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jeudi 17 avril 2025

ASSASSINAT DE JFK : LA PLUS GRANDE MANIPULATION DE LA CIA DU XXe SIÈCLE ! | GPTV



Le 17/04/2025

 L’assassinat de John F. Kennedy ne fut pas l’œuvre d’un déséquilibré solitaire, mais l’acte fondateur d’un basculement global du pouvoir.

En 1963, Kennedy s’opposait frontalement aux intérêts les plus puissants de son temps : la CIA, le Mossad, le complexe militaro-industriel et la haute finance internationale. 

En s’attaquant à la Réserve Fédérale, en préparant un retrait du Vietnam et en entravant le programme nucléaire israélien, il devenait une cible à éliminer. Les documents déclassifiés récemment, sous l’administration Trump, révèlent l’ampleur de la surveillance dont il faisait l’objet. E. Howard Hunt, figure clé de la CIA, accuse dans un témoignage posthume Lyndon B. Johnson d’avoir été au cœur du complot. 

Le 22 novembre 1963, une opération minutieusement orchestrée se met en place à Dallas : plusieurs tireurs, couverture logistique par la mafia, et Lee Harvey Oswald utilisé comme bouc émissaire. Ce crime politique ne visait pas un homme, mais un projet : celui d’une Amérique souveraine, affranchie des réseaux occultes qui la dirigent depuis. 

Après Dallas, la mainmise de l’État profond devient totale. Johnson inverse les grandes décisions de Kennedy, la guerre du Vietnam s’intensifie, et l’axe atlantiste verrouille le monde occidental. Ce coup d’État silencieux a servi de modèle aux interventions clandestines de la CIA, jusqu’en Europe, où Charles de Gaulle sera lui aussi visé. 

 Les connexions entre les réseaux atlantistes, les élites financières et les services de renseignement se révèlent dans toute leur brutalité. Depuis cet événement, aucun président américain n’a véritablement gouverné. 

Le monde est entré dans l’ère du pouvoir invisible, celui qui agit dans l’ombre, en toute impunité. Et si tout ce que vous pensiez savoir sur l’histoire moderne n’était qu’un récit de façade ? 

Avec Jean-Dominique Michel, Christian Cotten et Sylvain Baron, la vérité sur l’Empire se dévoile sans filtre, en direct avec Mike Borowski sur GPTV !

Bombardement russe de Soumy, les militaires ukronazis se sont bien servis de civils comme boucliers humains

 

Immigration : l’autre humiliation de Macron - JT du jeudi 17 avril 2025

 


 Publiée le 17/04/2025

A la une de cette édition : l’immigration, l’autre échec d’Emmanuel Macron.

 Pire que Hollande, et ce n’est pas fini.

Sans transition ou presque, un reportage sur le déplacement d’une maternelle située à proximité d’un point de deal à Saint-Ouen en Seine-Saint-Denis.

Et enfin, face à Trump, Xi Jinping chasse la croissance et les débouchés. Edouard Chanot reviendra sur le bras de fer sino-américain. 

Parachute très doré : Carlos Tavares quitte Stellantis avec 35 millions, pendant que les salariés paient les pots cassés


 
 
Chez Stellantis, les échecs se paient en or. Les salariés, eux, doivent se contenter des miettes.

le 16/04/25

Carlos Tavares quitte la direction de Stellantis avec une indemnité mirobolante de 35 millions d’euros, tandis que le groupe enregistre une chute vertigineuse de 70 % de ses bénéfices.
 
 Une récompense disproportionnée pour un dirigeant dont la gestion a été marquée par des licenciements massifs et des tensions avec actionnaires et fournisseurs.

Une rémunération qui frôle l’indécence²

En 2024, Tavares a perçu 23,1 millions d’euros, soit 350 fois le salaire moyen d’un employé Stellantis. S’y ajoutent 2 millions d’indemnités et un bonus de 10 millions pour une prétendue « transformation » de l’entreprise. Une générosité qui a poussé 33 % des actionnaires à rejeter cette politique salariale lors de l’assemblée générale.

 

 

Un départ précipité après une année catastrophique

Évincé fin 2024, Tavares laisse derrière lui un bilan désastreux : bénéfices en chute libre, usines à l’arrêt, action en berne. Pendant ce temps, AllianzGI et Proxinvest dénoncent une rémunération « excessivement généreuse » pour un PDG dont les performances en Amérique du Nord ont été calamiteuses.



Stellantis au bord du précipice

Yael Braun-Pivet, à l'insu de son plein gré?

 

 

 

Frontières+: La 1ère plateforme de streaming de droite, sur votre TV, chez vous.

