Le 30 mars 2021
Êtes vous irresponsables parce que vous ne portez pas votre masque en extérieur ? Voilà ce que vous pourrez répondre
Réflexions sur l'actualité et la politique Française. Avec quelques exceptions sur le reste du monde. Immigration, invasion, colonisation, islamisation, révolution.Covid
Le 30 mars 2021
Êtes vous irresponsables parce que vous ne portez pas votre masque en extérieur ? Voilà ce que vous pourrez répondre
Magistrale vidéo de Carlo Brusa à faire circuler le plus possible !
Nous évoquerons ensuite la loi sécurité globale, autre facette de la restriction des libertés sous l’actuel quinquennat qui a fait l’objet d’un consensus avec la droite sénatoriale.
Enfin, nous ferons un tour aux Etats-Unis où l’ancien président, Donald Trump, a lancé son site internet avec un double objectif : garder le lien avec ses électeurs et préparer son retour politique.
Dans un courrier en date du 21 mars 2021 publié sur le site de Nakim.org, le Pr Montagnier apporte son support de la requête du Dr Seligmann et de l’ingénieure Haim Yativ pour la suspension de la vaccination contre la Covid-19
Il est adressé à M. Président, MM. juges de la Cour suprême de l’État d’Israël.
Cette lettre est à l’appui de la pétition pour la suspension de la vaccination contre covid-19 qui vous a été présentée par MM. Yativ et Seligmann.
Je suis Luc Montagnier, docteur en médecine, professeur émérite à l’Institut Pasteur de Paris, directeur de recherche émérite au CNRS, prix Nobel de physiologie ou de médecine pour la découverte du virus SIDA.
Je suis un expert en virologie, ayant consacré une grande partie de mes recherches aux virus ARN, en particulier l’encéphalomyocardite de la souris, le virus Rous sarcome, le VIH 1 et le virus VIH2.
Des efforts considérables ont été consacrés à la vaccination contre le coronavirus covid-19 responsable d’une pandémie mondiale. En particulier l’État d’Israël a organisé une vaccination de masse de sa population à ce jour, 49% de sa population totale a reçu deux doses de vaccin Pfizer.
Je voudrais tout d’abord souligner la nouveauté de ce type de vaccin.
Je voudrais résumer les dangers potentiels de ces vaccins dans une politique de vaccination de masse.
1. Effets secondaires à court terme : ce ne sont pas les réactions locales normales que l’on trouve pour n’importe quelle vaccination, mais les réactions sérieuses mettent en jeu la vie du destinataire comme les choc anaphylactique lié à un composant du mélange vaccinal, ou des allergies graves ou une réaction auto-immune jusqu’à l’aplasie cellulaire.
2. manque de protection vaccinale :
L’Espagne va s’opposer à une loi de sa région de Galice qui obligeait ses habitants à se faire vacciner contre le Covid-19, estimant qu’elle porte atteinte aux libertés fondamentales, a annoncé la porte-parole du gouvernement central mardi.
L’exécutif va « déposer un recours en inconstitutionnalité » contre une loi de cette région du nord-ouest de l’Espagne qui prévoit des amendes jusqu’à 3.000 euros pour le refus injustifié de se faire vacciner, a annoncé la porte-parole du gouvernement, Maria Jesus Montero, lors d’une conférence de presse.
En Espagne, la vaccination n’est pas obligatoire, comme dans la plupart des pays européens, mais la Galice faisait exception avec cette obligation instaurée fin février.
Pour Madrid, ce texte introduit « des limitations des droits fondamentaux » qui ne peuvent être modifiées que « dans le cadre d’une loi nationale », a justifié la ministre.
Ce recours déposé devant le Tribunal constitutionnel annulera l’article de loi promulgué par le gouvernement de Galice, a précisé Maria Jesus Montero et le tribunal aura un délai de trois mois pour ratifier ou lever cette décision.
L’Etat belge a été condamné par le tribunal de première instance à lever toutes les mesures covid sous 30 jours, écrit Maryam Benayad dans un article publié sur le site lalibre.be.
Cette décision est obtenue par une action en référé introduite par la Ligue des Droits Humains.
Le 12 mars dernier, les avocates de la Ligue des droits humains (LDH) et son équivalent flamand, la Liga voor Mensenrechten, ont plaidé devant le tribunal de première instance de Bruxelles pour après un recours introduit contre l’État belge le 22 février.
La demande de La Ligue des Droits Humains était simple, elle tenait à savoir si les mesures instaurées pour lutter contre la propagation du coronavirus et les décrets et arrêtés ministériels qui en découlent – respectent les prescrits légaux.
Ce jour, le 31 mars 2021, le tribunal a condamné l’État belge en leur donnant gain de cause.
A voir aussi : l'interview des deux avocates ayant obtenu la condamnation de l'Etat belge
Un nouvelle expression vient de faire son apparition dans la terminologie médicale officielle : « soins critiques ». Il y a quelques temps, on parlait encore de « soins intensifs ».
S’il n’y a aucune différence entre les deux appellations au niveau sanitaire et médical, elle est énorme au niveau de l’intention linguistique, et plus encore politique.
Il y a dans le qualificatif “intensif” une volonté manifeste de soigner. Le vocable “critique”, lui, évoque plutôt l’aveu désespérant d’un cas désespéré.
