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Les municipales doivent devenir la première des sanctions


 

 

Les faisceaux de culpabilité se multiplient et prouvent que la mission de nos politiciens est de liquider l’agriculture française, sans que les parlementaires ne lèvent le petit doigt.

 Il y a d’abord un vaccin qui est imposé, mais qui ne permet pas aux bêtes l’ayant reçu et ne présentant pas de signe de cette affection, qui guérit seule dans 95% des cas, d’éviter la mort. Il y a les dernières modalités des accords du Mercosur signé et en même temps cette épidémie qui apparaît comme par enchantement ou devrait-on dire, comme un maléfice. Il y a ces animaux qui sans se croiser et après ce vaccin déclenchent des cas, alors que théoriquement ce sont les mouches qui peuvent véhiculer la maladie, ce qui en cette saison est quand même plus compliqué vu que leur activité est très réduite. Il y a cette chape de plomb qui s’abat sur tous les vétérinaires qui osent courageusement refuser d’exterminer ces bêtes, et qui se retrouvent radiés par l’ordre des vétérinaires, autre bras armé du pouvoir. Au RPF nous sommes pour la suppression de tous ces ordres, héritage de Pétain. Le pouvoir fait état de la science pour justifier ce massacre, quand les mêmes professionnels crient au scandale et se font sanctionner lorsqu’ils refusent d’exécuter les ordres manifestement illégaux. En Suisse, on pratique, pour la même maladie, l’abattage ciblé et en dernier recours et on s’en sort mieux qu’en France où on explique que l’abattage systématique est « la seule solution ». Elément de langage qui rappelle le Covid, avec le vaccin comme « seule solution » également.

Il y a le rapport de Moscovici, de la Cour des comptes, qui annonce que le cheptel de bovin doit être diminué de 20% pour satisfaire les exigences du pacte vert, et tendre vers cette diminution drastique des émissions de CO2. Parce que c’est bien connu, ce sont les Français, toujours eux, responsables de tous les maux de la planète, et par une compensation expiatoire obligatoire, ils doivent donner l’exemple, et donc se sacrifier. C’est vrai que faire disparaître l’élevage en France et remplacer la viande produite sur place par celle venant du bout du monde, bourrée d’activateurs de croissance est écologiquement plus vertueux. Dans le même temps l’impératrice de l’Europe Ursula décide unilatéralement, comme toujours, de limiter les jours de pêche pour contribuer à démanteler avec notre filière bovine, la pêche française. Tout ceci se faisant sous le nez de nos parlementaires qui, malgré notre saisie individuelle sur le drame humain et les conséquences catastrophiques qui seraient induites en référence à ces décisions, restent obstinément silencieux. Ils se font les complices de la disparition de notre agriculture et ce qui est plus grave, ils livrent le pays à la dépendance de l’étranger, sous couvert d’accords commerciaux qui n’assurent pas pour autant la sécurité alimentaire de 67 millions de français. Ils sont donc coupables d’abandonner la population au profit d’intérêts extérieurs, choisissant de fait leur camp, qui n’est pas celui de la France. Ils sont tous damnables de collusion, ce qui est assimilable à de la haute trahison, même si l’ex-prisonnier Sarkozy l’avait soigneusement fait disparaître, sans doute conscient de ce qui allait se passer après sa félonie de 2005.

Cette époque n’est plus la mienne…


 

Cette époque n’est plus la mienne… je ne m’y sens vraiment plus bien.

Nous risquons chaque jour notre vie en nous promenant, nous sommes essorés par les impôts en tous genres, ces abrutis de politiciens complètement incompétents ne savent que nous pondre des impôts supplémentaires pour assouvir leurs besoins sans jamais penser à réaliser la moindre économie.  En fait nous sommes revenus au temps des seigneurs et des manants que d’autres appellent les gueux. Il est grand temps de foutre ces soi-disant « seigneurs » dehors et les obliger une fois dans leur vie à travailler et ne pas se contenter des énormes salaires payés par leurs compatriotes.

Comment ne pas être révolté quand on entend la rombière Ernotte essayer de se défendre face à la commission d’enquête parlementaire alors qu’elle touche un salaire plus qu’indécent pour diriger une société qui a un déficit abyssal.  