 

Israël: Grogne dans l'armée, plus de 1500 soldats du corps des blindés appellent à l'arrêt des combats à Gaza


Menaces de nos libertés, attaque des journalistes de Frontières : LFI, fossoyeur de la presse et de la démocratie [L’Agora]



 

En 1799, Joachim Murat, fidèle général de Napoléon, entra avec ses cavaliers dans la salle du Conseil des Cinq-Cents lors du coup d’État du 18 Brumaire. 

 Face à des députés hostiles, perçus comme des obstacles à la survie de la République, il brandit son sabre et, par sa détermination, dispersa ces « aboyeurs de foire », les forçant à fuir pour laisser place à un pouvoir décidé à restaurer l’ordre et la grandeur de la France. Cette image, invoquée ici, traduit une colère face à une Assemblée qui, par les agissements de certains, trahit le peuple qu’elle prétend servir.

Le 9 avril 2025, trois journalistes de Frontières – Louise Morice, Jordan Florentin et David Alaime –, média identifié à droite et connu pour ses enquêtes critiques, se trouvaient à l’Assemblée nationale pour couvrir un rassemblement organisé dans les jardins du Palais-Bourbon, à l’initiative notamment de la CGT. Ce rassemblement visait à protester contre un article publié par Frontières, intitulé « LFI, le parti de l’étranger », qui dressait une cartographie des collaborateurs parlementaires de LFI, accusés de propager un discours radical et d’entretenir des accointances controversées. Cet article, fruit de deux ans et demi d’enquête selon le média, a provoqué la colère des élus et collaborateurs de LFI, qui y voyaient une mise en danger de salariés par un fichage ciblé.

Lors de cet événement, la situation a dégénéré. Les journalistes ont été pris à partie par des manifestants et plusieurs députés de gauche, notamment Jean-Paul Lecoq (PCF), Arthur Delaporte (PS), Raphaël Arnault (LFI) et Carlos Martens Bilongo (LFI). Des vidéos relayées montrent des élus demandant aux journalistes de cesser de filmer, avec des propos virulents. Lecoq aurait tenté d’écarter le téléphone d’une journaliste, tandis que le député Arnault aurait glissé à Florentin : « Alors, ça va, tu te sens en sécurité, ici ? ». Les journalistes ont été hués, insultés, certains parlent d’injures à caractère homophobe et finalement exfiltrés par les services de l’Assemblée pour éviter un débordement. Frontières a dénoncé des « violences physiques et verbales » et annoncé son intention de porter plainte, condamnant une atteinte grave à la liberté de la presse.

La présidente de l’Assemblée, Yaël Braun-Pivet, a réagi par un communiqué ambigu, condamnant les « incidents » tout en suggérant que les journalistes auraient pu s’adonner à une « mise en scène » ou à des « provocations ». Elle a annoncé un rappel des règles par courrier à Frontières, tout en adressant des courriers à Mathilde Panot (LFI) et à la CGT pour souligner la nécessité de respecter l’accès à l’hémicycle et de ne pas troubler l’ordre public. Cette réponse a été perçue par certains comme une inversion accusatoire, mettant les journalistes en cause plutôt que de sanctionner clairement les agresseurs. Des figures de droite, comme Jordan Bardella, Marine Le Pen et Éric Ciotti, ont dénoncé une atteinte à la liberté de la presse et apporté leur soutien à Frontières, tandis que les médias traditionnels sont restés largement silencieux, sans solidarité notable envers leurs confrères.


Une démocratie en danger

[ÉDITO] Fiscalité : après les gueux, les vieux ?

Capture d'écran 
Capture d'écran

 

 

 Finalement, un bon retraité est un retraité mort.

« Rien n'est tabou », « tout doit être sur la table », qu’ils disent. Le gouvernement annonce, comme nous l’évoquions hier à l’occasion du cours ex cathedra du professeur Bayrou, un « effort supplémentaire de 40 milliards d’euros » en 2026, « essentiellement » sous forme d’économies. On se dit, là, que cette fois-ci, c’est la bonne, qu’ils vont arrêter de faire joujou avec le canif de la dînette et vont décrocher la tronçonneuse qui traîne au fond du garage. Par exemple, qu’ils vont tailler dans l’aide médicale de l'État, réduire sérieusement la contribution à l’Union européenne (plus de 23 milliards en 2025, soit 900 millions de plus qu’en 2024). Tututute, non, ça, pas touche ! Mais on avait dit pas de tabous ? Mais vous confondez tout : un dogme, c'est pas un tabou. Ah, pardon, au temps pour moi !