On voudrait foutre la trouille à la population qu’on ne s’y prendrait pas mieux. De la démission médicale à l’intention politique de nuire, il n’ y a qu’un pas que les autorités politico-sanitaires de ce pays viennent de franchir allègrement. Celles-ci ont annoncé hier, 30 mars, le chiffre de 5 072 cas critiques (ex-intensifs) pour cause de Covid, parlant de « record », de « situation pandémique tendue ».
mars 18, 2021
par Uwe Alschner
Vera Sharav avait trois ans lorsqu’elle et sa famille ont été déportées dans un camp de concentration. Elle a survécu à l’Holocauste et s’engage depuis de nombreuses années en faveur des personnes qui sont utilisées, consciemment ou non, dans des expérimentations médicales, avec des conséquences dramatiques. Dans cette interview, Vera Sharav parle de son inquiétude : l’Holocauste peut se répéter parce que l’esprit de l’eugénisme perdure et que la participation du corps médical est à nouveau acquise.
Vera Sharav parle d’un « crime contre l’humanité » qui se répète sous nos yeux. Beaucoup y participent volontairement…
Vera_Sharav_Interview by Uwe Alschner_Part1 from Children's Health Defense Europe on Vimeo.
Uwe Alschner : Merci beaucoup, Vera Sharav. C’est un
grand honneur de vous avoir dans ce numéro de Klartext. Vous êtes une
survivante des périodes les plus sombres, les plus sinistres de
l’histoire allemande, et par là je veux dire l’Holocauste. Je suis
historien, c’est donc une situation très particulière. Il n’est pas
facile pour moi d’avoir cette conversation, mais je sais qu’il est
important que nous en parlions parce que la situation actuelle présente
certaines analogies avec ce que nous savons de l’histoire.
Mais avant cela, ayez l’amabilité de nous donner un bref aperçu de qui
vous êtes et de ce qui vous a conduit à devenir un défenseur des droits
des personnes confrontées à la recherche médicale. Si je peux me
permettre.
Vera Sharav : Oui, je suis une enfant qui a survécu à
l’Holocauste. J’avais trois ans et demi lorsque ma famille en Roumanie a
été chassée de notre patrie et déportée dans un camp de
concentration. Mon père y est mort d’une maladie infectieuse,
probablement la typhoïde. J’ai passé trois ans et demi dans ce camp et,
bien qu’il ne s’agisse pas d’un camp de la mort, la mort était toujours
présente, notamment parce qu’il pouvait arriver chaque jour que l’on
soit transféré dans un camp de la mort. Notre camp était un camp où la
famine a emporté la plupart des détenus. J’ai appris ce qu’est la vie
dans de telles circonstances et ce que c’est que d’être un paria
méprisé. Les enfants perçoivent beaucoup plus que les adultes ne le
pensent. Les enfants voient beaucoup plus de choses que ce que beaucoup
d’adultes croient ne pas remarquer.
À un moment donné, j’ai fait quelque chose que j’ai appris à l’âge de
six ans : désobéir aux autorités. Je pense que c’est quelque chose que
j’ai bien fait en tant que défenseur du public face à l’establishment
très puissant. L’expérimentation médicale est l’une de ces zones
d’ombre. L’un des sujets que les gens ne se posent pas vraiment est le
suivant : à qui appartiennent les enfants qu’ils utilisent comme sujets
humains pour tester de nouveaux médicaments et vaccins ? Quels parents
lucides mettraient leur enfant à la disposition d’un cobaye pour quelque
chose qui peut être très dangereux ?
par Charles Sannat | 31 Mar 2021 |
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
C’est un article de la Nouvelle-République envoyé par l’un de nos camarades sur ma messagerie qui titre « Saint-Pierre-des-Corps surendettée ? Le maire demande l’aide de la chambre des comptes ».
« Ce lundi à 11 h 30, Emmanuel François, le maire de Saint-Pierre-des-Corps, a tenu une conférence de presse pour expliquer son incapacité à présenter un budget à l’équilibre. Il alerte sur l’état des finances de la ville.
L’heure est grave, ce lundi matin, à la mairie de Saint-Pierre-des-Corps. En cette veille de vote du budget par le conseil municipal, le maire Emmanuel François a convoqué la presse, pour annoncer qu’il présentera un budget en déséquilibre, avec un déficit de 92 000 € en fonctionnement, ce mardi à 9 h. Ce qui est illégal. Ce fait rare déclencherait une procédure pouvant conduire à une mise sous tutelle financière de la ville par la chambre régionale des comptes.
Une dette de 19,3 M€.
« La ville est aujourd’hui endettée à hauteur de 19,3 M€, annonce le maire. Mais l’important, c’est la capacité à rembourser. On ne l’a plus car on ne dégage plus de bénéfices suffisants. D’une capacité de remboursement de 6,6 ans en 2017, nous sommes passés à plus de 15 ans. » Le déficit de fonctionnement s’élève à près de 743 000 € selon le compte administratif de 2020. Le maire évoque « une opacité budgétaire qui cachait la vérité sur les difficultés financières réelles de la ville. »
Cette situation n’est pas propre à cette commune, en effet, de très nombreuses communes sont peu ou mal gérées, pour de multiples raisons pas toujours imputables aux élus locaux, mais ces derniers ne sont pas non plus toujours irréprochables, au contraire.
Totems symboliques, « grands travaux » locaux, égo démesuré, parfois conflit d’intérêt ou prise illégale d’intérêt, il y a de nombreux abus pas toujours facilement traitables en justice.
Et puis, il y a les difficultés économiques générales, les baisses des dotations, les transferts plus ou moins obligés vers les interco de nouveaux machins qui n’ont jamais fait baisser les coûts de fonctionnement de nos structures locales.
Tout ceci est masqué par une relative hypocrisie de l’ensemble des acteurs.
Les mairies font semblant d’équilibrer des budgets puisque ne pas le faire est illégal et déclenche l’intervention de la chambre régionale des comptes, et les vérificateurs font semblant de croire à la sincérité des budgets présentés.