Evidemment elle s’en fout complètement puisqu’elle sait pertinemment qu’à la sortie ce seront une fois de plus les contribuables Français qui paieront.  Elle a un salaire de 400000 € annuel pour mener une société à la faillite, sa retraite future sera calculée sur ces gains actuels et surtout et c’est ce qui est le plus grave pour ne pas respecter ses obligations de neutralité et de pluralisme !

Tous les concurrents privés font des bénéfices mais elle coûte à la société Française plus de 4 milliards par an il est vrai qu’en employant plus de 9000 personnes avec des salaires mirifiques là ou il en faudrait peut-être 3000 il est compliqué de gagner de l’argent.  Tout ça pour une poignée de journaleux qui complotent avec le parti socialope dans les cafés du 7° arrondissement, qui osent se réserver des suites dans des hôtels à 1700€ la nuit, qui dépensent plus de 120000€ par jour de taxi… On finance plus de journaleux gauchistes chez France télévision que de chirurgiens dans l’hôpital public (6000) ça veut dire qu’en France on peut crever aux urgences mais ce n’est pas grave puisque nous avons une télé de merde avec des programmes de merde !

ALERTE – L’UE sanctionne Xavier Moreau : gel des avoirs et interdiction d’entrée


 

Sanction sans juge, effet concret immédiat : plus d’accès aux biens en UE, plus de transit.

mise à jour le 16/12/25 

« Je suis sanctionné sans procès, sans accusation, sans jugement » – Xavier Moreau

 Le Conseil de l’UE a ajouté Xavier Moreau à la liste “menaces hybrides” : gel des avoirs et interdiction d’entrer ou de transiter dans l’Union. Bruxelles lui reproche d’alimenter des récits pro-Kremlin via Stratpol et ses prises de parole.

Ce 15 décembre 2025, l’Union européenne a ajouté Xavier Moreau à sa liste de personnes sanctionnées pour diffusion de désinformation pro-Kremlin. Gel des avoirs en Europe, interdiction d’entrée sur le territoire : des mesures lourdes contre un ancien officier français installé à Moscou depuis plus de vingt ans. Pour beaucoup, cela ressemble à une punition pour des idées qui dérangent le narratif officiel sur l’Ukraine.

Ce qui est reproché exactement à Xavier Moreau

Bruxelles l’accuse de relayer la propagande russe via son site Stratpol et ses interventions. Il diffuse des analyses qui contredisent la version dominante : par exemple, que Kiev aurait provoqué le conflit pour accélérer son entrée dans l’OTAN, ou que les sabotages comme Nord Stream seraient l’œuvre d’acteurs occidentaux. L’UE le qualifie de « porte-parole pro-Kremlin » responsable d’actions qui menacent la sécurité européenne.

Ces sanctions s’inscrivent dans un paquet plus large contre les « activités hybrides » russes : manipulation d’information, ingérences. Douze individus visés, dont l’ancien colonel suisse Jacques Baud pour des raisons similaires. La France a poussé cette décision, Jean-Noël Barrot parlant de « relais de la propagande du Kremlin en Europe ».

Xavier Moreau, lui, ironise sur X : « Merci de reconnaître la qualité de mon travail ! Je suis le numéro UN ! ». Il conseille VPN et Telegram à ses followers pour contourner les restrictions.

Et il estime que les sanctions européennes contre des personnes physiques n’ont « aucun impact » sur l’évolution de l’opération militaire spéciale russe. Il a également ajouté « qu’il faut vraiment considérer l’Union européenne et l’Otan comme des acteurs irrationnels », car ces sanctions antirusses « ont eu exactement l’effet inverse » et « les gens se sont au contraire rangés derrière Vladimir Poutine, derrière la Russie, pour l’opération militaire spéciale ».

Une comparaison qui revient souvent : la loi Gayssot

Beaucoup y voient un parallèle avec la loi Gayssot de 1990 en France, qui pénalise la contestation des crimes contre l’humanité pour qui nie ou minimise la Shoah.

Ici, pas besoin de procès, juste une décision du Conseil de l’UE. Pourtant, le principe frappe : sanctionner quelqu’un pour ce qu’il dit, parce que ses paroles sont jugées fausses ou dangereuses par l’autorité. En 2025, on cible des discours sur un conflit en cours, sans jugement indépendant, juste sur qualification de « désinformation » par les institutions européennes.