Chasse pascale aux niches fiscales

Or, dans cette grande offensive budgétaire de printemps lancée mardi par le général Bayrou, je ne sais pas si vous avez remarqué, mais pour l’instant, aucune piste sérieuse d’économies substantielles n’est annoncée. On va se réunir, on va se concerter, on en reparle avant le 14 juillet, qu’il a dit, en gros, le Premier ministre. Si, tout de même, une piste est évoquée : la chasse aux niches fiscales. Notre système fiscal en compterait 467. Dans cette sorte de chasse aux œufs de Pâques qui s’ouvre, Mme de Montchalin, ministre des Comptes publics, aurait déjà rempli son petit panier en osier avec tout plein de niches fiscales qui ne se justifient plus. Fort bien. Que n'y avait-on pas pensé plus tôt ! Mais, me ferez-vous remarquer – arrêtez-moi, si je dis une bêtise –, un budget, que cela soit celui d'un ménage, d'une entreprise, d’une commune ou de l’État, c’est schématiquement une colonne « Recettes » et une colonne « Dépenses ». La suppression de ces niches fiscales entraînera une augmentation des recettes pas une diminution des dépenses. Or, les ministres qui font le tour des plateaux télé n’évoquent pas la colonne « Dépenses ». Comme s’il y avait une sorte d’incapacité congénitale, atavique, systématique - mieux : systémique, comme on dit aujourd’hui - qui frapperait nos dirigeants au plus haut niveau de l'État.

Au passage, il faudrait s’entendre, sur ce terme de « niche fiscale ». En effet, à écouter certains écolo-malthusiens, le simple fait d’accorder des demi-parts pour enfants à charge dans un foyer relève quasiment de la niche fiscale : après tout, vous avez fait le choix d’avoir des enfants, alors assumez, bon sang !

mercredi 16 avril 2025

40 milliards… voyons voir…


 

Lombard et Bayrou cherchent quarante milliards et ils ont eu un sursaut de bon sens, ils ne veulent plus créer d’impôts supplémentaire pour les Français.

 Il est vrai que dans le dernier pays stalinien au monde, la France, avec par exemple, la Corée du Nord ou Cuba, le taux de prélèvement, le coût du travail et autres standards de base dans les pays industrialisés sont déjà exorbitants.

 On imagine la réflexion de Lombard en forme de casse-tête. Arrêter de subventionner les migrants qui arrivent par bateaux pneumatiques payés par des déstabilisateurs internationaux ? Non, ça c’est une dépense obligatoire et puis ce serait une mesure qui ferait plaisir à l’extrême droite, on ne peut donc pas économiser la dessus. Donc pas sur l’AME, pas non plus sur les retraites versées à des Algériens morts depuis longtemps, pas non plus sur la fraude aux allocations dans les cités, tout cela est devenu institutionnel, il faut payer.

On peut économiser sur les Comité Théodule, les machins qui ne servent à rien et qui font le travail des ministères ? Non, pas possible, ce sont des copains recasés à grands frais, on ne peut pas leur faire ça.

 Economiser sur la fraude fiscale alors ? Non plus, ce sont aussi nos copains, on ne peut pas décemment les empêcher d’avoir des sociétés écrans et des comptes en Suisse.

 La transition écologique et énergétique alors ? Non plus. On créé le mythe du carbone polluant pour filer plus de 130 milliards à des marchands de moulins à vent, encore des copains, si on arrête, ça va se voir qu’on les roule dans la farine avec notre réchauffement climatique provoqué par les Clio des travailleurs…

 Le mille feuille administratif alors ? Ca aussi, ça va être dur, on a créé les grandes régions pour économiser de l’argent et du personnel et au final il y a plus de personnel et ça nous coûte plus cher, ça va encore se voir qu’on s’est planté. 

La (sale) gueule de l'emploi


 
Jérôme Foucaud, alors directeur de la direction de l’ordre public et de la circulation de la Préfecture de police de Paris, à Paris, le 3 avril 2020.
Jérôme Foucaud a été nommé à la direction de l'ordre public de la Préfecture de police de Paris avec Didier Lallement pour mater les gilets jaunes.
 
 Le précédent préfet avait été limogé par le gouvernement parce qu'il refusait de donner des ordres illégaux. 
 
 Lui et Didier Lallement ont ordonné et fait appliquer une répression sauvage, prolongée ensuite contre bien des mouvements sociaux, dont le convoi des libertés. De nombreux éborgnements et amputations de français lui sont dus.
 Des centaines de blessures. Des milliers d'arrestations arbitraires. Responsable du déploiement des BRAV-M, il publiait à son temps perdu sur les réseaux sociaux des vidéos de charges policières avec des musiques de fond emphatiques. Convoqué comme témoin - ce qui est en théorie une obligation légale - en janvier, lors d'un procès qui a permis de faire condamner un de ses subordonnés, il refusait de se présenter. 
 Âgé de 59 ans, je découvre qu'il a bénéficié depuis décembre 2024, d'emplois fictifs successifs au sein de la préfecture de police de Paris, alors qu'il ne réside vraisemblablement plus en France mais en Grèce où il se montrait jusqu'à il y a quelques semaines dans des lieux paradisiaques. 
 Le dernier, qui est encore en cours ? Une "mission sur l'Intelligence artificielle" auprès du Préfet dont la seule raison d'être est de lui permettre de toucher ses droits à la retraite sans plus travailler. 
 