La créativité comptable est une réalité, pour certains c’est même devenu un art. Demandez à Goldman Sachs qui avait permis à la Grèce de maquiller ses comptes.
That is the question que chacun se pose à l’arrivée des beaux jours, du week-end pascal et des vacances du même métal. Sauf que l’épée de Macron plane au-dessus de nos têtes : tous confinés ou pas ?
À moins que nous ne soyons tous enfermés dehors pour les semaines à venir…
Bien aimable, Le Figaro a tenté, ce mardi, de nous guider dans le dédale des autorisations qui concernent déjà dix-neuf départements et plus de vingt millions de Français ; chiffres qui pourraient bien connaître une certaine inflation d’ici la fin de semaine. La pression est, en effet, très forte du côté des « enfermistes », impatients de nous boucler tous avec une laisse au pied.
Après l’épisode kafkaïen sur les autorisations dérogatoires compréhensibles seulement des unijambistes faisant le poirier, le gouvernement a revu sa copie. La nouvelle attestation, revue à la baisse (sic) « liste douze motifs et définit trois cas de figure ».
Globalement, on peut donc s’enfermer dehors autant qu’on veut dans un rayon de 10 km pour satisfaire son hygiène sportive, et se rendre à 30 km pour acheter une baguette croustillante à condition de s’y être soi-même autorisé par écrit. Le couvre-feu continue, néanmoins, de s’appliquer entre 19 h et 6 h dans la France entière, mais vous pouvez toutefois y déroger pour vous rendre à la gare ou l’aéroport, « pour des déplacements […] liés à des transits ferroviaires, aériens ou en bus pour des déplacements de longue distance ». Mais attention, a dit le Premier ministre Castex, « pour les départements en confinement, les déplacements interrégionaux sont interdits, sauf pour des motifs impérieux ou professionnels ». Qui sont autorisés. Ou pas. Dans des zones interdites. Ou pas.
C’est simple : on peut tout faire sauf si c’est pour le plaisir. Le plaisir est interdit, à moins que vous n’alliez chez un voisin européen. Exemple : les Parisiens ne peuvent pas aller manger des crêpes à Quimper, mais des tapas à Barcelone, pas de problème.
Fermer, ou pas les écoles ? La polémique fait rage. Jean-Michel Blanquer résiste à la pression.
Mais en Seine-Saint-Denis la situation serait très critique : dans un lycée à Drancy, on dénombrerait même pas moins de 20 parents d’élèves morts du Covid-19.
C’est en tout cas ce que titraient de très nombreux médias lundi matin, la nouvelle dramatique s’étant répandue comme traînée de poudre : « Seine-Saint-Denis : 20 parents d’élèves d’un même lycée sont morts du covid-19 » (Paris Match), « Coronavirus à Drancy : Au lycée Eugène-Delacroix où 20 parents d’élèves sont décédés et 22 classes seront fermées dès lundi » (20 minutes), « Le cas hors normes du lycée de Drancy, où le Covid-19 a tué 20 parents d’élèves, la fermeture demandée » (La Dépêche), etc.
Un variant séquano-dionysien affreusement meurtrier aurait-il fait soudain son apparition, proliférant hors des écrans radars de tous les épidémiologistes ? 1 % des 2.000 adolescents qui fréquentent l’établissement auraient perdu leur père ou leur mère, des adultes pourtant sans doute pour la plupart à peine quadragénaires ? Sauve qui peut ! Il y a en effet de quoi se claquemurer chez soi.
Sauf que la vérité est un peu différente : d’abord parce que contrairement à ce que laissent supposer les titres lapidaires, il ne s’agit pas du bilan de ces derniers jours, mais de celui de de l’épidémie depuis l’an dernier. Et ce ne sont pas 20 « parents d’élèves » stricto sensu, comme on le lit dans la lettre ouverte des enseignants – soutenue par le syndicat Snes-FSU, relayée par les ténors de la France Insoumise, puis par quasiment toute la presse réunie – mais de parents au sens large, très large… ce qui, même sans remonter jusqu’à Adam et Eve, peut emmener loin. « Au total, vingt parents ou proches d’élèves sont décédés depuis le début de la pandémie et le premier confinement », précise l’organe de Fact Checking de Libération, qui avait aussi relayé l’information sans précaution.
(VF-VOSTFR) Qui aurait pu y croire ?
March 30th, 2021
Gunnar Kaiser, écrivain et professeur de littérature Allemand, enchaîne les éléments d'une réalité à laquelle personne n'aurait cru si elle n'était devenue la nôtre.
Témoignage / Haute-Savoie. Décès après un vaccin AstraZeneca à Annecy : "Il a ressenti des douleurs 30 minutes après l'injection" https://t.co/0Ct9cHAWAJ
— Ma France (@pep_france) March 30, 2021
14 jours après avoir reçu sa première dose de vaccin AstraZeneca, une femme est décédée, lundi 29 mars 2021, suite à une thrombose (©Illustration / AdobeStock)
Une femme de 38 ans est décédée, lundi 29 mars 2021, à Toulouse, des suites d’une thrombose, survenue deux semaines après l’injection d’une première dose de vaccin AstraZeneca, indiquent des sources concordantes à Actu Toulouse. Même si rien ne permet, pour l’heure, d’assurer tout lien de causalité entre la vaccination et la mort, les circonstances sont évidemment troublantes.
Une assistante sociale en IMECette trentenaire, assistance sociale dans un Institut médico-éducatif (IME) de la Ville rose, avait été vaccinée juste avant la suspension de l’AstraZeneca mi-mars, dans le cadre de la campagne des autorités sanitaires (qui ont depuis, changé leur fusil d’épaule et réservé ce vaccin aux plus de 55 ans) dans les établissements médico-sociaux.
