il ?


« Je ne crois jamais, jamais les chiffres israéliens. Les Israéliens sont des menteurs patentés. »

Le gouvernement de Begin a affirmé que seulement 600 civils avaient été tués par Israël, alors que « les responsables du renseignement américain ont qualifié d’exacte une estimation de 10 000 morts civils… reçue en premier lieu de l’ambassadeur du Liban aux Nations Unies. [Le président de la commission des relations extérieures du Sénat, Charles] Percy a ajouté que cette estimation « non confirmée » pourrait atteindre 14 000. »

Le titre était « Le jeu des chiffres obscurcit le bilan au Liban ». Israël joue à ce jeu depuis lors, niant la réalité des chiffres des victimes de la guerre de Gaza.

Lawrence Wilkerson, chef de cabinet du secrétaire d’État Colin Powell au début des années 2000, déclare à propos de son expérience avec le régime israélien : « Je ne crois jamais, jamais les chiffres israéliens. Les Israéliens sont des menteurs patentés. Je le répète : ce sont des menteurs. »


La doctrine Dahiya

Tout en minimisant le nombre de victimes, Israël applique également la doctrine Dahiya, qui « appelle à l’utilisation d’une force massive et disproportionnée et au ciblage délibéré des civils et des infrastructures civiles ».

Pourquoi Dahiya ? Son nom vient du site d’un ancien crime de guerre israélien.

« La doctrine doit son nom à la banlieue de Dahiya à Beyrouth, où se trouve le quartier général du groupe paramilitaire libanais Hezbollah, que l’armée israélienne a rasé lors de son assaut contre le Liban à l’été 2006, qui a tué près de 1 000 civils, dont environ un tiers étaient des enfants, et causé d’énormes dégâts aux infrastructures civiles du pays », explique l’Institut pour la compréhension du Moyen-Orient.

Modeste, Hollande affirme qu’il a sauvé la Grèce !

 

 

 par | 9 Oct 2024

 

Extraordinaire François Hollande, l’homme qui voulait inverser la courbe du chômage…

C’est vrai qu’il a sauvé les Grecs.

Il les a sauvés en faisant une vraie politique de gauche.

Une politique pour prendre soin des gens.

Désormais les Grecs touchent en moyenne 910 € brut par mois.

Le temps de travail vient de passer à 48 heures par semaine.

On travaille en Grèce 6 jours sur 7.

La retraite est à 67 ans.

Je pense que tous les Grecs remercient Hollande de sa sagacité.

Bientôt les Français aussi seront sauvés par François Hollande.

 

 

Le pire c’est qu’ils n’ont plus honte de rien.

Il va même jusqu’à accuser Varoufakis, éphémère ministre de l’économie en Grèce qui avait tenté une autre voie pour sortir la Grèce de l’ornière.

"Où est le devoir d’exemplarité de l’État ?" : des élus alertent sur des loyers impayés par la gendarmerie nationale


Le panneau de la caserne de gendarmerie de Rettel en Moselle (gendarmerie).

 
Le panneau de la caserne de gendarmerie de Rettel en Moselle (gendarmerie). © Radio France - Marc Bertrand

 

 France Bleu Roussillon

Lundi 7 octobre 2024

 

INFO FRANCE BLEU - En raison d’un important "trou" dans les caisses, la gendarmerie n’est plus en mesure de payer les loyers de ses locaux et de ses logements de fonction.

 Conséquence : des centaines de communes se retrouvent en difficulté. Exemple dans les Pyrénées-Orientales.

On a vu des locataires se faire expulser pour beaucoup moins que cela… "La gendarmerie nous doit 236.388 euros de retards de loyers", fulmine Édith Pugnet, maire de Cabestany, une commune près de Perpignan qui accueille une brigade dans des locaux municipaux. "Pour nous, ces loyers représentent une ligne de trésorerie vitale", explique l’élue qui s’inquiète de ne pas pouvoir boucler son budget 2024.