Les sanctions contre Xavier Moreau portent sur des interprétations géopolitiques actuelles, où les versions divergent violemment.

Quand exprimer un point de vue pro-russe devient risqué en Europe

Depuis 2022, l’UE a banni RT et Sputnik, fermé des comptes, poussé les plateformes à déréférencer des contenus prorusses. Aujourd’hui, on passe aux individus, même citoyens européens. Vivre en Russie et analyser la guerre hors du cadre pro-UE/pro-Ukraine expose à des conséquences concrètes : plus d’accès à ses biens en Europe, plus de voyages.

C’est une porte ouverte à la censure : demain, quelles opinions seront jugées « déstabilisantes » ? En Europe, on frappe ceux qui épousent trop la ligne de Moscou. Et ceux qui partagent ces contenus sans distance critique risquent, indirectement, d’être vus comme complices.

Un précédent qui pourrait s’étendre

Ces mesures ne datent pas d’hier : l’UE a déjà un régime spécifique contre les « activités déstabilisatrices » russes depuis 2024. Mais cibler des analystes comme Moreau ou Baud, connus pour leurs livres et vidéos, marque un pas.

« Oui, j’ai été sanctionné pour « propagande russe ». Le fait que je n’utilise jamais de matériel russe pour mes livres, mais exclusivement des informations ukrainiennes et occidentales et que j’ai par conséquent refusé des invitations de médias russes, je reste quand même un « propagandiste russe » ! Comme je l’ai indiqué dans mes livres, mon travail ne porte pas sur qui est bon et qui est mauvais, mais sur la manière dont les médias reflètent mal les réalités sur le terrain. Je voulais montrer qu’on peut mieux comprendre le conflit même sans informations russes. L’idée est que la façon dont on comprend une crise définit la façon de la résoudre ! Je n’avais pas réalisé à quel point j’avais raison » – Jacques Baud

Aux États-Unis, on débat de lois contre la désinformation étrangère ; en Europe, on agit déjà.

Reste que punir des paroles, sans tribunal, pose question. Si l’objectif est de protéger la démocratie, commencer par limiter les voix dissidentes, même prorusses, peut finir par l’affaiblir. Xavier Moreau continue depuis Moscou ; ses idées, elles, circulent toujours via VPN. La sanction l’isole en Europe, mais renforce peut-être son audience ailleurs.

Cela fait fortement écho au livre de Rachida Achachi, « Comprendre la Russie : des origines à nos jours ». Il y montre que l’hostilité et le racisme de l’Occident à l’égard de la Russie ne date pas d’hier, mais s’inscrit dans une longue continuité historique. Et, une fois encore, ce qui se dit ici en apporte une illustration.


Orban dénonce : Le géant UE s'écroule, l'implosion de la corruption


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À Strasbourg, un séisme politique est en cours, un événement retentissant impulsé par 𝗩𝗶𝗰𝘁𝗼𝗿 𝗢𝗿𝗯𝗮́𝗻.
 
On parle d'un véritable "𝐭𝐫𝐞𝐦𝐛𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝐭𝐞𝐫𝐫𝐞 𝐩𝐨𝐥𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐞𝐮𝐫𝐨𝐩𝐞́𝐞𝐧".
Ursula von der Leyen et Friedrich Merz quittent la salle, et c'est là qu'Orbán entre en scène, armé de faits et de chiffres assassins. "Votre empire de mensonges s'écroule aujourd'hui !" lance-t-il.
Le silence est suivi du chaos. Même les services de sécurité doivent intervenir.
De sang-froid, Orbán déroule son attaque, documents à l'appui. Il lit mot pour mot : dossiers, virements bancaires, correspondances internes officielles. Il affirme que plus de 5 milliards d'euros de fonds de l'UE ont été détournés, dépensés ou réaffectés. Des sommes initialement destinées aux infrastructures, à l'éducation et à la science auraient disparu au profit d'une structure politique liée à Ursula von der Leyen.
Pendant qu'Orbán parle, on peut littéralement voir les visages des Commissaires Européens se décomposer. Von der Leyen s'efface légèrement, comme si elle n'était pas concernée. Merz, lui, reste muet !
Sans s'arrêter, Orbán poursuit son implacable exposé, dévoilant des documents qui relient l'argent de l'UE à des sociétés de conseil allemandes. Ces mêmes sociétés entretiennent des liens étroits et anciens avec Hanovre, la région natale de von der Leyen. Cinq millions d'euros pour des projets uniquement sur papier, des projets qui n'existent pas.