D’après nos informations, la trentenaire ne souffrait pas de pathologie ou de problèmes de santé particuliers, mais peu de temps après son vaccin, des complications se seraient révélées. 14 jours après l’injection, elle a fait une thrombose, et dû être hospitalisée à Purpan, où elle a été plongée dans le coma.
L’agence des médicaments suédoise Läkemedelsverket a annoncé que le vaccin du laboratoire britannico-suédois AstraZeneca aura le droit à une nouvelle identité.
Il a été rebaptisé « Vaxzevria« . Nouveau nom, nouveau packaging, mais toujours le même vaccin.
Ce changement soudain d’identité intervient alors qu’AstraZeneca se trouve au cœur de plusieurs polémiques.
Après que plusieurs pays européens ont suspendu provisoirement voire totalement pour certains, les villes de Berlin et Munich ont décidé ce mardi d’arrêter d’administrer cette formule aux patients de moins de 60 ans, « par précaution ».
La confiance de l’opinion publique dans ce vaccin a chuté ces deux dernières semaines en raison de la crainte d’effets secondaires et de la suspension de la vaccination dans plusieurs pays.
C’était annoncé depuis des semaines… Les laboratoires y travaillaient (Pfizer, Moderna, AstraZeneca)… Le plan covidémentiel est désormais sur les rails.
Les boosters arrivent. En clair, les vaccins annuels… destinés à suivre les mutations du virus…
Comme d’habitude, c’est le Royaume-Uni qui est en pointe.
Over-70s will get Covid-19 booster jabs in SEPTEMBER after SAGE said South African variant makes jab 30% less effective
Vaccines minister Nadhim Zahawi unveiled plan for people in top four priority groups receive a third injection
Frontline NHS and social care workers and the clinically extremely vulnerable will also be given the jab (source DailyMail)
Et ils commenceront bien entendu par les “plus fragiles” et les plus “exposés”… en septembre.
Trois doses donc en 9 mois (la vaccination a débuté fin décembre) ! Bravo les gars.
« les cons çà ose tout, c’est même à çà qu’on les reconnait »
Notre président acteur et adolescent flingueur, ose lancer sa campagne
présidentielle sponsorisée par ses amis du lobby pharmaceutique le
Dolder Club, qui ont eu le génie de le présenter plus compétents que les
scientifiques qui tentent d’enrayer la crise du Covid.
Cet aspect renifle le crétin qui ne peut imaginer que Mozart Emmanuel
impose une dictature sanitaire pour se propulser comme le sauveur, le
christ de la politique française.
Pour 2027 il sera présenté comme un informaticien de génie qui succèdera à Bill Gates pour recevoir le prix Nobel de la paix.
Le 30 mars 2021
La première version du certificat sanitaire qui va être mis en place dès cet été présenté en exclusivité par .@ThierryBreton .@RTLFrance #legrandjury : il existera évidemment en français pic.twitter.com/KJYIbwDoxO
— Mangin Catherine (@catherinemangin) March 28, 2021
Le passeport vert, aussi appelé passeport sanitaire européen, sera probablement disponible avant l’été. Il marque le tournant du « monde d’après », où la surveillance généralisée des populations se mettra en place l’air de rien, au nom de la protection sanitaire. Surveiller pour protéger, ou alors protéger pour mieux surveiller. Plus personne ne sait exactement si le thème de la protection est un prétexte pour faire admettre une violation massive de la vie privée dans les sociétés démocratiques.
Que comportera le passeport vert ?Le passeport ne servira pas seulement à établir si la personne qui voyage est vaccinée et si elle est ou non positive au COVID. Il servira surtout à nourrir un immense Big Data sur la circulation des personnes.
Comme l’a dit Thierry Breton à l’antenne de RTL :
« On y trouvera votre nom, votre date de naissance, le numéro de votre passeport certifié avec le QR code,le fait que vous ayez été vacciné ou non, le type de vaccin et si vous avez été porteur de la maladie »
Autrement dit, la mise en place d’un QR Code (établissant le lien entre une personne et un passeport) permettra de « suivre » très facilement l’historique des déplacements de n’importe quelle personne à travers le monde. Il s’agit d’un véritable fichier enregistrant en temps réel tous les mouvements des individus, au moins à travers les frontières.
Pour l’instant, ce document est présenté comme facultatif. Mais, tôt ou tard, une fois que la vaccination sera généralisée, il deviendra obligatoire.
Le QR Code en attendant la reconnaissance facialeAlors qu’en France la majorité et ses opposants misent quasiment TOUS sur la vaccination pour retrouver nos libertés, il s’avère qu’en regardant de plus prés ce qu’il se passe en Amérique du Sud et notamment au Brésil, l’immunité vaccinale ne sera pas atteinte avec les vaccins actuels.
En effet, l’analyse de la mortalité au Brésil révèle une augmentation du taux de mortalité par cas, dans tous les groupes d’âge, mais surtout chez les jeunes avec l’émergence du variant P1 chez des personnes porteurs d’anticorps.
Par ailleurs, des recherches menées au Brésil indiquent que la variante P1 a un taux de mortalité 2,7 fois plus élevé dans la population âgée de 20 à 39 ans.
Sur son compte Twitter, l’infectologue Julio Medina a publié les premiers résultats d’une étude menée à Manaus, au Brésil, où la souche P1 a circulé de manière très intensive.
“Lors de la deuxième vague à Manaus (Brésil), la préoccupante variante P1 a circulé intensément. La mortalité parmi les personnes hospitalisées dans la population entre 20 et 39 ans était 2,7 fois plus élevée que la première ”, indique le tweet dans lequel Julio Medina fait référence à la nouvelle souche de Coronavirus qui affecte la région, publiant le lien de cette recherche et un graphique montrant le plus grand impact des infections dans la deuxième vague.