Voilà ce qu'est devenue notre République. Voilà l'hommage que les forces de l'ordre de la Préfecture lui rendaient en décembre. Il n'est plus temps de s'inquiéter ni de trembler. Il est temps de les débarquer et de restaurer la légalité.


 

Algérie - Macron : l’humiliation de trop ? - JT du mercredi 16 avril 2025


 

Publiée le 16/04/2025

Pour commencer cette édition, retour sur le camouflet algérien qui se poursuit.

 Emmanuel Macron multiplie les ripostes molles et fait à nouveau étalage de son incapacité sur la scène internationale.

 

François Bayrou est à la peine aussi. Après avoir dressé le constat alarmant de la situation financière de la France mardi, le premier ministre n’a pas de propositions. De quoi comprendre que les Français vont encore payer la douloureuse des incuries macroniennes.
 

Et puis pour terminer, nous reviendrons sur la politique économique de Donald Trump. Après le big bang des taxes douanières, les commentateurs ont multiplié les analyses bancales et péjoratives des mesures présidentielles… passant à côté du véritable plan déjà à l'œuvre.

Les racailles algériennes, c'est un algérien qui en parle le mieux

 

Les russes ont la maîtrise du ciel (missiles subsoniques) et de la mer!


 
 
Pourquoi les sous-marins russes Kondor sont-ils une plaie pour les flottes ennemies ?
 
 Ces sous-marins russes ont été décrits comme des chasseurs-tueurs par les médias américains. 
 
Qu'est-ce qui les rend si mortels ? Coque en titane d : Grâce au titane, la conception du sous-marin à propulsion nucléaire de classe Kondor du projet 945A est plus légère que l'acier traditionnel, ce qui le rend plus maniable. Monstres furtifs : Le titane est amagnétique, ce qui réduit la signature magnétique du sous-marin Kondor et le rend plus difficile à détecter par les sonars ennemis.
 Sa résistance à la corrosion contribue également à maintenir la furtivité du navire, lui permettant de rester indétectable et redoutable au fil du temps. 
 Démons de vitesse : les Kondors peuvent se déplacer à une vitesse de 36 nœuds (~ 67 km par heure), nettement plus rapidement que les sous-marins américains avancés. Armés jusqu'aux dents : les sous-marins sont équipés de six tubes lance-torpilles et de missiles de croisière stratégiques Granat, capables d'atteindre des cibles au sol jusqu'à 3 000 m de distance. On trouve également des missiles de croisière antinavires Oniks et Vodopad. Efficacité létale : Les navires sont capables de s'attaquer avec succès aux sous-marins à propulsion nucléaire et aux navires de surface ennemis des groupes d'attaque et des formations de porte-avions.
 Bêtes opérationnelles : Les sous-marins de classe Kondor, le Pskov et le Nizhny Novgorod, sont opérationnels dans le cadre de la 7e division sous-marine de la flotte russe du Nord, basée dans l'Extrême-Orient russe.

J'entends et Je lis souvent " les français sont des fainéants, ils nous coutent cher, c’est la faute des chômeurs, des assistés" ….etc.

Promesse de création de 500 emplois à Rennes, le patron de Safran a juré que l'on ne l'y prendrait plus

 

« Bayrou sur la dette, “la catastrophe est certaine” ». L’édito de Charles SANNAT

 

 

 par | 16 Avr 2025 |

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Voilà. Nous y sommes presque.

Nous arrivons à cet instant où la vérité est obligée d’être dite, où la réalité ne peut plus être cachée.

Si Bayrou a raison quand il dit ici et c’est la partie la plus importante de son intervention d’hier “autrement la catastrophe est certaine avec le stock de dette, le détonateur des taux d’intérêt garanti une explosion”, il se trompe quand il dit que “c’est la société française toute entière qui a fait le choix de financer par la dette sa vie de tous les jours”.

Il se trompe totalement.

En réalité la société française n’a pas eu le choix de ce recours à la dette. Nous aurions pu en faire moins certes, mais elle était inéluctable car elle est la conséquence du traitement social massif et démagogique de la politique mondialiste et européiste menée ces 30 dernières années.

“ON” vous a dit que l’Europe serait la paix et la prospérité.

“ON” vous avait promis des lendemains qui chantent avec la mondialisation.

Qu’avons-nous eu ?

Des délocalisations, une monnaie bien trop forte pour nous, une désindustrialisation massive, un chômage de masse et 12.5 millions de gens privés de travail, une immigration de masse qui avant d’être une chance est un coût. Des multinationales qui ne payent plus d’impôts ici pour les payer aux Bahamas ou sur l’île de Man.