lundi 15 décembre 2025

La hyène n'aime pas les tracteurs

dimanche 14 décembre 2025

Macron et Genevard, les bouchers de la France !

 


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L'Informateur
France : Le Pr. Jean-Marc Sabatier démasque le scandale : abattre des vaches saines pour 1% de mortalité
Publié le 13.12.2025 
 
Pr. Jean-Marc Sabatier, chercheur au CNRS, docteur en biologie cellulaire et microbiologie, habilité à diriger des recherches en biochimie :
Jean-Marc Sabatier,un chercheur du CNRS juge que l'abattage systématique n'est pas nécessaire au regard de la maladie (Dermatose nodulaire Contagieuse).
Il apporte des éléments scientifiques, qui semble confirmer que la décision d'abattre est plus politique que sanitaire, pour pouvoir poursuivre l'export des bêtes et le business.
"La dermatose nodulaire contagieuse (DNC) des bovins est une maladie virale due à un Capripoxvirus, proche des virus de la variole (ovine et caprine). Les principaux vecteurs de transmission sont les moustiques, les taons et les mouches piqueuses. Dans une moindre mesure, la transmission virale peut se faire par les sécrétions et lésions cutanées. La période d’incubation virale est généralement de 4 à 14 jours (jusqu’à 28 jours). La maladie se traduit par l’apparition de nodules et de lésions cutanés (et des muqueuses), des œdèmes et un amaigrissement des bêtes. Le virus est actuellement présent en Afrique, en Asie (Chine, Inde, etc.), au Moyen-Orient, et en Europe de l’Est. Et maintenant en France !
"L’abattage systématique des vaches en raison de la dermatose nodulaire contagieuse peut être considéré comme un scandale pour plusieurs raisons, qui sont à la fois scientifiques, éthiques, économiques et sanitaires.
France : Le grand reset bovin : Annie Genevard, le Dr Véran en talons aiguilles, l’UE et ses “terroristes français” abattent les vaches pendant que l’Argentine nous nourrit aux hormones !
"La maladie est bénigne dans la majorité des cas (et rarement mortelle) : le taux de mortalité est souvent inférieur à 1 %, même sans traitement. Dans la majorité des cas, les vaches infectées guérissent spontanément en quelques semaines. Les lésions cutanées peuvent être spectaculaires, mais sont non graves dans la plupart des cas.
"Le virus n’est pas zoonotique (il ne se transmet pas de l’animal à l’humain) : aucun cas de transmission à l’homme n’a jamais été documenté. Il n’y a donc pas de risque pour la santé publique humaine (la DNC n’affectant que les bovins).
Des mesures « alternatives » existent, dont l’isolement temporaire des animaux malades, et/ou des traitements symptomatiques combinés (par exemple, une combinaison d’Ivermectine, d’antibiotiques, et d’analgésique)."

samedi 13 décembre 2025

"Mais on en a ras-le-bol ! C’est Bruxelles qui a imposé d'abattre le troupeau !" (Pascal Praud)



12 déc. 2025 #Macron #praud #cnews
 
Pascal Praud et ses invités débattent des grands thèmes de l'actualité dans l'Heure des Pros.
 Au programme du jour, les manifestations des agriculteurs en Ar!ège, où plus de 200 vaches sont menacées d’euthanasie à cause de la dermatose nodulaire. Les forces de l'ordre ont pris le contrôle des lieux ce jeudi, peu après 23h, après des affrontements importants avec les manifestants.