#COVID19
— Dr. PhD. JULIO MEDINA (@Dr_Julio_Medina) March 28, 2021
Estudio (preimpresión), segunda ola en Manaos (Brasil), donde la #Variante de preocupación #P1 circuló intensamente.
La letalidad entre los hospitalizados en la población entre 20 y 39 años fue 2,7 veces mayor que la primera.https://t.co/bVj2yLMfi3 pic.twitter.com/mnciayD2He
“ATTENTION – Il y a une crise à laquelle nous devons tous prêter attention – C’est la flambée sans précédent au Brésil sans précédent de la variante P1: hôpitaux surchargés et forte hausse de la mortalité. Si plus contagieux la variante P1 peut devenir hors de contrôle dans le monde entier, nous sommes tous en danger.” prévient l’épidémiologiste américain dans un tweet.
PAY ATTENTION—There is one crisis we all needs to pay attention to—and that is the unprecedented Brazil 🇧🇷 surge of the #P1 variant, overloaded hospitals, & sharp mortality spike. If more contagious #P1 out of control worldwide, we are all endangered. 🧵#SOSBrazil #COVID19 pic.twitter.com/GYSRobnUFk
— Eric Feigl-Ding (@DrEricDing) March 21, 2021
Fin janvier 2021, dans un article paru dans The Lancet, des scientifiques alertaient déjà sur le fait qu à Manaus, au Brésil, une étude sur des donneurs de sang indiquait que 76% ( à 95% 67–98 ans) de la population, avait été infectée par le SRAS-CoV-2 en octobre 2020.
Dans ce contexte, l’augmentation brutale du nombre d’hospitalisations pour le COVID-19 à Manaus en janvier 2021 (3431 du 1er au 19 janvier 2021, contre 552 du 1er au 19 décembre 2020) était jugée inattendue et préoccupante ( voir figure).
Après une grande épidémie qui avait culminé fin avril 2020, les hospitalisations liées au COVID-19 à Manaus étaient restées stables et assez faibles durant 7 mois (de mai à novembre), malgré l’assouplissement des mesures de contrôle du COVID-19 au cours de cette période (figure).
Une étude sur les soignant au Royaume-Uni démontrait que la réinfection par le SRAS-CoV-2 était rare jusqu’à 6 mois après la primo-infection. “Cependant, la plupart des infections par le SRAS-CoV-2 à Manaus sont survenues 7 à 8 mois avant la résurgence en janvier 2021”, s’étonnaient les scientifiques à l’origine de l’étude sur la variante P1 au Brésil qui suggéraient que la diminution de l’immunité à elle seule était peu susceptible d’expliquer pleinement cette récente résurgence.
Ils supposés alors que les variants (B.1.1.7, B.1.351 et P.1) du SARS-CoV-2 pouvaient échapper à l’immunité générée en réponse à une infection antérieure.
Des inquiétudes sur la résistance aux vaccins qui sont actuellement diffusésDés le mois de janvier 2021, les scientifiques ont alarmé les autorités sur d’éventuels risques de résistances aux thérapies vaccinales actuelle en cours de distribution massive :
« Vous vous rendez-compte du bordel que vous avez foutu ? » C’est ainsi qu’une salariée de l’entreprise ByMyCar de Nancy-Laxou (54) a été accueillie par son directeur après une période d’isolement pour cause de Covid.
Le 8 janvier 2021, à 6 h 59 précisément, Charlotte (appelons-là ainsi) découvre dans sa boite mail privée un message daté du 5 janvier 2021 (trois jours plus tôt) ainsi rédigé : « L’enquête sanitaire de l’Assurance Maladie a établi que vous avez été en contact rapproché avec une personne porteuse du virus et que vous présentez un risque de contamination.
Afin de lutter contre l’épidémie et vous protéger ainsi
que vos proches, nous vous demandons d’appliquer les consignes suivantes
: vous devez rester isolée jusqu’au 9 janvier 2021 ; Prenez rendez-vous
pour faire votre test. »
Charlotte fonce au labo le plus proche. Le
résultat tombe à 16 heures : positif ! Elle doit rester isolée jusqu’au
18 janvier. Elle prévient son employeur.
Charlotte
est responsable ‘’livraison’’ des véhicules neufs et occasions de
l’entreprise « RNO BYMYCAR Nancy » qui a repris en décembre 2020 Renault
Retail Group SA (RRG), la grande enseigne Renault de l’avenue de la
Résistance à Laxou (54).
Elle retourne à son travail le 19 janvier. Elle est guérie. Ce jour-là, elle est convoquée à 8 h 30
par le directeur de l’entreprise, Thierry Munier. Ce dernier lui
reproche, dans un entretien très tendu, d’avoir mis la santé des
salariés en danger puisqu’elle a travaillé entre le 5 (date d’envoi du
mail) et le 8 janvier (jour où elle en prend connaissance). Or elle a dû
déclarer à l’ARS les personnes qu’elle a croisées durant ces trois
jours et qui sont autant de cas contacts.
« J’en ai déclaré 25 dont 14 furent isolées, explique Charlotte. Aucun n’a été testé positif. »
Charlotte est reconvoquée ce même 19 janvier à midi pour un entretien préalable à licenciement. Elle est aussi mise à pied à titre conservatoire. Le 27 janvier, jour de l’entretien, elle est assistée par un syndicaliste. Le 3 février, elle reçoit une lettre recommandée par laquelle elle apprend qu’elle est licenciée pour faute grave.