"Rendez-vous compte ! Cette somme équivaut presque à la moitié de notre dotation globale de fonctionnement. Ça voudrait dire, par exemple, qu’il faudrait tirer un trait sur la totalité de notre budget consacré aux espaces verts", ajoute Cyrille Bernardin, premier adjoint en charge des finances. "La situation est d’autant plus grave et choquante, que la gendarmerie est une fonction régalienne de l’État. Encore une fois, ce sont les collectivités locales qui payent les pots cassés pour les erreurs de l’État, alors qu’elles sont déjà étranglées par les baisses de dotation."

La commune de Cabestany est loin d’être un cas isolé. La majorité des communes de France accueillant une gendarmerie dans des locaux municipaux est dans une situation comparable. Contactés par France Bleu Roussillon, de nombreux maires des Pyrénées-Orientales évoquent une situation "inacceptable", "ubuesque" et "désastreuse en terme d’image : où est le devoir d’exemplarité de l’État ?"

mardi 8 octobre 2024

Israël - Ukraine : Macron méprisé partout - JT du mardi 8 octobre 2024



Publiée le 08/10/2024

Au programme de cette édition, nous reviendrons sur la diplomatie vue par Emmanuel Macron. 

 

Du Proche-Orient à l’Ukraine, le président n’aura rien épargné à la France en matière de loupés lourds de conséquences.  

 

En France, du côté de l’Assemblée nationale, Michel Barnier a fait face à sa première motion de censure. Une opération qui n’a évidemment pas abouti.

 

Le nouveau ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, était pour sa part à pied d’œuvre avec une vingtaine de préfets pour s’attaquer au fléau des OQTF, ces obligations de quitter le territoire si peu exécutées… 

 

Israël largue des bombes à uranium appauvri sur le Liban


Israël largue des bombes à uranium appauvri sur le Liban


par 8 octobre 2024 
 

Officiellement, des « bombes anti-bunker »

Les forces aériennes israéliennes larguent par dizaines des « bombes anti-bunker » sur le Liban. Ces bombes sont conçues pour exploser après avoir pénétré profondément dans le sol.

Les explosions décalées, qui font trembler les murs à des kilomètres à la ronde, produisent également d’importantes colonnes de fumée, signe de la puissance des explosifs utilisés.

Il existe plusieurs types de «bunker busters», comme on appelle ces armes dans le jargon militaire, mais l’armée israélienne n’a pas officiellement dévoilé le type de munitions utilisées. Cependant, plusieurs indices laissent penser que les bombes utilisées par l’aviation israélienne contiennent une petite charge radioactive : de l’uranium appauvri.

Alors que de sérieuses inquiétudes apparaissent ces derniers jours sur une possible radioactivité issue de ces bombardements israéliens, le professeur Raif Reda, président de l’Association libanaise de médecine sociale, a appelé à « prélever des échantillons sur les sites de bombardements et à envoyer des rapports aux Nations Unies afin que le monde puisse témoigner de l’histoire sanglante et criminelle de l’ennemi sioniste », selon des déclarations rapportées par l’Agence nationale libanaise de l’information (NNA).

Comme le souligne le New York Times, une vidéo diffusée par l’armée israélienne montrant le décollage de l’escadrille pour le raid du 27 septembre confirme que ces appareils étaient chacun équipés de six missiles « BLU-109 ». Ces munitions de fabrication américaine pèsent chacune un peu moins d’une tonne, selon l’article, et sont équipées d’un kit « JDAM » (joint direct attack munitions), un système de guidage de précision fixé aux projectiles.

Un rapport de l’Institut naval américain indique que le type d’explosif le plus courant à l’intérieur de ces missiles sont des bombes classées « GBU-31 ». Ces munitions guidées sont connues pour leur capacité à pénétrer des structures en béton ou en acier fortement renforcées grâce à une enveloppe en uranium appauvri (UA), utilisé pour sa haute densité, qui renforce la résistance des bombes à l’impact au sol.

L’utilisation de ce type d’armement particulier à Beyrouth est d’autant plus plausible que l’armée israélienne avait déjà utilisé des bombes à uranium en 2023 lors de frappes dans la bande de Gaza. Un rapport soumis à la Commission des droits de l’homme de l’ONU a documenté le largage de bombes GBU-31, GBU-32 et GBU-39 lors d’au moins six frappes aériennes distinctes de l’armée de l’air israélienne sur des immeubles résidentiels, une école, des camps de réfugiés et un marché entre le 9 octobre et le 2 décembre 2023.