A propos du véhicule Centaure qui c'est encore illustré hier soir


 Un centaure dans la campagne

 Vulnérabilités opérationnelles observées sur le terrain

  • Risque d'embourbement : Sa masse importante (14,5 tonnes) et ses dimensions (7,5 m de long, 3,82 m de haut) peuvent le rendre vulnérable dans des terrains boueux ou détériorés, malgré une garde au sol élevée. Une vidéo circulant en ligne lors des manifestations agricoles de début 2024 montre un Centaure embourbé, illustrant ce point faible pratique.
 
 
Je dis ça, je ne dis rien 

Tribune libre du Père KALKA Ancien aumônier des parachutistes


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Monsieur Fabien Mandon, Mon Général, Je ne vous connais pas personnellement, comme beaucoup de mes frères d’armes, d’où le vouvoiement de rigueur que j’adopte dans cette missive. Vous avez passé le plus clair de votre temps dans l’Armée de l’air. Vous avez été, je suppose, un bon pilote de chasse.
Mes connaissances de l’aviation militaire sont vagues. J’ai servi pendant trois ans, avant d’épouser le monde parachutiste, dans les bases de Saintes, Rochefort et Cognac.
J’ai aussi eu beaucoup de contacts avec les aviateurs au cours de mes nombreuses opérations extérieures (à Kandahar en Afghanistan, entre autres).
Je sais que l’Armée de l’air se compose de deux corps : le corps des mécanos avion et celui des pilotes.
Parmi ces derniers, on distingue clairement les pilotes de transport - de bons vivants, sympas et arrangeants - des pilotes de chasse, véritable aristocratie volante, elle- même peu homogène au sein de laquelle se côtoient, d’assez loin, les « confréries » ou plutôt les « sectes » établies selon les différents types d’avion. Entre les pilotes des Mystère, Alpha Jet, Mirage ou Rafale, on ne se mélange pas, Monsieur !
Et vous êtes bien placé pour savoir que je n’invente rien puisque vous-même avez longtemps été membre de la « secte Mirage » jusqu’à piloter le Mirage 2000D, véritable exploit d’un jeune et brillant pilote.
Quelle mouche vous a donc piqué pour devenir le porte-parole, ou plutôt le perroquet du Président de la République ? Votre intervention au Congrès des Maires, outrepassant votre rôle de chef militaire, est à la fois affligeante et stupidement anxiogène. Puisque la Russie, disiez-vous, va bientôt nous déclarer la guerre, il faudra s’y préparer très sérieusement.
Les Français manquent-ils à ce point de force d’âme à vos yeux ?! Il faut qu’ils se fassent mal, très mal, pour défendre la nation. Et, brevet de pilote sur le gâteau, qu’ils soient prêts à sacrifier leurs enfants et à souffrir économiquement !
Mon pauvre gars, où as-tu été piocher tout ça ? Désolé pour le tutoiement, mais de telles bêtises prononcées publiquement et à haute voix me rendent malpoli.
Mets toi bien dans ta casquette de pilote que la Russie, contrairement à notre Président, aime la France et qu’aucune guerre n’est programmée ni envisagée de son côté, sauf si... Justement, sauf si l’illuminé gourou en chef de notre pays va trop loin dans la provocation verbale et militaire.
Monsieur Mandon, mon général, retourne dans ton bureau, assieds-toi confortablement, prends un bon café (pas une bière, la binouse c’est chez les paras) et commence à réfléchir.
Père Richard KALKA

mandon, général d'alcôve, portrait du chien à sa mémère

 

Fabien Mandon n'est général que par jeux d'antichambres.
Son grade de colonel de l'armée de l'air n'est quant à lui attribuable qu'à une carrière construite à coups de bombardements de groupes rebelles déguenillés, dans les pays les plus pauvres du monde, par Mirage et Rafale interposés.
Ces aventures coloniales sans valeur et une ambition sans rapport avec ses qualités n'en on fait, que le pleutre d'un pouvoir avarié.
Cet homme n'a, en d'autres termes, ni rapport au courage, ni à l'engagement éprouvés.
Courage et engagement auquel il nous enjoint, parlant même de sacrifice d'enfants qu'il n'a jamais portés, a fortiori protégés.
On mesure mal l'indécence et le danger pervers que ces paroles, par le Président de la République couvées, peuvent porter.
En entrant de plain-pied dans le débat public, sans en avoir la légitimité, M. Mandon, colonel de l'armée de l'air et général préoposé aux alcôves et aux intrigues de palais, s'expose à voir scrutées chacune de ses compromissions, qui en ont fait le chien de son maître, soumis au bon vouloir d'un chef d'État désavoué par les urnes, prêt à envoyer son peuple à la mort pour se sauver, à rebours du sentiment, et des engagements, de la nation et de son instrument, l'armée.
Il faut être sans pitié à l'égard de ces bas-gradés, qui font de la trahison et de la compromission leur carburant.
Leurs pieds nous mènent à des fronts qu'ils n'ont jamais foulé.
Notre détermination et notre volonté seules sont de nature à les faire cesser.
Qu'ils aient honte d'exister.
Et qu'ils reviennent à des terres qu'ils n'auraient jamais dû quitter.