Capture d'écran ©CNEWS
À l’occasion de cette Semaine sainte, les chaînes KTO et CNews programment ensemble la retransmission de la messe du Jeudi saint en direct de Notre-Dame de Paris.
Avec la participation, entre autres, de Sonia Mabrouk. Une journaliste qui tranche dans le paysage médiatique.
Par sa classe, son anticonformisme, sa parfaite diction de la langue française et son extrême courtoisie, Sonia Mabrouk, c’est un peu l’« anti-Cyril Hanouna ». Issue, comme lui, de Tunisie, elle a choisi la France grâce à une rencontre. Celle d’un professeur de français au lycée de Tunis qui a su lui transmettre avec passion la langue, l’histoire, la culture et le patrimoine de notre pays.
Après des études à la Sorbonne, Sonia Mabrouk revient en Tunisie, son pays natal, pour enseigner à l’IHEC de Carthage, dont elle est également diplômée. Un peu par hasard, elle intègre, quelques années après, le milieu journalistique comme rédactrice au journal Jeune Afrique. Mais c’est Jean-Pierre Elkabbach qui, en lui proposant la présentation du journal à Public Sénat, la décide à faire ses valises pour Paris. La suite, pour elle, ce sera Europe 1 avec d’abord le « Débat des grandes voix » et CNews (« Les Voix de l’info »), et depuis la rentrée de septembre, l’entretien politique au journal de 8 heures d’Europe 1, ainsi que “Midi News”(CNews).
Emmanuel Macron est pris, de nouveau, à son propre piège : celui du « en même temps », une posture philosophique qui se prête peu à l’art de gouverner, et condamne, même à court terme, aux promesses non-tenues.
Lorsqu’il avait décidé de l’organisation d’une Convention citoyenne pour le climat, Emmanuel Macron entendait en réalité donner l’impression d’une démocratie réelle et authentique parce que directe… bien que ne reposant sur aucun mandat électif.
Ainsi, il contournait et dévitalisait sans en avoir l’air la vie démocratique tout en sacrifiant à l’air du temps – l’urgence climatique -. Cette Convention de citoyens tirés au sort était comme un hochet concédé aux associations écologistes dont beaucoup sont infiltrés par la gauche radicale.
Le leurre a fait long feu. Dès le mois de décembre, Emmanuel Macron prévenait que les 149 propositions de la Convention citoyenne pour le climat qui devaient être transmises « sans filtre » au Parlement devaient tenir compte de l’état de l’économie en pleine crise sanitaire : « des milliers de PME sont entre la vie et la mort » insistait-il. Sous la pression d’une société en crise, dans un exercice d’équilibriste qui lui réussit de moins en moins, il avait sifflé la fin de la récré. Utopies, fin de partie, place au réel, semblait-il dire. Voire.
Le week-end du 26-27 mars, avant le passage au Parlement du projet de loi pour le Climat, a donc vu logiquement fleurir nombre de manifestations dans toute la France. Le Figaro dresse un florilège des contestations : « ce projet de loi est très faible » (Jean-François Julliard, Directeur général de Greenpeace France), « Nous envisageons des actions de désobéissance civiles massives en occupant les lieux symboliques du pouvoir », (Extinction Rebellion).
Cependant, même si ce projet de loi Climat et résilience, décliné en 69 articles, ne répond pas point par point aux revendications grétinistes de tout poil, il mécontente tout le monde, car il impliquera des mesures contraignantes et même coercitives pour les particuliers comme pour les entreprises.
Plus tard, les historiens seront très sévères contre la folie vaccinale, qui s'est imposée dans le champ public français depuis six mois.
Macron mène une véritable guerre de classes contre le Peuple français, à l'instar de la guerre de classes menée en 1914 par la Bourgeoisie contre les "rouges", la "révolution" prétendument menaçante, dans le cadre de la première guerre mondiale, selon la thèse brillante de Jacques Pauwels : "1914-1918 La grande guerre des classes", édition Delga, 2016
D’abord, il y a le risque de modification génétique de l'individu. En ce sens, Robert KENNEDY junior pointe les dangers génétiques de ces vaccins : "Pour la première fois de l'Histoire de la vaccination, les vaccins dit ARN messager interviennent directement dans le matériel génétique du patient. Ils modifient son matériel génétique. Cette manipulation était considérée jusqu'à présent comme criminelle et interdite.
Cette vaccination reste problématique. en termes de santé, de morale et d'éthique, mais aussi en termes de dommages génétiques qui, contrairement à ceux causés par les vaccins précédents, seront irréversibles et irréparables.
Mais pire encore, ces vaccins anti Covid génèrent une mortalité importante, soigneusement occultée, niée par le Pouvoir en place.
Selon la banque européenne comptabilisant les effets indésirables des vaccins en Europe au 13 mars 2021, on compte 3 963 décès causés par les vaccins anti -Covid. Pfizer : 2540. Moderna : 972 et AstraZénéca : 451. 3963 décès, c'est un chiffre énorme pour des vaccins sensés nous guérir d'une maladie, le Covid, que l'on peut aussi soigner efficacement avec des antibiotiques, qui font zéro mort. Et je parle d'expérience, pour avoir eu le Covid, avoir été soignée avec succès avec des antibiotiques et des corticoïdes.
Comment en est-on arrivé à ce chiffre de presque 4000 morts, rien que pour l'Union Européenne ? Rappelons la véritable guerre de l'information à laquelle nous avons modestement participée au cours de ces derniers mois.