En mai, l’administration Biden a annoncé la suspension d’une livraison de ces bombes de près d’une tonne à Israël en raison de « préoccupations concernant la sécurité des civils à Gaza ».

Le scénario de la fin d'Israël selon des analystes sionistes



Vidéo de Daniel Boleau

« Vers une hausse des factures d’électricité à cause d’une hausse des taxes ? ». L’édito de Charles SANNAT


[MEDIAS] Cette attaque en Allemagne dont vous n’avez pas entendu parler


Capture d'écran X 
 
Capture d'écran X

 

 

Les faits se sont déroulés dimanche 29 septembre dernier, dans la ville d’Essen, en Allemagne.

Sur les réseaux sociaux, une vidéo témoigne de sa violence.

 Un homme armé d’une machette s’avance, menaçant, face à des passants qui tentent de s’interposer… Au cours de cette soirée sanglante, ce Syrien de 41 ans aura agressé plusieurs personnes à l’arme blanche, déclenché au moins deux incendies et même foncé sur des commerçants à bord d’une camionnette. Pas moins de trente blessés sont à déplorer, dont huit enfants hospitalisés dans un état grave.


 


L’assaillant a rapidement été interpellé par la police allemande. Selon les premiers éléments de l'enquête, une rupture amoureuse serait à l’origine du drame. Le suspect n’aurait pas supporté d’être quitté par sa femme et aurait cherché à se venger de toutes les personnes impliquées, de près ou de loin, dans la séparation.

Un fait invisibilisé par une grande partie de la presse

Ce n’est pas tous les jours qu’une attaque d’une telle ampleur a lieu, chez nos voisins allemands. Pourtant, l’événement n’a pas fait les gros titres des médias français. Loin s’en faut. La plupart de nos confrères n’en ont carrément pas parlé du tout. Rien sur les sites du Monde, de Libération, de Radio France, France Info, France 24 ou Courrier international. Seuls Europe 1, Le Figaro et Euronews ont consacré un article au drame survenu outre-Rhin.

Cette occultation médiatique prive le public d’une mise en perspective intéressante. Une meilleure couverture aurait été l’occasion de noter que l’attaque en question n'a rien d’un simple fait divers et survient au contraire à un moment où l'Allemagne est en proie à un vif débat sur l'immigration. Au mois de mai, un policier a été tué et plusieurs personnes blessées par un Afghan à Mannheim. En août, trois Allemands ont perdu la vie lors d’une attaque au couteau perpétrée par un demandeur d'asile syrien lors d’un festival de rue à Solingen. Jeudi 12 septembre dernier, c’est un autre Syrien qui a été arrêté, soupçonné de préparer une attaque à la machette sur des soldats allemands



À ce sujet — Allemagne : victoire de l’AfD en Thuringe, un séisme politique


Cette succession de drames permet de comprendre pourquoi l’Allemagne a récemment pris des mesures pour renforcer le contrôle de l'immigration et les lois sur le port de couteau. Elle éclaire aussi la montée des partis dits « d’extrême droite », l'AfD enchaînant les succès électoraux.

lundi 7 octobre 2024

Le coût d’un clandestin en CRA coûte aux français 690€/jour.

 

 

 

 

C'est quoi le CRA ?
 
La rétention administrative permet de maintenir dans un lieu fermé (centre de rétention administrative) un étranger qui fait l'objet d'une décision d'éloignement, dans l'attente de son renvoi forcé.23 juil. 2024

Il est colère le pépé...!

 

 

Donald Trump - Elon Musk : la victoire de l’anti-Système ? - JT du lundi 7 octobre 2024



Publiée le 07/10/2024

Nous reviendrons d’abord sur l’impressionnant meeting de Donald Trump en Pennsylvanie.



Trois mois après la tentative d’assassinat à laquelle il a miraculeusement échappé, l’ancien président est revenu à Butler devant ses partisans avec un soutien de poids, Elon Musk, le patron de X, ex-Twitter.

 

Nous poursuivrons cette édition avec l’imbroglio diplomatique suscité par Emmanuel Macron. En pleine crise au Proche-Orient, le président français s’est aventuré sur des questions d’armement qu’il ne maîtrisait visiblement pas.