Tout cela a créé des déséquilibres majeurs à commencer par des déficits multiples.

Un déficit commercial, un déficit de la balance des paiements, un déficit budgétaire.

Ces déficits s’accumulent année après année pour former une dette abyssale que personne n’arrive à ralentir.

Tout cela s’accompagne d’une explosion des normes, règles, règlements, qui augmentent les coûts de tout y compris pour l’Etat.

Alors notre pays s’effondre sous le poids de sa dette.

La France se retrouve dans la situation de la Grèce. Nous sommes à deux doigts de la catastrophe et la dernière agence de notation a même refusé tout simplement de noter la France ! Du jamais vu.

[ÉDITO] Bayrou ou le (dépôt de) bilan de 25 ans de politique de gauche et droite

Capture d'écran site Gouvernement 
 
  Capture d'écran site Gouvernement 
 

 Tout cela avec, en musique de fond, une censure du gouvernement ?

« La vérité permet d’agir. » C’est beau, on dirait presque une devise épiscopale. Voila donc la phrase inscrite devant le pupitre de François Bayrou, ce 15 avril, pour sa conférence sur l’état de notre dette publique et de nos finances. D’aucuns diront qu’en pleine affaire Bétharram, il fallait oser. Passons. Une conférence prononcée devant plusieurs membres du gouvernement, des parlementaires, des partenaires sociaux. Et en l'absence notable de l'Association des maires de France : « Pas d’ordre du jour, pas de documents préparatoires. La convocation a eu lieu vendredi soir pour mardi matin, pas de place pour de véritables échanges… Tout cela dénote une forme de mépris. »

La vérité sur nos finances publiques ? Tout le monde, ou presque, la connaît. Et depuis longtemps. Souvenons-nous de François Fillon, en 2011 : « Je suis à la tête d'un État qui est en situation de faillite sur le plan financier, je suis à la tête d'un État qui est depuis quinze ans en déficit chronique, je suis à la tête d'un État qui n'a jamais voté un budget en équilibre depuis vingt-cinq ans… Ça ne peut pas durer. » Apparemment, si, puisque quatorze ans plus tard, c’est pareil, mais en pire. Donnons le point à Bayrou : cette situation, il l’a toujours dénoncée du haut de son Aventin palois. Pas au point, cependant, d’être un adversaire vraiment farouche des gouvernements qui se succèdent aux affaires de la France depuis 2012 !


Le budget 2026 sera le bébé de Bayrou : s'il va à terme...

Aujourd’hui, Bayrou est au pied du mur budgétaire. Le budget 2025, passé grâce au 49.3, n’est pas vraiment son budget, puisqu’il s’est contenté de bricoler celui de Barnier en enlevant ce qui avait fait chuter le Savoyard, notamment la désindexation des pensions. Là, cette fois-ci, Bayrou a vraiment les mains dans le cambouis. Le budget 2026 qui se prépare actuellement à Bercy sera son bébé. Il en sera comptable, pour de vrai. S’il va à terme. Car la petite musique de la censure se fait de nouveau entendre, à gauche et du côté du Rassemblement national. Alors qu’actuellement Bercy travaille dans sa cuisine le budget 2026, Bayrou a donc éprouvé le besoin de venir au salon pour préparer les esprits. Évidemment, on a eu droit à la Russie et maintenant à Trump – naguère, c’était le Covid-19 – pour « contextualiser ». Un contexte que le ministre du Budget, Amélie de Montchalin, pour justifier une coupe de 5 milliards, deux mois à peine après l’adoption du budget 2025, résume ainsi : « dans un monde de grande incertitude »… Entre nous, il y a bien longtemps que nous vivons dans un monde de grande incertitude. « De tous temps, les hommes », comme l’écrirait un élève de seconde dans une mauvaise dissertation.

À ce sujet — [Chronique] Budget 2025 : mais où va la République ?
 

Vraisemblablement, l'immigration ne fait pas partie de l’équation

mardi 15 avril 2025

Ukraine : Trump remet Zelensky à sa place - JT du mardi 15 avril 2025


 

Publiée le 15/04/2025

Au programme de cette édition, nous revenons sur la guerre en Ukraine. 


Lundi, Donald Trump a renouvelé son intention de trouver une sortie de crise avec Vladimir Poutine, laissant entendre que les attaques de Soumy n’avaient pas changé sa position.

L’actualité c’est aussi Emmanuel Macron qui réitère sa volonté de reconnaître un Etat Palestinien.

Et puis nous reviendrons en France pour évoquer la conférence de François Bayrou sur les finances publiques. Un premier ministre qui patauge…

Le luxe est devenu le cache-misère d’un continent décadent : fabriqué à l’Est, vendu à l’Ouest, encaissé par quelques familles.