Souvenons-nous : c'est d'abord le Professeur Christian Perronne, invité d'André Bercoff, critiquant le recours à des vaccins, pour une maladie létale à 0,5%. La suite ? Il perd son poste de Chef de service à l'Hôpital de Garches. Le Conseil départemental de l’Ordre des médecins des Hauts-de-Seine est saisi, afin qu’il statue sur d’éventuelles sanctions contre Perronne. Une autre procédure émane de l'AP-HP54.Plus aucun média ne l'invite à donner son analyse.
Le Comité d’enquête civile (ועדת החקירה האזרחית), en Israël, écrit dans une lettre au Médiateur : « Arrêtez l’administration des vaccins Pfizer, mettez en place une commission d’enquête, ou nous nous tournerons vers la Haute Cour. »
Après avoir recueilli des preuves et des témoignages de nombreuses victimes, y compris des décès, les avocats Irit Yankovitz et Rotem Brown, au nom du Comité d’enquête civile, ont fait appel au procureur général pour demander l’arrêt de l’administration des vaccins Pfizer en raison d’un manque de suivi et de surveillance des effets secondaires. Comme l’écrit l’auteur Gilad Atzmon :
« Dans son rapport qu’il a soumis au procureur général et au ministre de la Santé, le comité a énuméré une chaîne de défaillances juridiques et éthiques critiques qui indiquent une possible tentative d’induire en erreur non seulement les Israéliens mais aussi le monde entier. »
La lettre décrit la situation absurde dans laquelle l’État a expérimenté le vaccin sans informer le public du permis d’urgence qui lui a été délivré, des informations connues et inconnues sur son efficacité et sa sécurité, et d’autre part ne fait pas de suivi et ne surveille pas les rapports du côté des effets s’accumulant sur le terrain en très grandes quantités.
La réalité émergente est celle d’une campagne d’intimidation agressive qui encourage les citoyens à se faire vacciner tout en ouvrant la voie à une belle démonstration de réussite. Un formulaire trivial de signalement, l’absence de base de données ouverte et transparente, l’absence de système de suivi et d’instructions organisées pour les équipes sur le terrain pour signaler les effets secondaires et surtout une épaule froide à quiconque tente de signaler un effet secondaire du vaccin — ce sont quelques-uns des signes inquiétants.
Extrait de la lettre : « Naturellement, lorsque les cas de mortalité à proximité des vaccins sont refusés – ces cas ne seront inclus dans aucune statistique – alors qu’en fait, il est obligatoire de saisir tous les cas de mortalité après vaccination dans la base de données pour un traitement statistique tardif et segmenté. À toute recherche, conclusions épidémiologiques et cliniques. »
Nous revivrons ensuite la manifestation contre les mesures sanitaires organisée par Les Patriotes de Florian Philippot à Strasbourg, à quelques semaines – si tout va bien – des élections régionales.
Nous reviendrons ensuite sur la polémique du week-end. Lors d’un entretien accordé à BFMTV, la candidate socialiste aux régionales en Ile-de-France, Audrey Pulvar, a estimé qu’on pouvait demander aux Blancs de se taire. Une nouvelle preuve des tentations indigénistes de la gauche.
Et enfin nous évoquerons l’étonnant épisode Ever Green, ce porte-conteneurs géant qui a échoué dans le canal de Suez, ralentissant la marche du commerce mondial.
[Source : Ciel Voilé (cielvoile.fr)]
Le commissaire européen Thierry Breton nous annonce le passeport sanitaire européen pour le 15 juin.
Or on savait qu’il y aurait conflit d’intérêts puisque par le plus grand des hasards sa société ATOS dont il a été le PDG de 2009 à 2019, est précisément spécialisée dans les QR codes, les contrôles aux frontières par le numérique et la digitalisation des données de santé.
C’est du reste cette société ATOS qui gère les applications de QR code pour les voyages en Espagne.
Edouard Philippe est devenu administrateur de cette société dont les principaux actionnaires sont Blackrock et Siemens. Une plainte d’anticor avait été déposée suite à du favoritisme dans des marchés publics pour la mise en place des radars automatiques alors que Thierry Breton était ministre.
Vous avez compris la toile d’araignée?
Alors qu’ils sont nommés dans le cadre d’un mandat politique ou
européen, ils font leur business sur la mise en esclavage numérique des
peuples européens avec des techniques de contrôle et surveillance
digitales commercialisées par leurs propres boîtes.
https://www.bastamag.net/Thierry-Breton-audition-Commission-Europe-conflit-interets-PDG-Atos-Macron
https://www.capital.fr/economie-politique/la-future-remuneration-dedouard-philippe-chez-atos-1381412
Thierry Breton, PDG d’une multinationale financée par les fonds européens en voie de devenir commissaire… européen
par Rachel Knaebel 14 novembre 2019
Après le rejet de Sylvie Goulard par le Parlement européen, Emmanuel Macron a proposé Thierry Breton au poste de commissaire européen au Marché intérieur. Au vu du curriculum vitæ du personnage et des marchés sur lesquels intervient l’entreprise dont il était PDG, Atos, ce choix pose de sérieuses questions.
Publié le 29 Mar 2021
Un collectif de citoyens allemands, prenant conscience de l’impact insignifiant de la Covid-19 sur la mortalité et la démographie du pays, matérialise les données et les chiffres véritables de façon originale.
C’est alors qu’apparaissent les mensonges criminels de leur gouvernement.