« Vous voulez nos enfants ? Il faudra passer sur nos corps. »

 

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ÉDITO « Vous voulez nos enfants ? Il faudra passer sur nos corps. »
Ils l’ont dit.
Non plus en coulisses, non plus à demi-mot.
Mais publiquement, devant les maires de France :
« Il faut accepter de perdre nos enfants. »
Voilà où nous en sommes.
Un État-major qui prépare déjà les cercueils avant d’expliquer la guerre.
Un pouvoir qui réclame du peuple la résignation avant même de demander son avis.
Une caste qui parle de nos enfants comme on parle d’un stock stratégique.
Eh bien écoutez-moi bien :
ceux qui pensent que nous allons regarder nos fils partir vers l’abattoir ont perdu tout contact avec la réalité.
Parce que moi, parent, citoyen, être humain, je le dis ici, et je le dis clair :
Si un jour une convocation tombe pour mon fils, il saura se protéger et moi, je traverserai montagnes, frontières, murs et menaces pour le rejoindre.
Au péril de ma vie s’il le faut.
Et je suis loin, très loin d’être le seul.
Qu’ils ne se trompent pas.
On peut pressurer le peuple.
On peut lui voler son argent, sa tranquillité, ses libertés lentement rognées.
On peut tenter de lui faire peur avec un ennemi extérieur, une échéance de guerre, une rhétorique de fin du monde.
Mais on ne prendra pas nos enfants.
Jamais.
Qu’ils regardent la France réelle, celle qui travaille, qui souffre, qui paye, qui aime : cette France-là n’acceptera pas qu’on transforme sa jeunesse en chair à canon pour sauver l’honneur d’un système déjà en lambeaux.
Qu’ils tentent de normaliser l’idée de sacrifice.
Qu’ils tentent de faire passer l’horreur pour du courage.
Qu’ils tentent de nous hypnotiser avec des mots durs, des drapeaux, des discours martiaux.
Nous voyons clair.
Et ce que nous voyons, c’est un pouvoir qui prépare le pays à la guerre sans jamais demander l’avis de ceux qui perdront tout : les familles.
Ils veulent des soldats dociles ?
Ils auront des parents debout.
Ils veulent des sacrifices ?
Ils auront des résistances.
Ils veulent le silence ?
Ils auront des millions de voix qui hurlent :
NOS ENFANTS NE SONT PAS LES VÔTRES.
PAS VOS ARMÉES.
PAS VOS GAGEURES.
PAS VOTRE MONNAIE D’ÉCHANGE.
Et si cela choque, tant mieux.
Le choc, c’est ce qui réveille.
Et la France, justement, commence à se réveiller.
Pierre-Ange Spagnolo

dimanche 5 octobre 2025

Ibrahim Traore DÉTRUIT le Plan de Paix de Trump à Gaza : « Ce n’est pas la paix ! »



4 oct. 2025 FRANCE
 
Dans un discours percutant, Ibrahim Traoré démonte le prétendu plan de paix de Donald Trump pour Gaza
 
Avec des mots forts, il révèle ce que beaucoup n’osent pas dire : il ne s’agit pas de paix, mais d’un mensonge imposé au peuple opprimé.
 
Ce soir je suis  Ibrahim Traore

vendredi 26 septembre 2025

68 ans de mensonges...... UN BIJOU UN VRAI DÉLIRE…..


Il reste à plumer :


- Les caisses de retraites privées AGIRC- ARCO.....
68 ans d'émigration fiscale et de mensonges.