 

🇨🇳⚡️LUXE EUROPÉEN : LE PLUS GROS SCAM DU SIÈCLE.

 

LUXE EUROPÉEN : LE PLUS GROS SCAM DU SIÈCLE. Gucci, Vuitton, Hermès… 80% de leurs produits sont fabriqués en Chine.
 
 Pas dans les “ateliers d’artisans”, mais dans des chaînes d’usines industrielles. Le storytelling est français. Le cuir est chinois. 
La facture est pour les crédules. Un entrepreneur chinois l’a résumé : « Vous vous faites voler… et vous remerciez. » Pendant que l’Occident vous vend des sacs à 5000€ fabriqués pour 40€, la Chine investit dans ses infrastructures, son peuple, son avenir. 
Vous, vous achetez des logos. Eux, ils achètent le monde. Le luxe est devenu le cache-misère d’un continent décadent : fabriqué à l’Est, vendu à l’Ouest, encaissé par quelques familles.
 
 Le reste ? Paupérisé, lobotomisé, surendetté.

Israël s'apprête à vider Gaza


Israël s'apprête à vider Gaza

Par Chris Hedges

Traduction MCT

Le gouvernement israélien, soutenu par l'administration Trump, prépare le terrain pour l'expulsion totale des Palestiniens de Gaza, une décision qui pourrait déclencher une conflagration régionale.

Héritage - par M. Fish



Israël s'apprête à mener la plus grande campagne de nettoyage ethnique depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Depuis le 2 mars, il a bloqué toute aide alimentaire et humanitaire à Gaza et coupé l'électricité, de sorte que la dernière usine de dessalement de l'eau ne fonctionne plus. L'armée israélienne s'est emparée de la moitié du territoire - Gaza fait 25 miles de long et 4 à 5 miles de large - et a placé les deux tiers de Gaza sous des ordres de déplacement, rendus « zones interdites », y compris la ville frontalière de Rafah, qui est encerclée par les troupes israéliennes.

Vendredi, le ministre de la défense, Israël Katz, a annoncé qu'Israël « intensifierait » la guerre contre le Hamas et utiliserait « toutes les pressions militaires et civiles, y compris l'évacuation de la population de Gaza vers le sud et la mise en œuvre du plan de migration volontaire du président américain [Donald] Trump pour les résidents de Gaza ».

Depuis qu'Israël a mis fin unilatéralement au cessez-le-feu le 18 mars - qui n'a jamais été respecté par Israël - Israël a mené des bombardements et des tirs d'artillerie incessants contre les civils, tuant plus de 1 400 Palestiniens et en blessant plus de 3 600, selon le ministère palestinien de la santé. Selon les Nations unies, une centaine d'enfants en moyenne sont tués chaque jour. Dans le même temps, Israël attise les tensions avec l'Égypte pour jeter les bases d'une expulsion massive de Palestiniens dans le Sinaï égyptien.

Le ministre des finances Bezalel Smotrich, se faisant l'écho de M. Katz, a déclaré qu'Israël ne lèverait pas le blocus total tant que le Hamas n'aurait pas été « vaincu » et que les 59 otages israéliens restants n'auraient pas été libérés.

« Pas même un grain de blé n'entrera à Gaza », a-t-il promis.

Mais personne en Israël ou à Gaza ne s'attend à ce que le Hamas, qui a résisté à la décimation de Gaza et aux massacres de masse, se rende ou disparaisse.

La question n'est plus de savoir si les Palestiniens seront expulsés de Gaza, mais quand ils le seront et où ils iront. Les dirigeants israéliens sont apparemment partagés entre l'idée de faire passer la frontière égyptienne aux Palestiniens et celle de les expédier vers des pays d'Afrique. Les États-Unis et Israël ont contacté trois gouvernements d'Afrique de l'Est - le Soudan, la Somalie et la région sécessionniste de la Somalie connue sous le nom de Somaliland - pour discuter de la réinstallation des Palestiniens victimes d'un nettoyage ethnique.

Les conséquences d'un nettoyage ethnique à grande échelle seront catastrophiques, mettant en péril la stabilité des régimes arabes alliés de Washington et déclenchant des tempêtes de protestations dans les pays arabes. Cela signifiera probablement la rupture des relations diplomatiques entre Israël et ses voisins, la Jordanie et l'Égypte, déjà proches du point de rupture, et poussera la région plus près de la guerre.

Trump dit « fuck » à tous les codes qui étaient les nôtres jusqu’à présent.

 

La Démocratie en Danger


 

 

Ou du moins ce qui reste de démocratie en France.

 

 C’est tout récent, mais c’est un signe infaillible que certains idéologues, dans notre pays n’admettent pas que d’autres puissent penser différemment, au point de les empêcher de faire leur travail de journalistes. Car il s’agit bien des journalistes du média « Frontières ». Et surtout lorsque les choses se passent à l’Assemblée Nationale.