Qu’en est-il donc pour la France ?
par Dr Vincent Reliquet | 13 Déc 2020 |
A lire ou relire
« J’ai choisi le courage. J’ai choisi la compassion. J’ai choisi l’intégrité. J’ai choisi la santé. J’ai choisi l’honnêteté. Et surtout, j’ai choisi l’amour. » Brandy Vaughan
J’ai croisé Brandy Vaughan à Paris en Septembre 2017, elle avait fait le déplacement pour appuyer la manifestation française réclamant le maintien de la liberté vaccinale face au projet de loi souhaitant imposer onze vaccins pédiatriques obligatoires. C’était voulu par l’ensemble des firmes pharmaceutiques produisant des vaccins, donc réclamé avec vigueur par l’ensemble de la profession médicale grassement entretenu par elles, Alain Fischer en tête. Bien que le collège des professionnels de la santé ait voté contre, on rappelle que ce projet fut adopté en séance nocturne et voté par une Assemblée Nationale quasi-déserte. J’étais donc chargé de préparer l’interview française aux côtés de Déborah Donnier (1) et Senta Depuyt (2). Il suffisait de s’entretenir quelques minutes avec Brandy Vaughan pour ne plus jamais pouvoir l’oublier, bien sûr elle était d’une beauté rayonnante mais il y avait dans son regard une dureté presque dérangeante, la manifestation évidente d’une volonté peu commune mise à l’épreuve d’une vie qui avait déjà été très difficile.
Les années Merck, la catastrophe du Vioxx©Brillante avocate engagée à 25 ans par le groupe Merck et présentant formidablement bien, Brandy Vaughan finit par intégrer les équipes commerciales de la firme dans les années 2000 afin de développer les ventes du futur blockbuster maison baptisé Vioxx©, un anti-inflammatoire de nouvelle génération de la classe des inhibiteurs de la Cox-2, censé provoquer moins de saignements digestifs que les molécules plus anciennes. Elle y croyait dur comme fer Brenda, à son Vioxx©, elle s’était même persuadée que la diffusion de cette molécule pourrait sauver des vies.
En 2004 c’est la désillusion absolue, on lui apprend que le Vioxx© n’entrainait certes pas plus de saignements digestifs mais était au contraire responsable de phénomènes de thromboses artérielles incontrôlables susceptibles de provoquer des infarctus du myocarde et des accidents vasculaires cérébraux à ses consommateurs.
Pire ! L’enquête Fédérale US permit de démontrer rapidement que cet accroissement notable de la mortalité cardio-vasculaire sous Vioxx© avait été repérée par les investigateurs de chez Merck dès les premières études épidémiologiques, mais que sur ordre ces résultats avaient été manipulés afin de ne pas nuire à la carrière prometteuse du produit.
Ce fut chose faite et on a estimé au final à 140.000 le nombre d’infarctus ou d’AVC ayant été attribués au Vioxx© pour les seuls USA (3), les chiffres pour le reste du monde n’ayant jamais été publiés. C’est ainsi qu’en 2007, Merck décida de plaider coupable afin d’écourter le scandale et s’acquitta d’une somme record comprise entre 4 et 6 milliards de dollars en règlement des 26.600 plaintes concernant le Vioxx©, ainsi que des amendes fédérales diverses.
Des données falsifiées concernant le Vioxx©, mais aussi s’agissant des vaccins pour enfants
Tour du Monde des médecins : avant-première d'un debriefing avec le Pr Femi Babalola Nigéria - sur l'ivermectine - "je sais que Merck a fait pression sur notre gouvernement pour ne pas utiliser l'ivermectine"
"On a soigné plus de 60 000 personnes avec l'ivermectine..." VO pic.twitter.com/xQEY6TqAV0
— FranceSoir (@france_soir) March 27, 2021
Incroyable 6ieme pays le plus peuple au monde...2,000 morts!!! https://t.co/cxiyQMS8c5
— Isaira 🇫🇷🇦🇺 (@curiousbird64) March 28, 2021
par Charles Sannat | 29 Mar 2021 |
Au moment où j’écris ces lignes, le navire de la compagnie Evergreen bloque toujours le canal de Suez, et chaque jour de blocage coûte environ 10 milliards de dollars à l’économie mondiale.
Avec une semaine de blocus, le coût estimé est de 70 milliards.
Je ne sais pas quel est l’assureur et le réassureur de l’assureur concerné (et je n’arrive pas à trouver l’information), mais cela va faire l’un des plus beaux sinistres du millénaire et nous promet une bataille juridique d’anthologie dans laquelle personne ne voudra payer et indemniser !
Charles SANNAT
La revue spécialisée Lloyd’s List a estimé les pertes économiques de l’incident au canal de Suez à 400 millions de dollars par heure. Un porte-conteneurs de 400 mètres y est échoué depuis plusieurs jours, bloquant le passage à 12% du commerce maritime international.
Le porte-conteneurs Ever Given s’est échoué mardi 23 mars dans le canal de Suez, bloquant depuis trois jours plus de 200 navires. Selon les estimations de Lloyd’s List, revue britannique spécialisée dans le transport maritime, ce blocage coûte 400 millions de dollars par heure au commerce mondial, puisqu’environ 12% du commerce maritime international utilise ce passage géré par l’Égypte.
En effet, sur la base de la valeur approximative des marchandises qui le traversent chaque jour, Lloyd’s List a estimé que l’incident coûte 5,1 milliards de dollars par jour vers l’Europe (4,3 milliards d’euros) et 4,5 milliards de dollars vers l’Asie (3,8 milliards d’euros).
Mais le montant des véritables conséquences économiques dépendra de la durée de ce blocage, comme l’a expliqué sur CNBC Alan Baer, président de l’entreprise logistique OL USA. «La clé de ce problème réside dans le temps qu’il faudra pour déplacer l’Ever Given», a-t-il déclaré. Des transporteurs maritimes comme Maersk et Hapag-Lloyd ont déjà procédé au détournement de leurs navires par la corne de l’Afrique, un détour de 9.000 kilomètres équivalent à 10 jours de trajet, selon l’AFP.
Déblocage imminent?