 
On dit, et c'est vrai, que les français sont des râleurs, je pense surtout qu'ils sont stupides quand on lit ce qui suit.
Allez, vive la France...enfin la Bretagne...
A 94 ans cette brave dame a la tête sur les épaules et
ses comptes.

 Elle a aussi très bonne mémoire en citant tous les intervenants gouvernementaux successifs qui l'ont trahie. 

La lecture vaut son pesant d'or... !!!

Très bien résumée la situation
De 1956 à nos jours : 68 ans d'imagination fiscale... et surtout de mensonges.

Je me présente. Je m'appelle Micheline Sany. Je suis née en 1927 et je vous le dis tout net : à force de tirer sur l'élastique, la corde va péter!
En 1956, quand Guy Mollet a instauré la vignette pour «fournir un revenu minimum à toutes les personnes âgées de 65 ans et plus », bon... moi j'avais à peine 30 ans et j'étais très fière de pouvoir venir en aide aux anciens. 

 En plus, Paul Ramadier, le ministre des Affaires économiques, avait affirmé que ça serait une taxe
temporaire...

Merci à JPL 

 Bah, il a duré quarante-quatre ans le temporaire ! 

Pendant quarante-quatre ans j'ai payé cette vignette ! Alors merci !
Surtout que les anciens n'en ont presque jamais vu la couleur, vu qu'au bout de trois ans, le Premier ministre, Michel Debré, a annoncé que le produit de la vignette serait finalement « acquis au budget de l'État... », qui le reverserait au Fonds national de solidarité. 

Enfin, en partie...
Enfin, en petite partie... Que les vieux se fassent dépouiller comme ça, ça a fait du foin, pendant toutes ces années.
Mais ça n'a jamais rien changé.
Ensuite en 1991, quand ils ont créé la CSG, la contribution sociale généralisée pour financer la branche famille, en remplacement des cotisations patronales d'allocations familiales, bon... sans râler, j'ai payé !
Surtout que ça ne devait durer que cinq ans. 

« Une contribution transitoire » qu'ils disaient... et puis 1,1 %,
c'était supportable.

Seulement vingt-sept ans plus tard, elle transite toujours la CSG !
Et elle a grimpé à 9,2 % pour les salariés et 8,3 % pour les retraités. 

Par étapes, bien sûr, c'est moins voyant.
En 1993, elle est passée de 1,1 à 2,4 %. 

Pour alimenter en plus le Fonds de solidarité vieillesse. 

Y'avait pas déjà lavignette pour ça ? Chuuuuut, arrêtez d'être insolents !
En 1997, elle augmente encore pour financer, en plus, la  branche maladie : on en est à 3,4 %.
En 1998, toujours pour la branche maladie, elle passe à 7,5 %, etc., etc.
Bref, la protection sociale ne s'est pas redressée, et ce qui devait être temporaire est devenu... un impôt de plus.
Ah bah oui ! La CSG, ça rapporte plus que l'impôt sur le revenu aujourd'hui !
Si on vous demande combien vous payez d'impôts par an, vous savez le dire. 

Mais si on vous demande combien vous payez de CSG, vous savez ?
Chez moi on disait : « C'est tout un art de plumer l'oie sans la faire crier.»

 Alors qu'il y aurait de quoi hurler.
Et puis en 1996, rebelote avec la CRDS, la « contribution à la réduction de la dette sociale ».
J'ai payé. (Mais j'avoue, j'ai râlé.).
À cette époque, les déficits sociaux s'élevaient à un montant estimé entre 30 et 38 milliards d'euros.
Oui, parce que nous, si on se trompe de dix euros dans notre déclaration de revenus, on risque une amende, maiseux, un flou de 8 milliards, ils ont le droit...

 Toujours est-il qu'ils avaient tout bien calculé : en treize ans, tout serait remboursé.
La CRDS devait disparaître le 31 janvier 2009.
Mais voilà-t'y pas qu'en septembre 1997, le gouvernement Jospin annonce 13 milliards d'euros supplémentaires de dettes, qui correspondaient aux déficits sociaux non financés des années 1996 à 1998.