 

Et puis, dimanche résonnait comme une rentrée des classes dans le Palais Nikaïa de Nice. Trois mois après les élections législatives, le Rassemblement National organisait un meeting pour créer un nouvel élan. Un pari réussi.

Quand Satan se montre partout c'est qu'il est foutu

 

 

Exclusif: on a les noms des 160 000 franc-maçons de France !


 

 


Emmanuel Todd. “La destruction de la puissance américaine sera le début de la paix pour la planète”

 

 

 par | 7 Oct 2024

 

Les propos d’Emmanuel Todd sont durs.

Très durs.

Aussi durs que le sont d’ailleurs nos “amis” les Américains, car il est vrai, que la volonté de toute puissance et de domination de Washington pose un problème au monde entier.

D’ailleurs Mitterrand, avec ses mots ne disait pas tellement autre chose.

“Oui, ils sont très durs les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde. C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort.”

La puissance américaine est devenue un problème… pour la paix dans le monde et des montagnes afghanes, aux déserts de l’Irak les populations en savent quelque chose, ici, même dans le boccage normand, il faudra l’intervention du Général de Gaulle pour demander aux Américains de ralentir sur le rythme des bombardements après tout de même 100 000 victimes civiles. Mais que voulez-vous, c’est ainsi que s’exportent les valeurs et la démocratie américaines.

Pour relier ceci à la géopolitique actuelle, les tensions entre les USA et les BRICS à commencer par la Chine et bien sûr la Russie via la guerre en Ukraine, matérialisent quoi ? L’affrontement des Etats-Unis contre le reste du monde pour la domination de ce “nouvel ordre mondial” qui est avant tout un ordre unipolaire américain.



Document–7 octobre 2023, le «Bataclan» israélien? La télé israélienne confirme que le renseignement israélien a laissé faire

 

Immigration : Macron critique Retailleau avec un argument choc, Aznavour !


Capture d'écran 
 
Capture d'écran

 

 

On le croyait parti pour assurer son avenir « à l'international », loin du jeu de quilles renversées qu'il a laissé au gouvernement Barnier. 

On espérait même un peu de cure de silence, de décence après la succession de défaites électorales qu'il a essuyées.

 On l'imaginait peut-être en train de contempler sa cote de popularité, au plus bas depuis sa première élection en 2017. Eh bien, non, c'est mal connaître Emmanuel Macron : le nouveau gouvernement à peine nommé, il a enfilé son manteau mitterrandien de président de cohabitation, pour contredire et critiquer l'un de ses ministres, et, tout comme Mitterrand en 1986, sur le sujet clivant de l'immigration.

C'est évidemment la phrase du ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau, qui estimait dimanche que « l’immigration n’est pas une chance », qui lui a servi de prétexte. Dans un entretien diffusé ce samedi 5 octobre par France Inter, le président de la République a donc tenté de dérouler l'argumentaire éculé de l'immigration heureuse. L'assertion de Retailleau serait « résolument en contradiction […] avec la réalité ». Quelle réalité ? Celle des territoires perdus de la République ? Celle de la sur-représentation immigrée ou issue de l'immigration dans les prisons ? du nombre d'OQTF ? Non, la réalité des gloires françaises issues de l'immigration, ces phares tellement aveuglants qu'ils empêchent de regarder le quotidien de nos rues, de nos prisons, de nos drames. Alors, oui, Macron a invoqué les mânes de la Polonaise Marie Curie et de l'Arménien Aznavour. Il l'a fait sur le ton de l'ironie, ce qui était tout de même un peu malvenu, une semaine après les obsèques de Philippine : « On aurait pu décider qu’on aurait mieux fait de la physique nucléaire sans la Polonaise Marie Curie, qu’on aurait pu danser beaucoup mieux sans Charles Aznavour. » Et, sans ces meurtriers algériens, marocains, etc., n'aurait-on pas pu mieux faire, aussi ?

Au-delà de la vulgate traditionnelle de la gauche immigrationniste (la France est « un pays ouvert, depuis toujours » et « qui a vécu de l’immigration européenne, non-européenne »), on demeure consterné de ne trouver chez ce président confronté à une situation historique explosive aucune analyse en profondeur du phénomène.