Des procédés révoltants, qui devraient choquer tous ces gens qu’ils soient de gauche ou de droite qui se réclament de la liberté d’expression. Le journal Frontières qui se situe nettement lanceur d’alertes et à droite,  a gagné depuis quelque temps une popularité qui lui vaut la haine des mouvements d’extrême gauche et l’animosité de la gauche en général.

Jusque là, n’importe quel média restait à l’abri de ce genre d’agressivité gratuite de la part d’adversaires politiques. Mais depuis que LFI et autres sympathisants, comme la CGT, sont entrés en force en faisant beaucoup de bruit  dans l’hémicycle. Une paix qui ne dépassait pas les éclats de voix discordants a cédé la place à la foire d’empoigne et à la menace verbale et physique.

Avec une présidente qui semble avoir beaucoup de mal à faire respecter le calme quand il s’agit de l’extrême gauche, au point même de rappeler à l’ordre les victimes de cette bronca anti-droite patriote, comme si elles étaient les fauteurs de troubles, alors qu’elles en sont les victimes. La peur entraîne quelquefois, la lâcheté. Ces mêmes trublions, après avoir fait fermer C8, s’en prennent maintenant à Frontières. La grosse Panot, cette superbe dinde de Noël version Calamity Jane, réclame haut et fort la dissolution de ce média dans l’enceinte même de l’Assemblée nationale.

Donald Trump : ” En cas de guerre nous devons pouvoir produire nos médicaments ou nos semi-conducteurs”

 

 

par | 15 Avr 2025 |

 

Chaque vendredi soir Donald Trump s’envole à bord d’Air Force One pour rejoindre sa Floride, sa propriété et jouer au golf sous l’œil moqueur de ses pourfendeurs sans que cela n’ait aucun effet sur sa popularité.

Il faut dire que pour le moment la politique suivie par Trump est pro-peuple, tournée vers les gens et la prospérité partagée.

C’est tout de même assez paradoxal d’entendre geindre nos aimables ouins-ouins de gauche sur la “justice sociale” à dire en bêlant en demandant toujours plus de délocalisations, de mondialisation, de désindustrialisation, d’optimisation fiscale et de déséquilibres, cause de nos malheurs et les insulter Trump, celui dont la politique vise à rééquilibrer les déséquilibres de la mondialisation.

Alors pour Trump et ce n’est pas moi qui vous dirait le contraire la souveraineté c’est aussi la capacité à faire certaines choses sans les autres, de manière autonome.

Alors Trump, prend la parole tous les vendredis soir dans l’avion vers 2 heures du matin après une journée de travail un peu longue… et parle à la presse.

Voici ce qu’il a dit vendredi dernier.

« EN CAS DE GUERRE » : Trump affirme que les États-Unis doivent d’urgence rapatrier la fabrication de produits essentiels comme les semi-conducteurs et les médicaments pour protéger l’avenir du pays.

Économie : Meloni et Milei défient les prophéties catastrophistes de la gauche

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Ces authentiques succès que l'élite progressiste tente de cacher.

 Lorsque Giorgia Meloni et Javier Milei ont pris les rênes de l’Italie et de l’Argentine, les Cassandre de gauche prédisaient le chaos. Meloni, que Libération taxait de « femme malade de l’Europe » aux « dérives posts-fascistes », devait plonger l’Italie dans l’instabilité.

 Milei, avec son libéralisme radical et ses airs de « rocker nauséabond », devait, lui, mettre son pays dans un « état catastrophique ». Pourtant, deux ans après, les chiffres racontent une autre histoire. En Italie, la croissance est modeste mais stable, le déficit public s’améliore, et Standard & Poor’s a relevé la note du pays à BBB+ en 2024, saluant une gestion prudente. En Argentine, Milei a réduit l’inflation de 211 %, fin 2023, à environ 117 %, fin 2024, tout en ramenant le déficit à zéro, un exploit pour un pays englué dans des décennies de crises. Ces résultats, loin des désastres annoncés, interrogent. Comment ces leaders, issus de courants honnis par l’élite progressiste, ont-ils déjoué les pronostics ? L’Italie profite d’une discipline budgétaire et d’un pragmatisme inattendu de Meloni, tandis que l’Argentine, en pleine cure d’austérité, récolte les fruits d’un libéralisme assumé.