Alors, ils ont tout bien recalculé, finalement pour tout éponger il fallait prolonger... jusqu'au 31 janvier 2014.
Mais voilà-t'y pas qu'en 2004, le plan de redressement de la Sécurité sociale concocté par Philippe Douste-Blazy 

annonce 50 milliards d'euros supplémentaires de dette à rembourser.
Alors, ils ont tout bien re-recalculé... et ils ont vu que finalement, la Trinité était la meilleure date pour arrêter la CRDS. Donc, on la paye toujours...
Et puis, en 2004 , Raffarin a inventé la « journée de solidarité », vouée à « l'autonomie des personnes âgées ».
Moi, ça va, j'étais déjà à la retraite, mais vous, vous avez travaillé... sans être payés !
Et en 2013, une nouvelle taxe pour les retraités. 

CASA, ça s'appelle.

 C'est la « contribution additionnelle de solidarité à l'autonomie », 0,3 % sur les retraites, pensions d'invalidité, allocations de préretraite.
C'est-à-dire qu'ils font payer les vieux pour que les vieux soient autonomes !
C'est pas du bon foutage de gueule, ça ? Et on continue.
En 2013, toujours, M. Jean-Marc Ayrault nous gèle les retraites complémentaires...
Et comme ça ne s'arrête jamais, maintenant, parce que j'ai 1 247 euros de revenu fiscal par mois, j'ai une augmentation monstrueuse de la CSG : 25 % d'augmentation !
Ah ben oui, on nous a dit 1,7 % , mais c'est pas 1,7 % de ce
qu'on payait, c'est le taux qui augmente de 1,7 % ! passés de 6,6 % à 8,3 % de CSG , ça nous fait 25 % dans les dents....enfin celles qui nous restent.
Et maintenant, la cerise sur le pompon : on nous annonce que nos retraites vont être revalorisées de 0,3 %.

 Cinq fois moins que l'augmentation dont on aurait dû bénéficier si le code de la Sécurité sociale avait été
simplement respecté, puisqu'il prévoit que les pensions soient revalorisées du montant de l'inflation moyenne sur l'année pour éviter toute dégradation du niveau de vie.
Et l'inflation prévue d'après l'Insee est de 1,6 %.
Et Bruno Le Maire ose dire sur RTL : « Mais ils ne seront pas perdants, leur pension de retraite continuera à être revalorisée. »

 Il croit qu'on est tous gâteux ou quoi ?
Je n'ai que mon certificat d'études, mais y'a pas besoin de sortir de Polytechnique pour comprendre qu'une hausse de 0,3 % des pensions, quand les prix augmentent de 1,6 %, revient à une baisse du pouvoir d'achat.
D'après le baromètre de l'institut Elabe, publié le 6 septembre, 72 % des retraités déclarent ne pas avoir
confiance dans le chef de l'État, alors qu'ils étaient 44 % en janvier et 35 % lors de son élection.

 On se demande vraiment pourquoi?

 Un type qui pour se faire élire déclarait chez Jean-Jacques Bourdin en décembre 2016 : «
L'engagement que je prends ici devant vous, c'est que, avec moi, toutes les petites retraites auront leur pouvoir d'achat protégé. ».
Et sur RMC encore, en février 2017 : « Je ne veux pas, moi, faire d'économies sur le dos ni des retraités, ni de celles et ceux qui sont à quelques années d'aller à la retraite. ».
Et au 20 heures de France 2 en mars 2017 : « Je ne touche pas à la retraite de celles et ceux qui sont aujourd'hui retraités.

 Leur retraite sera préservée. Il n'y aura pas de perte de pouvoir d'achat, c'est essentiel ! ».
Alors je pose la question : 72 % qui n'ont pas confiance, comment est-ce possible ?

 Comment peut-il se trouver encore 28 % de retraités qui
lui fassent confiance ? ...

Et aussi , que penser des 700 mille migrants qui rentrent en France par an , les mains dans les poches et des aides leurs tombent en veux tu , en voilà.....!!!
Toute ma vie, j'ai payé pour aider les vieux et maintenant que je suis vieille, il faut que je paye pour aider les jeunes ?


Que vont-ils nous inventer encore ??


N'hésitez pas à diffuser largement cette petite analyse...de
la situation......