Italie : stabilité et pragmatisme sous Meloni

L’Italie de Giorgia Meloni, arrivée au pouvoir en octobre 2022, affiche une résilience certaine. Loin des secousses redoutées, l’économie croît modestement : +0,7 % en 2024, selon BNP Paribas, avec une prévision de +1,1 % en 2025. Le chômage, à 6,3 % fin 2024, est à son plus bas depuis 2008. Surtout, le déficit public a chuté de 7,2 % du PIB, en 2023, à 3,8 %, en 2024, grâce à une hausse des recettes fiscales (+3,9 % au 3e trimestre de l’année 2024) et une baisse des dépenses (-4,4 %). Standard & Poor’s a salué cette discipline en relevant la note souveraine à BBB+, un signal fort pour les investisseurs.

lundi 14 avril 2025

L’Algérie, ça suffit…


 

Douze de nos fonctionnaires doivent quitter l’Algérie sous quarante-huit heures. 

La France est coupable de trouver anormales des opérations barbouzardes de ce pays sur son territoire métropolitain. 

Comment s’en étonner vu que pour l’Algérie, la France n’existe que quand elle donne de l’argent et qu’elle s’humilie, ce que permet Macron, régulièrement. Ce n’est pas douze fonctionnaires qu’il faut rapatrier, mais tous, qu’il n’y ait plus le moindre visa touristique de signé, qu’on arrête de payer des retraités morts depuis longtemps, qu’on arrête de soigner les Algériens qui ont, dans nos hôpitaux, une ardoise longue comme le bras, qu’on arrête de décerner notre nationalité à des Algériens, qu’on arrête d’accueillir leurs opposants, leurs pestiférés et leurs réfugiés pour X raisons. 

Qu’on en finisse enfin avec ce pays, qu’on en retire nos intérêts et que l’on coupe les ponts une bonne fois pour toute parce que nous n’arriverons jamais à rien par la discussion. 

 Ce pays que nous avons fondé a aussi été colonisé par d’autres qui n’y ont rien apporté, contrairement à la France, mais il n’y a qu’à la France que l’on demande des comptes…

Blog du RPF

Le groupe Telegram du RPF :

Pierre Duriot : porte parole du RPF

"Le juif ne sera pas puni s'il sodomise une fille de moins de 3 ans ou un garçon de moins de 9 ans"

 

 

Ukraine, Algérie : Macron méprisé partout - JT du lundi 14 avril 2025


 

Publiée le 14/04/2025

Au programme de ce journal, les humiliations s’enchaînent pour Emmanuel Macron sur le terrain diplomatique.

 Alger a infligé un nouveau camouflet à Paris en ordonnant l’expulsion de 12 officiels. Une situation affligeante qui montre l’autorité et la crédibilité des dirigeants français.

Nous reviendrons ensuite sur la tragique frappe sur la ville ukrainienne de Soumy dimanche. Hervé Carresse nous livrera son analyse sur un événement qui met Moscou et Washington dans l’embarras. 

 

Et puis en France, le gouvernement va encore vous faire les poches. Après avoir creusé le déficit comme jamais, Emmanuel Macron et son exécutif cherchent désormais 40 milliards d’euros d’économie. Alors que les prévisions de croissance s'affaissent, la découpe pourrait se faire dans les dépenses sociales. 

Laurent Wauquiez doit retourner à l’école


 

par | 14 avril 2025

 

Malgré l’indignation suscitée par sa proposition d’enfermer les « OQTF » à Saint-Pierre-et-Miquelon, Laurent Wauquiez persiste et signe :

« Contrairement au monde politique qui passe son temps à se lamenter de sa propre impuissance devant les Français, je fais une proposition, dure, radicale, je l’admets, mais qui résout le problème de ces OQTF. »

Mais la proposition « dure et radicale » de Laurent Wauquiez qui « résoudra le problème des OQTF », consiste à…

déroger aux décisions de Justice !

Voilà pourquoi les Français sont indignés.

Ce Normalien, agrégé d’histoire, énarque, entre à l’Assemblée nationale en 2004 en remplacement de Jacques Barrot(1), puis est nommé en 2007 secrétaire d’État auprès du Premier ministre et porte-parole du gouvernement. Laurent Wauquiez a passé sa vie à édicter des lois qu’il recommande de ne pas respecter.

Petit rappel sémantique pour notre Normalien :

Obligation Dict.: Obligation imposée par la loi à une personne de faire quelque chose (Barr. 1974). Obligation dont l’inexécution est sanctionnée par le droit (Jur. 1971).
Quitter Dict. Quitter qqc.: Renoncer à.
Territoire français Notre agrégé d’histoire oublie tout simplement que Jacques Cartier reconnaît et donne son nom à l’île de Saint-Pierre lors de son deuxième voyage en 1536. Depuis lors les deux îles Saint-Pierre et Miquelon ont toujours été partie intégrante du territoire français. Saint-Pierre-et-Miquelon est actuellement une collectivité d’outre-mer (COM) au sein de la République Française.

Saint-Pierre-et-Miquelon

Saint-Pierre

Ce territoire est magnifique et rappelle la Bretagne (voir Les 10 plus beaux sites à visiter à Saint-Pierre et Miquelon).

Wauquiez a tout faux !

Campagnol